A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois de Décembre !
- Moi moche et méchant
Dimanche 5 à 16h
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec la voix de Gad Elmaleh dans le rôle de GruDans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)…
Un jour il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
Au début de la pré-production, Christopher Meledandri est parti à la recherche des partenaires idéaux pour mettre en œuvre toute l’animation du film. Il les trouva à Paris au Studio Mac Guff. Le producteur déclare : « Une des meilleures écoles d’animation au monde, l’École de l’Image des Gobelins, se trouve à Paris. La sensibilité comique française s’apparente à la nôtre. J’ai visité de nombreux studios, mais après seulement une heure passée chez Mac Guff, je savais que j’avais trouvé le bon. Les gens et le travail que j’y ai vus m’ont mis très en confiance. »Marianne : le film remplit à merveille sa mission de défouloir pour petits et grands.
Télérama : Moi, moche et méchant (…), première incursion d’Universal dans l’animation en images de synthèse, se hisse au niveau des grands crus de Pixar
- Les petits mouchoirs
Mardi 7 à 21h
Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel, Jean Dujardin, Gilles Lellouche
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h34minA la suite d’un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les « petits mouchoirs » qu’ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.
Guillaume Canet décrit Les Petits Mouchoirs comme étant son film le plus personnel à ce jour. Il déclare n’avoir jamais eu une telle facilité à écrire, mettant un peu de lui-même et de son histoire dans chaque personnage. Il estime également qu’il s’agit, jusqu’à présent, de son film le plus abouti et dit s’être inspiré des vacances qu’avaient prises ses amis proches alors qu’il était resté bloqué dans un lit d’hôpital à cause d’une infection. L’acteur en avait profité pour faire le point sur sa vie et ses relations.
StudioCinéLive : Guillaume Canet et son casting cinq étoiles (Cluzet, Magimel, Cotillard…) mettent le cap vers une comédie hors norme, un portrait générationnel tordant et déchirant. Le meilleur film de copains depuis vingt ans.
Elle : Ce nouveau film signé Canet a l’ossature d’un « Vincent, François, Paul… et les autres », de Claude Sautet, et les épaules des « Copains d’abord », de Lawrence Kasdan.
- Elle s’appelait Sarah
Mardi 14 à 21h
Réalisé par Gilles Paquet-Brenner
Avec Kristin Scott Thomas, Mélusine Mayance, Niels Arestrup
Long-métrage français.
Genre : Drame
Durée : 01h51minJulia Jarmond, journaliste américaine installée en France depuis 20 ans, enquête sur l’épisode douloureux du Vel d’Hiv. En remontant les faits, son chemin croise celui de Sarah, une petite fille qui avait 10 ans en juillet 1942.
Ce qui n’était que le sujet d’un article devient alors, pour Julia, un enjeu personnel, dévoilant un mystère familial.
Comment deux destins, à 60 ans de distance, vont-ils se mêler pour révéler un secret qui bouleversera à jamais la vie de Julia et de ses proches ?Adapter un livre sur la rafle du Vel d’hiv résonnait également avec la propre histoire du cinéaste : « Je suis d’origine juive et les hommes de ma famille ont disparu à cette période. Mon grand-père a été dénoncé par des Français et est mort au début de sa déportation. Ma mère m’a raconté l’anecdote pour la première fois pendant la préparation du film. Certaines choses sont remontées à la surface. Je n’étais pas là quand mon grand-père a été déporté, mais j’ai vu les conséquences sur ma mère, ses sœurs, ma grand-mère… », raconte-t-il.
Le Parisien : Mission accomplie. Porté par Kristin Scott Thomas, lumineuse et juste, et par l’ultra-convaincante Mélusine Mayance, son film marie le souffle et la sobriété.
Le Figaroscope : Paquet-Brenner signe un très beau mélodrame historique français. Émouvant et sincère.
- L’homme qui voulait vivre sa vie
Mardi 21 à 21h
Réalisé par Eric Lartigau
Avec Romain Duris, Marina Foïs, Catherine Deneuve
Long-métrage français.
Genre : Thriller, Drame
Durée : 01h55minPaul Exben a tout pour être heureux : une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n’est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l’amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Le film est adapté du roman « L’homme qui voulait vivre sa vie » de Douglas Kennedy, paru en France en 1998. L’auteur du roman avait déjà reçu cinq propositions visant à porter à l’écran son livre et avait même écrit lui-même une adaptation pour le cinéma mais elle est restée dans ses tiroirs, car il ne la trouvait « pas très bonne ».
Première : Eric Lartigau s’attaque à un morceau de la littérature contemporaine (…) une montagne qu’il a eu l’intelligence de gravir par sa face la plus accessible: celle du coeur.
Le Parisien-Aujourd’hui : Tourné dans des décors exceptionnels, » L’homme qui voulait vivre sa vie » restitue, à un rythme haletant, les thèmes existentiels chers à Kennedy.
- Harry Potter 7 et les reliques de la mort
Mardi 28 à 16h et 21h
Réalisé par David Yates
Avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson
Long-métrage américain, britannique.
Genre : FantastiqueLe pouvoir de Voldemort s’étend. Celui-ci contrôle maintenant le Ministère de la Magie et Poudlard. Harry, Ron et Hermione décident de terminer le travail commencé par Dumbledore, et de retrouver les derniers Horcruxes pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Mais il reste bien peu d’espoir aux trois sorciers, qui doivent réussir à tout prix.
Harry Potter et les reliques de la mort – partie 1 est l’adaptation du septième et dernier roman des aventures de l’apprenti sorcier. Afin de garantir un développement satisfaisant et une conclusion à la hauteur des attentes, il a été décidé de séparer ce septième film en deux épisodes. Il y aura donc huit films pour sept romans. « (…) C’était le seul moyen que nous avions de raconter l’histoire d’une manière complète et satisfaisante », explique Daniel Radcliffe.
Première.fr : Soyons bref, Harry Potter 7 est une réussite. Le film marque le triomphe de Yates (qui impose définitivement sa griffe sur la saga), le succès du trio (qui donne, enfin, tout sur cet épisode) et une oeuvre qui nage en eaux troubles, s’acheminant lentement vers des territoires beaucoup plus sombres (…)Comme si, profitant d’un épisode intermédiaire, David Yates avait décidé de tout donner. Du coup, plus qu’un simple apéritif ou une prequel à la fin prévue pour l’année prochaine, cet Harry Potter 7 pourrait bien être l’un des meilleurs de la série…
C’est pas une bonne nouvelle ça ?
Les bénévoles de Ciné Monclar vous souhaite un joyeux noël et de bonnes fêtes de fin d’année !
Communiqué de CinéMonclar