« Jeudi 17, c’est jour de grève à l’école des Gais Pinsons. Trois enfants, chacun pour leur propre raison, s’associent pour une mission capitale : ramener leur maîtresse en classe. De son côté, loin des préoccupations des trois héros mais quand même pas si loin que ça, Dodo le pigeon entame une quête qui le mènera peut-être au trésor de l’Assiette Dorée. »
Collection en trois volumes
Editeur : Un café, l’édition ! – N° ISBN : 978-2-9543561-0-5 – 112 pages
Où se procurer l’ouvrage :
– Sur le site internet d’Un café, l’édition ! : http://www.uncafeledition.com/
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– Sur Amazon, la Fnac et e-leclerc…
J’ai écrit, dessiné et coloré cette bande-dessinée comme un hommage aux deux auteurs qui ont bercé mon enfance, mon adolescence et ma vie d’adulte, qui m’ont fait rire et rêver : René Goscinny et Albert Uderzo. Dans un style Franco-belge, école flamande, j’ai voulu réaliser un projet de jeunesse, sans faire un pastiche, mais plutôt un album « tribute ».
Le trésor de Saint Pons est issu d’une légende naît au moyen âge autour de la création de l’Abbaye de Saint Pons de Thomières.
Pontius était un sénateur romain très riche, qui avait hérité de l’immense fortune de son père, lui même sénateur. Il se convertit au christianisme et abandonna sa fortune, soi-disant au profit des pauvres. Mais la légende dit que son « Trésor » fut caché dans une châsse (ou reliquaire.)
Il mourut en martyre, refusant de révéler son secret et il fût canoniser en l’an 423 sous le nom de « Saint Pons ».
Otgarius, confesseur de Raymond 3, informé de la légende sur Pontius, fit transférer le reliquaire dans l’église de l’abbaye qui fut dédiée à Saint Pons.
Cette histoire est racontée dans cette bande dessinée de 44 pages et donne de précieuses informations sur ce qu’est devenu ce trésor depuis que le reliquaire a disparu à la Renaissance.
Otgarius n’a pas pu mener ses plans à bien, à cause de deux individus venus travailler sur le chantier de l’Abbaye.
Cette BD, humoristico-historique se déroule dans la vallée du Jaur, aux décors luxuriants et une nature généreuse. 44 pages pour rêver d’aventures au Xième siècle dans un style Franco/belge et un humour d’aujourd’hui. Les nombreux niveaux de lecture et la richesse du dessin permettront plusieurs niveaux de lecture, qui séduiront les amateurs de BD de 6 à 99 ans.
Toulouse est une belle qui, sous ses habits de brique rose, cache bien des mystères : trésor maudit, temples disparus, morts mystérieuses, corps introuvable ou saint suaire exotique. Des secrets se dissimulent à chaque coin de rue : un château dormant par ici, d’insaisissables Demoiselles par là. Malgré les drames qui n’ont pas épargné la ville -tragédie cathare, guerres de religion, inondations-, la cité semble indestructible avec ses miracles – celui du pastel ou des vierges Noires -, ses légendes et sa joie de vivre toujours intacte.
«Mille et une» histoires curieuses, insolites, dramatiques ou drôles, pour découvrir ou redécouvrir une ville accueillante, et les personnages, réels ou inventés qui font son histoire.
Éditions Ouest-France – ISBN 978-2-27373-5926-2 – Prix : 13,50 euros
Il a été beaucoup écrit sur Tréguier. Reconnaissons toutefois que les ouvrages en question portent essentiellement sur la vie religieuse de la cité épiscopale. La cathédrale et les lieux associés ont fait l’objet de nombreuses publications. Sur la ville elle-même et son histoire il existe en fait peu d’études.
Luc Corlouër nous livre dans son nouvel essai historique la petite histoire de Tréguier celle qu’il détient grâce à ses recherches mais aussi par la tradition orale familiale.
On retrouve dans « Tréguier autrefois » la nostalgie de la ville du Trégor, ses anciennes halles, ses monuments disparus, mais aussi des histoires méconnues comme celle de la « guerre des huîtres », des « impôts sur les chiens » et les « petites histoires de Tréguier ».
A l’ombre de la cathédrale et des vieilles rues découvrez ou redécouvrez Tréguier oublié.
Toutes les légendes des photographies de « Tréguier autrefois » sont écrites en français, anglais et traduites en breton par Erwan Corlouër. Illustrations de Philippe Hodique.