A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois de Juin 2011 !
Ciné Monclar
Rio
Dimanche 5 à 16h
Réalisé par Carlos Saldanha
Avec Anne Hathaway, Jesse Eisenberg, Will.I.Am,
Film pour enfants à partir de 3 ans
Long-métrage canadien , brésilien , américain .
Genre : Animation , Aventure , Famille
Durée : 01h30min
Blu, un perroquet bleu d’une espèce très rare, quitte sa petite ville sous la neige et le confort de sa cage pour s’aventurer au cœur des merveilles exotiques de Rio de Janeiro. Sachant qu’il n’a jamais appris à voler, l’aventure grandiose qui l’attend au Brésil va lui faire perdre quelques plumes ! Heureusement, ses nouveaux amis hauts en couleurs sont prêts à tout pour réveiller le héros qui est en lui, et lui faire découvrir tout le sens de l’expression « prendre son envol ».
Véritable doyen des studios Blue Sky, le réalisateur Carlos Saldanha (auquel on doit notamment les inoubliables L’ Âge de glace 2 et L’ Âge de glace 3 – Le Temps des dinosaures), signe avec Rio son projet le plus personnel, puisqu’il en situe l’intrigue dans son Brésil natal. « La passion de Carlos pour ce projet était contagieuse, il nous a tous entraînés dans le monde qu’il a imaginé. Tout ce que vous verrez sur l’écran est né de cette étincelle », raconte le producteur John C. Donkin.
Paris Match : Des personnages craquants, de l’humour, de l’amour et des péripéties menées au rythme du carnaval de Rio font de cette histoire de perroquets une comédie de haut-vol.
L’Humanité : Au-delà de son scénario animalier à la Walt Disney, ce dessin animé ne manque pas de beauté plastique ni d’alacrité, ne serait-ce que pour sa luxuriante palette chromatique et son utilisation optimale du décor.
Ciné Monclar
Je n’ai rien oublié
Mardi 7 à 21h
Réalisé par Bruno Chiche
Avec Gérard Depardieu, Alexandra Maria Lara, Niels Arestrup
Genre : Drame , Famille
Durée : 01h33min
Depuis des années, Conrad Lang vit aux crochets de la riche famille Senn. D’abord camarade d’enfance de Thomas, puis gardien de leur maison de vacances à Biarritz, ils l’utilisent comme bon leur semble et lui s’en satisfait. Mais lorsque son état de santé se dégrade, lorsqu’il se met à raconter à Simone, jeune épouse de l’héritier Senn, des souvenirs d’enfance qui ne collent pas tout à fait à l’histoire officielle de la famille, Elvira, la matriarche, se montre étrangement menacée.
A l’origine de Je n’ai rien oublié se trouve le roman Small World, pour lequel Bruno Chiche a eu un véritable coup de cœur : « J’ai d’abord été emporté par sa face romanesque née de ce personnage de Conrad entre deux mondes : le monde réel et son monde imaginaire. Puis j’ai été passionné par le secret qui sous-tend cette histoire et transforme ce roman en thriller familial. (…) Je me suis mis à l’annoter, bref à commencer à réfléchir à une éventuelle adaptation. C’était une envie inexplicable, presque animale. Mon producteur Nicolas Duval avait certes acheté les droits du livre. Mais je n’envisageais pas de le porter moi-même à l’écran. Ce projet s’est en fait imposé à moi. »
TéléCinéObs : Bruno Chiche réalise un film original et profond sur un sujet pourtant très exploré, utilisant l’Alzheimer non comme la cause d’une inexorable plongée dans la vieillesse, mais comme l’agent d’un non moins inexorable retour vers l’enfance.
Elle : L’intérêt du film repose non seulement sur l’interprétation de Gérard Depardieu, affranchi de toute notion de temporalité, mais aussi sur le charme des histoires parallèles
Ciné Monclar
Et soudain tout le monde me manque
Mardi 14 à 21h
Réalisé par Jennifer Devoldere
Avec Mélanie Laurent, Michel Blanc, Géraldine Nakache
Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h38min
La famille, c’est compliqué…
Surtout quand Eli, le père, bientôt 60 ans, attend un enfant de sa nouvelle femme. À l’annonce de la nouvelle, ses deux grandes filles, Dom, qui cherche a adopter, et Justine, qui passe d’un petit ami à un autre sans trop d’état d’âme, sont ébranlées. Pour se rapprocher de Justine avec qui il n’a jamais pu s’entendre, Eli a la bonne idée de se lier d’amitié avec tous ses ex… A son insu.
De la même manière que Justine reflète la personnalité de Jennifer Devoldere, la famille du personnage, où chacun parle sans vraiment écouter les autres, a été imaginée par la réalisatrice selon ses propres souvenirs. « De toute façon c’est comme ça la famille, qu’elle soit idéale ou pas… Chacun essaye de se faire une place », raconte la cinéaste.
Le Parisien : Inattendu en père juif, Michel Blanc est d’une totale crédibilité. Mélanie Laurent (…) plus juste que juste. Ce film sur les rapports contrariés père-fille est une excellente surprise.
Le Monde :Plutôt enlevé, ce divertissement inégal (Jennifer Devoldère a un penchant pour les effets clips) révèle une certaine justesse dans l’appréhension des relations sociales (…) Voilà un divertissement tout à fait honorable.
Ciné Monclar
Pirate des caraïbes
Mardi 21 à 21h
La Fontaine de Jouvence
Réalisé par Rob Marshall
Avec Johnny Depp, Penélope Cruz, Geoffrey Rush
Long-métrage américain
Genre : Aventure , Comédie , Fantastique
Durée : 02h20min
Dans cette histoire pleine d’action, où vérité, trahison, jeunesse éternelle et mort forment un cocktail explosif, le capitaine Jack Sparrow retrouve une femme qu’il a connue autrefois. Leurs liens sont-ils faits d’amour ou cette femme n’est-elle qu’une aventurière sans scrupules qui cherche à l’utiliser pour découvrir la légendaire Fontaine de Jouvence ?
La fontaine de jouvence est, d’après la mythologie biblique, orientale et latine, la source d’une eau permettant à celui qui la boit de rajeunir. Dans la mythologie biblique, elle se trouverait au centre du Paradis, au pied de l’Arbre de Vie. Des contes orientaux la situent près du Grand Nord, alors censé abriter l’Eden. Mais la variation du mythe et les représentations de la fontaine sont infinies et ne cessent encore aujourd’hui de faire rêver. Pirates des Caraïbes introduit aussi le mythe des sirènes, créatures mi-femme mi-poisson, usant de leurs charmes et de leur chant pour tuer et dévorer les marins qui s’aventuraient dans leurs récifs.
Le Figaroscope : Deux heures et vingt minutes d’aventures qui passent à toute vitesse.
Le Monde : Le grand tourbillon ininterrompu de scènes spectaculaires se regarde désormais lunettes sur le nez, mais l’impression est la même : celle d’être dans un train fantôme lancé à toute vitesse. Comme dans un jeu vidéo, au fond : le son à pleine puissance, des effets spéciaux tape-à-l’oeil, des attractions sans temps mort.
Le gamin au vélo
Mardi 28 à 21h
Réalisé par Jean-Pierre Dardenne, Luc Dardenne
Avec Cécile de France, Thomas Doret, Jérémie Renier .
Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h27min
Cyril, bientôt 12 ans, n’a qu’une idée en tête : retrouver son père qui l’a placé provisoirement dans un foyer pour enfants. Il rencontre par hasard Samantha, qui tient un salon de coiffure et qui accepte de l’accueillir chez elle pendant les week-ends. Mais Cyril ne voit pas encore l’amour que Samantha lui porte, cet amour dont il a pourtant besoin pour apaiser sa colère …
Comme dans La Promesse, Rosetta, Le Fils ou L’ Enfant, Le Gamin au vélo a pour thème les liens filiaux. Mais cette fois-ci, il s’agit autant des liens du sang qui unissent Cyril et son père, que des liens non biologiques qui unissent Cyril et Samantha. La filiation reste donc un des thèmes de prédilection du duo belge comme l’explique Jean-Pierre Dardenne : « Nos sociétés starifient l’individu. Peut-être est-ce en réaction à cela que nous revenons toujours sur l’idée du lien. Même si ce dernier n’est pas toujours biologique, la preuve entre Samantha et Cyril. » « Nous sommes tous des « fils de » et des « filles de »… », confie Luc Dardenne.
Première : La fluidité du film est sidérante : il coule de source. (…) Cécile de France dure et douce à la fois, dotée d’une force et d’une évidence qu’on lui a rarement vues. Face à elle, le jeune Thomas Doret est prodigieux d’intériorité.
Télérama : Une fois de plus, les Dardenne bousculent. Mais leur regard n’a jamais été aussi tendre
