A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois d’Août 2011 !
- L’Elève Ducobu
Lundi 1 à 21h
Réalisé par Philippe de Chauveron
Avec Elie Semoun, Joséphine de Meaux, Vincent Claude
Long-métrage français
Genre : Comédie
Durée : 01h36minL’élève Ducobu s’est encore fait renvoyer d’une école. Cette fois, pour éviter de finir en pension, il n’a plus qu’une seule chance : réussir à Saint-Potache. Pour s’en sortir, ce cancre attachant va devoir se surpasser et mettre au point les tricheries les plus ingénieuses et les plus spectaculaires jamais imaginées.
Philippe de Chauveron raconte comment lui est venue l’idée d’adapter la célèbre bande dessinée : « C’est en voyant mes neveux lire L’élève Ducobu que j’ai découvert ce personnage étonnant. L’idée de faire un film sur un as de la triche et l’univers de Ducobu imaginé par Godi et Zidrou m’a tout de suite emballé. Ducobu est un antihéros, ce qui est toujours très intéressant. Nous nous souvenons plus des super fayots et des super cancres que des enfants bien dans la norme. »Le Parisien : Si l’on a entre 7 et 12 ans, les inventions de Ducobu sont sûrement une mine de rigolade. Les plus grands, eux, se rabattront sur la romance complexée qui se joue entre Latouche et Mademoiselle Rateau, alias Elie Semoun et Joséphine de Meaux. Les délires stridents de l’acteur, ses tics de langage, ses accès de sévérité comme de tendresse valent à « l’Elève Ducobu » une note correcte.
- Harry Potter et les reliques de la mort – partie 2
Lundi 8 à 21h
Réalisé par David Yates
Avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson
Long-métrage américain, britannique
Genre : Fantastique
Durée : 02h10minDans la 2e Partie de cet épisode final, le combat entre les puissances du bien et du mal de l’univers des sorciers se transforme en guerre sans merci. Les enjeux n’ont jamais été si considérables et personne n’est en sécurité. Mais c’est Harry Potter qui peut être appelé pour l’ultime sacrifice alors que se rapproche l’ultime épreuve de force avec Voldemort.
Daniel Radcliffe revient sur les dix années qu’il a passées dans la peau d’Harry Potter : « Je n’aurais même pas les mots pour exprimer ce que le rôle d’Harry Potter représente pour moi, mais ce que je peux dire, c’est que je ne l’ai jamais pris à la légère. Et si c’est le même personnage tout au long de la saga, Harry – comme tout un chacun – a beaucoup changé au fil des années. Du coup, j’ai essayé de me renouveler à chaque film et de mettre en avant des traits de caractère différents. » En effet, au cours des 8 films, Harry est passé d’un jeune garçon timide, à un adolescent incompris pour finalement devenir un redoutable sorcier.
Le Journal du Dimanche : David Yates nous offre un dénouement grandiose, avec des effets spectaculaires sublimés par la 3D. (…) Un épilogue à la hauteur de nos espérances.
- M Popper et ses pingouins
Lundi 15 à 21h
Réalisé par Mark Waters
Avec Jim Carrey, Carla Gugino, Ophelia Lovibond
Long-métrage américain
Genre : Comédie , Famille
Durée : 01h40minEnfant, Tommy Popper attendait impatiemment les occasions de parler par radio à son père, un explorateur toujours parti aux quatre coins du monde. Des années plus tard, Popper est devenu un brillant promoteur immobilier à Manhattan. Sa réussite lui a coûté son couple : divorcé d’Amanda, il ne voit plus ses enfants qu’un week-end sur deux. M. Popper mène une vie solitaire et luxueuse dans son appartement ultramoderne de Park Avenue et
lorsqu’un matin, il reçoit l’ultime cadeau de son père décédé – un pingouin vivant, sa vie bascule. En cherchant à se débarrasser de l’animal, M. Popper va juste réussir à en récupérer cinq autres. Alors que les adorables bestioles transforment peu à peu son appartement en banquise, M. Popper voit sa vie déraper. Tout va y passer : le contrat de ses rêves, ses relations, sa vie. Mais grâce à six petits pingouins, M. Popper va découvrir que le bonheur peut aussi faire boule de neige…Alors que Carla Gugino avoue : « Vous ne pouvez pas rester à côté d’eux sans sourire. Ils respirent la joie de vivre. Et ils travaillent pour du poisson ! », Jim Carrey raconte : « Je ne savais pas que les manchots étaient si difficiles à dresser. Tout ce qu’ils veulent, c’est du poisson. J’en avais donc toujours avec moi, dans mes poches, dans mes chaussures… Partout ! » De son côté, Mark Waters déclare avec humour que « ce qui est formidable avec les manchots, c’est le chaos incontrôlable qu’ils créent autour d’eux. »
- Un amour de jeunesse
Lundi 22 à 21h
Réalisé par Mia Hansen-Løve
Avec Lola Creton, Sebastian Urzendowsky, Magne Havard Brekke
Long-métrage français
Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h50minCamille a 15 ans, Sullivan 19. Ils s’aiment d’un amour passionnel, mais à la fin de l’été, Sullivan s’en va. Quelques mois plus tard, il cesse d’écrire à Camille. Au printemps, elle fait une tentative de suicide.
Quatre ans plus tard, Camille se consacre à ses études d’architecture. Elle fait la connaissance d’un architecte reconnu, Lorenz, dont elle tombe amoureuse. Ils forment un couple solide. C’est à ce moment qu’elle recroise le chemin de Sullivan….C’est après le tournage de son premier film, Tout est pardonné, que l’idée du film Un amour de jeunesse est venue à la réalisatrice. Mais c’est seulement après la réalisation du Père de mes enfants qu’elle s’est enfin sentie capable de le faire. « J’avais besoin de tourner la page du père, et faire un film qui parle de ce qui avait occupé l’essentiel de mon adolescence, de ce qui me constituait. Mais surtout, cette histoire me semblait pouvoir être universelle, ce qui m’a encouragée à l’écrire », ajoute-t-elle.
Libération : Mia Hansen-Love peut être fière d’ « Un amour de jeunesse ». C’est un beau film, un des plus émouvants de la saison.
Cahiers du Cinéma : Un amour de jeunesse est une forme de confirmation de ce que les deux films précédents de Mia Hansen-Løve portaient d’originalité, de profondeur de regard, d’intelligence du récit.
- La dernière piste
Lundi 29 à 21h
Réalisé par Kelly Reichardt
Avec Michelle Williams, Paul Dano, Bruce Greenwood,
Long-métrage américain
Genre : Western
Durée : 01h44min
VO, sous-titré1845, Oregon. Une caravane composée de trois familles engage le trappeur Stephen Meek pour les guider à travers les montagnes des Cascades. Parce qu’il prétend connaître un raccourci, Meek conduit le groupe sur une piste non tracée à travers les hauts plateaux désertiques. Ils se retrouvent perdus dans un désert de pierre.
La faim, la soif et le manque de confiance dans l’instinct de survie de chacun d’entre eux sont autant d’obstacles qui se dressent sur leur chemin.La dernière piste est un western réaliste inspiré de faits réels. En effet, les évènements qui sont représentés dans le film ont réellement eu lieu en 1845. La volonté de la réalisatrice a été de privilégier l’authentique au spectaculaire, pour rompre avec la tradition du genre
Marianne : « La Dernière Piste », dans sa grâce austère, n’est pas seulement belle, c’est un grand film mystérieux et élégiaque, un western d’avant le western.
Le Figaroscope : « La Dernière Piste » est une œuvre sobre, intense, austère, pleine de sueur, de poussière et de silences. Superbe !
Communiqué de Ciné Monclar