Le dimanche 20 octobre 2013 à 17h, salle de l’Agora, Eclats-Chanson démarre sa saison avec Evelyne GALLET. La première partie de cette après-midi nous permettra de découvrir “Jadis”: jeune vauréenne pleine de talent.

Evelyne GALLET à l’ouverture… d’«Éclats chanson»

Un gamin culotté, un quarantenaire solitaire : ils étaient en scène, Halle aux Grains de Lavaur, pour l’ouverture de la saison d’ « Éclats » : en scène pour ce qui fut un moment de légèreté et de délicatesse.

Une chevelure flamboyante, des mots crus…d’autres tendres: elle sera, Evelyne Gallet, salle de l’Agora pour l’ouverture de la saison d’ « Eclats chanson ».

Elle y sera, fonçant comme à son habitude, séduisant par sa verve, son charisme, sa présence volcanique et des textes au vitriol pour ce qui sera un retour à Lavaur (elle était, en avril, dans le spectacle «Boby Lapointe repiqué»).

Evelyne Gallet est un sacrée bout de femme qui n’est pas du genre à couiner mollement «gna-gna-gna -mon amour – pourquoi» et qui se plait à jouer avec le public qui en redemande. Cette chanteuse rouquine, au potelé assumé, a un petit truc en plus : une belle dose d’autodérision qui fait du bien.

Mais cantonner Evelyne Gallet à un rôle de fille mi-chanteuse mi-dockeur est une grave erreur. Elle sait aussi se faire miel et douceur. Sa guitare et son verbe écrasent les sujets. Une avalanche de mots qui cognent et caressent, bref, du talent et puis voilà Evelyne Gallet c’est comme une vieille copine qui débarque un soir avec sa bouteille de blanc sous le bras pour vous remonter le moral, vous faire rire, et quand la bouteille est vide se confie un peu et vous fait rougir les yeux.

Cerise sur le gâteau, comme une rouquine peut en cacher une autre, « Jadis » se produira en 1ère partie.

En tout début de carrière, la vauréenne (Ananda Amalric), après une reprise, donnera à entendre quatre de ses propres chansons, en français et en anglais.

C’est à 17 heures, dimanche oblige, salle de l’Agora (rue de la mairie) le 20 octobre.

Tarifs : 10 – 8 et 6 euros

Communiqué par Jean Claude Mauco pour Eclats.