Ciné Monclar en Octobre 2012

A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois d’Octobre 2012 !  

La Part des Anges
La Part des Anges
  • La part des anges

Mardi 2 à 21h
Réalisé par Ken Loach
Durée : 1h41
Avec Paul Brannigan, John Henshaw, Gary Maitland

A Glasgow, Robbie, tout jeune père de famille, est constamment rattrapé par son passé de délinquant. Il croise la route de Rhino, Albert et la jeune Mo lorsque, comme eux, il échappe de justesse à la prison mais écope d’une peine de travaux d’intérêts généraux. Henri, l’éducateur qu’on leur a assigné, devient alors leur nouveau mentor en les initiant secrètement… à l’art du whisky !

Alors que le nombre de jeunes chômeurs en Angleterre a atteint la barre fatidique du million de personnes pour la première fois en 2011, Ken Loach et son scénariste attitré Paul Laverty voulaient parler de cette génération sacrifiée dans La Part des Anges, comme ils l’avaient fait auparavant avec Sweet Sixteen (2002).

Les fiches du cinéma : Un Loach de la plus belle eau, fin, léger, raconté comme un conte.

Superstar
Superstar
  • Superstar

Mardi 9 à 21h
Réalisé par Xavier Giannoli
Avec Kad Merad, Cécile de France, Louis-Do de Lencquesaing
Durée : 1h52

Un anonyme devient soudain célèbre, sans savoir pourquoi.

Bien qu’adaptant une histoire déjà existante, Xavier Giannoli ne voulait pas s’en tenir au seul texte d’origine, et a décidé de développer une intrigue différente, avec de nouveaux personnages et de nouvelles situations. Ses inspirations les plus franches pour traiter de la folie d’un système furent le travail de cinéastes comme Alfred Hitchcock, ou d’écrivains comme Franz Kafka, notamment pour son roman « La Métamorphose. »

Le Monde : Equilibré, constructif dans sa démarche et libre de tout manichéisme, « Superstar » est l’une des plus belles productions que l’année nous ait données à voir.

The Dark Knight Rises
The Dark Knight Rises
  • The Dark Knight Rises

Mardi 16 à 21h
Réalisé par Christopher Nolan
Durée : 2h44
Avec Christian Bale, Gary Oldman, Tom Hardy

Cela fait huit ans que Batman a disparu dans la nuit, passant de héros à fugitif. Assumant la responsabilité de la mort d’Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié pour ce que le Commissaire Gordon et lui espéraient comme le meilleur. Pendant un moment, le mensonge fonctionne, l’activité criminelle de Gotham City est écrasée sous le poids du Dent Act. Mais tout va changer avec l’arrivée d’un chat voleur…

Le Parisien : Le précédent épisode de la saga était déjà formidable. Quatre ans après, ce troisième et ultime volet très attendu de la trilogie de Christopher Nolan est tout simplement le meilleur.

Rebelle
Rebelle
  • Rebelle

Dimanche 21 à 16h
Réalisé par Mark Andrews, Brenda Chapman
Avec les vois de Béatrice Bejo, Jacques Frantz
Durée : 1h35

Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère.

L’histoire du film est venue à Brenda Chapman (première Américaine réalisatrice d’un film d’animation, avec Le Prince d’Egypte, en 1998) plus de huit ans avant la sortie de Rebelle. Inspirée par sa relation avec sa fille, à l’époque âgée seulement de 4 ans, elle a ensuite mêlé cela à sa passion pour l’Écosse et aux légendes de ce pays.

Le Parisien : Magnifiquement restitués, les décors envoûtants et les personnages de l’Ecosse médiévale offrent un écrin parfait pour ce récit initiatique, teinté d’un zest de féminisme et de beaucoup d’humour.

L’Ecran Fantastique : Le fond est un modèle d’écriture, et il faut saluer une fois encore cette capacité qu’ont les studios Pixar de nous offrir sans cesse des histoires inédites, sans jamais chercher à faire fructifier un investissement

Du vent dans mes mollets
Du vent dans mes mollets
  • Du vent dans mes mollets

Mardi 23 à 21h
Réalisé par Carine Tardieu
Durée : 1h29
Avec Agnès Jaoui, Denis Podalydès, Isabelle Carré

Prise en sandwich entre des parents qui la gavent d’amour et de boulettes, Rachel, 9 ans, compte les minutes qui la séparent de la liberté. Jusqu’au jour où son chemin croise celui de l’intrépide Valérie.

Lorsque Carine Tardieu raconte la genèse du projet, on se dit que le hasard fait bien les choses ! Après avoir reçu en cadeau la bande dessinée « Du vent dans mes mollets » de Raphaële Moussafir, la cinéaste a ainsi eu un coup de cœur pour l’univers artistique de l’écrivain. C’est par hasard que les deux femmes se sont rencontrées au salon du livre, avant d’apprendre que des producteurs, intéressés par l’idée d’adapter la bande dessinée à l’écran, avaient justement pensé confier le projet à Carine Tardieu !

Le Journal du Dimanche : L’humour et l’émotion sont au rendez-vous, souvent gentils, parfois appuyés mais toujours joliment éclairés, à la lumière des années 1980 et des désarrois du quotidien. Une échappée sympathique, forte de son aimable casting rassemblé autour d’Agnès Jaoui, ici mémorable et touchante en mère juive.

Associés contre le crime
Associés contre le crime
  • Associés contre le crime

Mardi 30 à 21h
Réalisé par Pascal Thomas
Durée : 1h44
Avec Catherine Frot, André Dussollier, Linh-Dan Pham

Prudence et Bélisaire Beresford ont décidé de prendre un repos bien mérité. Mais une richissime héritière russe disparaît, et Prudence ne résiste pas à l’appel du danger… Bélisaire est bien obligé de suivre sa turbulente épouse. L’enquête va les conduire sur les traces d’un mystérieux savant qui détient le secret de l’éternelle jeunesse…

Dans ce film, plus que dans les précédents volets des aventures du couple Beresford, l’accent est mis sur les deux héros : « Ce qui nous a intéressé au premier chef est le rapport singulier qu’entretiennent Prudence et Bélisaire, leur façon d’être ensemble. Le film est conçu comme une nouvelle exploration de leurs relations, une suite à cette vie de couple pour laquelle nous avons imaginé des à côtés qui devraient amuser », déclare le réalisateur Pascal Thomas.

L’Humanité : Fin réjouissante de vacances avec le nouveau film de Pascal Thomas, à déguster en salle comme on lit un roman sur le sable de la plage.

Positif : Même si le film accuse de sévères baisses de rythme et surprend moins que les titres antérieurs, son humour et son refus revendiqué de l’esprit de sérieux assurent sa singularité et son charme.

Communiqué des Amis du Cinéma

Retrouvez tous les évènements dans l’agenda !

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