« C’est une fille! » Dès sa naissance, tout le poids d’une tradition marocaine rétrograde tombe sur Kenza, enfant puis femme libre, intelligente, courageuse, qui devra se battre pour gagner le droit de prendre en mains son destin. Grâce à sa ténacité, avec le soutien de ses amis, réalisera-t-elle son rêve d’études libératrices, d’indépendance, de justice, enfin, pour elle et pour les femmes de son pays? Une vague contre l’oppression, tel est le destin de Kenza; une vague que l’on suivra encore longtemps du regard après avoir refermé le livre.
Fête de la vielle samedi 24 et dimanche 25 septembre 2016 à la grange du Causse de Soulomès.
Mille ans d’existence !!! et pourtant elle tourne encore… La vielle à roue a longtemps été associée aux peuples mendiants, voleurs et camelots, musiciens routiniers. Après un passage aristocratique, elle nous revient en tant qu’instrument populaire…
Cette fête de la vielle se veut un panorama sur cet instrument méconnu, soutenu par des artisans luthiers, musiciens(nes) avec la prétention de nous étonner encore. Les 24 et 25 septembre, à la grange du Causse de Soulomès, amenez votre curiosité et invitez votre âme de musicien(ne) qui dort peut-être en vous ! (suite…)
Je n´oublierai jamais ce séjour en France. J´étais très contente de ma famille d´accueil, vu qu´ils m´ont montré beaucoup de lieux magnifiques dans leur région. De plus, j´ai fait la connaissance de leurs amis qui étaient très sympas et qui m´ont appris un grand nombre d´expressions idiomatiques typiques de cette région. En contrepartie, je leur ai parlé de mon pays – des repas typiques, de la politique, du système éducatif, etc.
J´ai profité beaucoup de cet échange des opinions, des traditions et des particularités.
D’un côté j´ai vu leur mode de vie et j´ai écouté le langage courant dans la famille et de l´autre côté j´ai révisé la grammaire française dans une école de langues à Toulouse.
Concilier les deux choses était parfait. En somme- ce séjour a dépassé mes attentes.
Amoureux des Arts et Amoureux de Murol nous ont soutenues, encouragées dans nos recherches, nos passions, notre opiniâtreté afin que nous vous offrions cette balade au fil des pages, balade magique mais aussi, quelque part, tellement vraie.
Ouvrez et tournez ces pages de vies tout en images et clins d’œil.
Au hasard des rues, traditions, rêves et anecdotes vous apporteront sourire aux lèvres, ou peut-être une larme.
Ainsi vont les jours.
. 5 – 6 – 7 octobre 2012 . Au relais des Pyrénées, route des cols .
Les deux premières éditions du SALON DU LIVRE PYRÉNÉEN de Bagnères-de-Bigorre en 2010 et 2011 ont été un succès et ont trouvé leur public avec près de 2000 visiteurs à chaque fois.
Cette année encore la qualité des exposants présents démontre l’intérêt et l’attrait de cette manifestation auprès des professionnels mais aussi auprès des auteurs d’ouvrages pyrénéens ainsi que du public que nous espérons en plus grand nombre encore que les années précédentes.
Ce Salon du livre Pyrénéen est né du désir de mieux faire connaître les multiples publications ayant trait aux Pyrénées, et de contribuer à la découverte et à la connaissance de ce vaste territoire mis en relief par la chaîne pyrénéenne.
Le livre pyrénéen non pas réduit à la seule montagne, mais pris au sens large, avec tous les sujets traitant des Pyrénées ou les abordant : la géographie, les cultures et les populations, les lieux, les personnages, les histoires et les traditions, la littérature, mais aussi l’architecture et l’art, la faune, la flore, la géologie…
Bagnères-de-Bigorre accueille cette manifestation qui s’inscrit dans la longue et riche tradition culturelle de la ville.
Ce Salon du livre pyrénéen, dont l’objectif est de fédérer chaque année ceux qui publient, écrivent ou lisent sur les Pyrénées, françaises ou espagnoles quel que soit leur angle d’approche, se veut aussi créateur de liens, de rencontres, de découvertes, de projets, et se détermine comme un espace de convivialité. Les deux premières éditions ont parfaitement rempli ce contrat. Nul doute que cette année ce salon sera encore un grand évènement pyrénéen, grâce à tous : éditeurs, auteurs lecteurs et bénévoles de l’association Binaros.
Stéphane Lévêque , Président de l’association BINAROS
« Agost amadura e setembre culis » Août mûrit et septembre cueille . « setembre es lo mes vendemiaire ». Septembre est en effet le mois des vendanges. Le poète Fabre d’Eglantine, originaire de Narbonne, le savait bien lui qui l’appela « vendémiaire ». C’est le mois de l’abondance. De quoi combler le paysan ! « Caldria onze meses de setembre e passariam l’autre a grapilhar ». Il faudrait onze mois de septembre et l’on passerait l’autre à grapiller. Le vigneron a eu soin de préparer la futaille, de nettoyer les cuves « netejar las tinas », les foudres « las botas », les barriques et les tonneaux « barricas e barricòts ». L’équipe de vendangeurs « La còlha de vendemiaires » s’est répandue dans la vigne, conduite par « lo mossenhèr ». Il y a « los copaires e las coparèlas » qui, munis de la serpette « lo cotèl podador » tranchent le raisin et le cueillent dans un panier « vendemiador ».
« Al temps de las vendemias, totis los panièrs son bons » assure le proverbe. « Los portaïres o gorbelaïres » charrient sur leur dos, à l’aide de « gorbèl », les grappes qui passent ensuite dans les comportes appelées « cornudas » o « semals ». Celles-ci permettront le transport vers la cave « chaï, cava ». Travail joyeux accompagné de rires et de chants. Parfois les garçons barbouillent le visage d’une fille pour un raisin oublié, ce qui se dit « mostar » ou « far lo morre de vendemias». Travail qui récompense une longue année de soucis et d’efforts mais qui pourtant laisse l’idée d’un profit qui s’acquiert sans peine.
De quelqu’un qui, durant une période donnée, gagne beaucoup d’argent avec une apparente facilité , ne dit on pas « aquel vendemia » ? C’est dans ce sens qu’il faut entendre le proverbe « A vingt ans òm vendemia, a seissanta òm grapilha ». A vingt ans on gagne beaucoup et sans peine, à soixante, on gagne peu et avec difficulté.
Lo quista paraulas
Sous la direction de Christian-Pierre Bedel, responsable de l’opération Al Canton, « Grisolles », un ouvrage consacré à la mémoire occitane du canton, a été édité par l’association Loisirs et Culture de Canals. Paul Burgan et Jean-Michel Garric en sont les Co-auteurs ; Guy Astoul, Jean Gay, Raymond Dumons, Marie-Madeleine Olivier et Michel Vayssières y ont apporté leur contribution ainsi que Jean Gay, André Klein et Michel Mizrahi pour l’iconographie.
Les 304 pages de l’ouvrage, illustrées de 400 photos et cartes postales anciennes présentent divers aspects historiques et ethnographiques des communes de Grisolles, Bessens, Campsas, Canals, Dieupentale, Fabas, Labastide-Saint-Pierre, Monbéqui, Nohic, Orgueil et Pompignan. Les témoignages des habitants , en occitan, évoquent les traditions et la vie collective de la 1ère moitié du XXème siècle, ainsi que les travaux agricoles, la vie quotidienne, les mœurs et les coutumes.
Prix : 35 euros.
Disponible auprès de Michel Vayssières (Port en sus), de la librairie Deloche à Montauban ou auprès de L’ASAGAL , Association Tarn e Garona Occitan. 396 chemin d’Austrie, Sant Genari / Saint Hilaire 82000 Montalban. Tel 09 88 77 34 80 / tarnegaroc@nordnet.fr ou 06 71 00 29 25 / journalrobert@wanadoo.fr
Tout avait bien commencé avec Clovis quand il renonce au paganisme au soir de son baptême par l’évêque Rémi. Mais avec la fameuse victoire sur les arabes à Poitiers en 732, c’en est fini de ce qui devait être de la France d’aujourd’hui. Dans ce livre j’explique que la crise du monde (ce qu’on appelle le déclin de l’Occident), est liée à la perte irréparable de la trinité romaine, de la religion, de la tradition et de l’autorité. Quand la veille de son exécution le Roi Louis XVI en appelle à la Sainte Trinité il en fait référence.
En réalité, en décapitant le roi, c’est nos1000 ans d’histoire qui sont remis en question. Mon livre intitulé pour la circonstance » l’homme aux trois soleils » se veut en conséquence la relecture de ces 1000 mille ans d’histoire qui ont fait la France actuelle.
Après l’abolition de la monarchie de droit divin, après voir connu l’aventure napoléonienne, renouvelée en 1852, et le retour de la monarchie de 1815 et 1848, les républicains ont pris soin sous les III et IV Républiques de parer à tout pouvoir personnel, avec un président fantoche et une Assemblée forte. Mais parce que tout homme a besoin de re- »père ». De Gaulle a créé la Vème république question de redonner une image forte au Président. Il n’a pas voulu rétablir l’ancienne monarchie mais il a ouvert la France à la nouvelle. Le monde des courtisans ne mourant jamais, avec la disparition du Général De Gaulle, la Vème république fonctionne aujourd’hui en une monarchie avec tout ce qu’il y a de négatif.
A propos du pouvoir, Jésus est très clair quand il s’adresse à Pilate : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi, si cela ne t’avait été donné d’en haut ; c’est pourquoi celui qui m’a livré à toi (Judas) a commis un plus grand péché ».Jean (19,11) . En conclusion la seule issue pour la France est de rétablir une véritable monarchie à visage découvert et… humain. Le prince Louis XX est la clé de cette révélation qui m’a été faite dans des conditions très particulières.