A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois de Septembre 2011 !
- Cars 2
Dimanche 4 à 16h
Réalisé par Brad Lewis, John Lasseter
Voix de G. Canet, G. Lellouche, L. Wlson etc.
Long-métrage américain
Genre : Animation
Durée : 01h52minDans Cars 2, Flash McQueen, la star des circuits automobiles, et son fidèle compagnon Martin la dépanneuse reprennent la route pour de nouvelles aventures. Les voilà partis pour courir le tout premier Grand Prix Mondial, qui sacrera la voiture la plus rapide du monde ! Mais la route du championnat est pleine d’imprévus, de déviations et de surprises hilarantes, surtout lorsque Martin se retrouve entraîné dans une histoire comme il n’en arrive qu’à lui : une affaire d’espionnage international !
« CARS 2 est le film le plus complexe jamais imaginé par Pixar. Il entraîne les spectateurs dans un voyage autour du monde, et tous les lieux sont créés à partir de zéro. Chaque pays possède ses propres personnages d’arrière-plan, soit des centaines de voitures différentes. Le seul fait de mettre en place un pipeline capable de gérer un volume pareil et de maintenir une qualité optimale à la sortie a été l’un de nos défis majeurs. Nous avons adopté une approche similaire à celle d’une chaîne de montage pour définir les caractéristiques d’animation de chaque voiture. Nous commençons avec un modèle standard avant de personnaliser chacune d’entre elles, notamment au niveau des suspensions et des caractéristiques mécaniques », confie le superviseur du design technique Apurva Shah.
Le Parisien : Un scénario très imaginatif, des personnages délirants et beaucoup d’action : ceux qui avaient aimé le premier volet vont adorer cette suite, pleine de trouvailles malicieuses sur les comportements automobiles des différents habitants de la planète.
- Case départ
Mardi 6 à 21h
Réalisé par Thomas Ngijol, Fabrice Eboué, Lionel Steketee
Avec Fabrice Eboué, Thomas Ngijol, Stefi Celma
Long-métrage français
Genre : Comédie
Durée : 01h34minDemi-frères, Joël et Régis n’ont en commun que leur père qu’ils connaissent à peine. Joël est au chômage et pas vraiment dégourdi. La France, « pays raciste » selon lui, est la cause de tous ses échecs et être noir est l’excuse permanente qu’il a trouvée pour ne pas chercher du travail ou encore payer son ticket de bus. Régis est de son côté totalement intégré. Tant et si bien, qu’il renie totalement sa moitié noire et ne supporte pas qu’on fasse référence à ses origines. Délinquance et immigration vont de pair si l’on en croit ses paroles.
Sous l’effet d’un sortilège, parachutés en 1780, ils seront vendus au marché comme esclaves. Les deux frères vont alors devoir s’unir, non seulement pour s’évader de la plantation mais aussi pour trouver le moyen de rentrer chez eux, au XXIe siècle.Avec Case Départ, l’équipe du film a souhaité faire rire, mais aussi faire réfléchir le spectateur. « J’espère que les gens comprendront notre message, qu’il ne s’agit pas d’une comédie sur l’esclavage mais sur l’insertion, sur le racisme, sur l’état actuel des choses. J’aimerais qu’ils ressortent de la salle en se disant qu’ils ne sont pas juste allés voir une comédie pour se marrer. Qu’il y ait un peu une réflexion quand même », confie Lionel Steketee.
Le Nouvel Observateur : Une comédie populaire aux admirables vibrations moliéresques.
Première : Pour une fois qu’une comédie donne à réfléchir au-delà de la vanne.
- La planète des singes
Mardi 13 à 21h
Réalisé par Rupert Wyatt
Avec James Franco, Freida Pinto, John Lithgow,
Titre original : Rise of the Planet of the Apes
Long-métrage américain
Genre : Science fiction, Action, Aventure
Durée : 02h00minDans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.
Selon le producteur Peter Chernin, La Planète des singes : les origines aborde « certains des problèmes les plus épineux de notre époque ». La question centrale est : « Jusqu’où pouvons-nous aller sans violer les lois de la nature ? Quelle sont les limites ? »
L’Express : Plutôt que de tendre vers la grande œuvre de science-fiction apocalyptique, Rupert Wyatt livre un petit conte philosophique sur les rapports entre l’homme et les autres espèces. La prise de conscience sera glaçante. Touchante, aussi, car les effets spéciaux s’effacent devant les personnages.
Le Journal du Dimanche : On est bluffé par l’intensité dramatique du film, la finesse du scenario, l’atmosphère anxiogène qui n’exclut pas l’émotion, la performance saisissante d’Andy Serkis dans le rôle clé de César. Vite, une suite !
- Impardonnables
Mardi 20 à 21h
Réalisé par André Téchiné
Avec André Dussollier, Carole Bouquet, Mélanie Thierry
Long-métrage français
Genre : Drame
Durée : 01h51minFrancis arrive à Venise pour écrire son prochain roman. Il cherche à louer un endroit pour travailler. Il rencontre Judith, un agent immobilier. Elle insiste pour qu’il visite une maison isolée dans l’Ile de Sant Erasmo. Francis lui propose comme on se jette a l’eau : « Si on habite ici tous les deux … je signe tout de suite… ». Ils se lancent alors dans une vie de couple. Mais quand Francis est amoureux, il ne parvient pas à écrire. L’été suivant, sa fille Alice débarque dans sa retraite pour passer des vacances. Et puis brusquement elle disparaît … A partir de là Francis est mis en danger …
Le roman de Philippe Djian se déroule dans le Pays basque. Pour le film, André Téchiné a choisi Venise comme décor. « La puissance de cette ville est une drogue. J’avais d’ailleurs déjà fait plusieurs tentatives de scénarios dont l’intrigue se situait à Venise. Mais ça ne marchait pas. Venise y était trop utilisée comme un décor, un décor chargé de la mythologie que l’on sait. Cette fois, en lisant le roman, c’était très simple : puisque Judith était agent immobilier et que Francis était écrivain, elle aurait son agence à Venise (j’avais remarqué qu’elles y pullulent) et il s’y installerait pour écrire », confie le réalisateur.
Bien que Philippe Djian soit un des auteurs français les plus célèbres, son travail n’a pas beaucoup été adapté au cinéma. En effet, seuls trois de ses romans ont vu le jour au cinéma : 37°2 le matin, Bleu comme l’enfer et Impardonnables.
- Les Tuche
Mardi 27 à 21h
Réalisé par Olivier Baroux
Avec Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty, Claire Nadeau
Long-métrage français
Genre : Comédie
Durée : 01h35minA Bouzolles, tout le monde connaît la famille Tuche. Jeff, Cathy et leurs trois enfants vivent du système D. Respectueuse de la philosophie Tuche, « l’homme n’est pas fait pour travailler », toute la famille s’emploie à être heureuse malgré le cruel manque de revenus.
Leurs vies étaient toutes tracées. Ils seraient toujours pauvres, mais heureux. Mais un bouleversement va mettre en péril ce fragile équilibre. Les Tuche vont devenir riches, très riches. 100 millions d’euros gagnés à « L’Euroloterie » vont tout changer.
Olivier Baroux raconte que, d’après lui, « l’histoire des Tuche est une fable qui, sans donner de leçon, à travers la comédie, nous ramène à des valeurs simples, vraies, et à une certaine idée de la liberté. L’homme a d’abord commencé par la cueillette et la chasse. C’est après qu’on a inventé des tas de choses comme le taylorisme ou le stakhanovisme, qui ont imposé un modèle et un rythme de travail toujours plus lourd. Dans ce schéma économique, l’homme perd souvent l’essentiel de vue et n’a plus vraiment le temps de profiter de ce que nous offre la vie. Le film parle aussi de cela. »TéléCinéObs : Cette comédie planifiée le jour du mariage d’Albert de Monaco repose sur l’abattage de ses interprètes, Jean-Paul Rouve renouant avec son passé de Robin des Bois, face à une Isabelle Nanty déchaînée et à une Claire Nadeau qui se fait trop rare. Le ton est badin, la vulgarité, étudiée, bref, on ne s’ennuie pas, ce qui constitue déjà un exploit pour une comédie française
- Les contes de la nuit
Dimanche 2 octobre à 16h
Communiqué de Ciné Monclar