Retraité de la gendarmerie, Yves Gardères a effectué toute sa carrière dans cette institution. Originaire des Hautes-Pyrénées, département où il a vécu jusqu’à ses 17 ans, il réside actuellement à Saint-Affrique dans l’Aveyron. Pour écrire, il s’inspire de son vécu, des épreuves qu’il a surmontées et des rencontres passionnantes, parfois dramatiques, qui ont jalonné sa carrière.
« Normalien , agrégé de mathématiques, diplômé d’études supérieures de sciences économiques , j’ai eu une carrière professionnelle atypique.
J’ai enseigné quelques années à l’université avant d’être détaché sur un poste d’administrateur civil à la Direction du Trésor où je me suis familiarisé avec le monde de l’entreprise et de la finance internationale.
C’est ainsi que j’ai pu exercer par la suite des fonctions financières et juridiques de cadre dirigeant dans de grandes entreprises industrielles. J’y ai connu, bien malgré moi , des situations inhabituelles et parfois difficiles à vivre.
Ma vocation littéraire est récente. J’ai ressenti le besoin impérieux d’écrire des romans inspirés de mon vécu mais demeurant en tout point des fictions. Le genre thriller m’a paru adapté aux situations que je décris.
J’ai fait le choix de prendre comme principal protagoniste une femme.
Ma conviction est que les femmes sont en général plus résilientes que les hommes face aux épreuves.
Dans mes deux premiers romans, mon héroïne est cadre dirigeant d’une banque internationale. Choisie comme fusible elle est licenciée , condamnée et menacée dans son existence même . Elle est contrainte de mener une guérilla acharnée contre des adversaires influents et sans état d’âme.
Un troisième roman, en cours de rédaction, est une romance en forme de thriller entre une femme peintre et un homme écrivain.
Une banque d’affaires internationale respectueusement appelée « la Banque « , prend le contrôle d’une entreprise de haute technologie, persuadée d’avoir mis la main sur une pépite. Celle-ci a décroché en Libye du temps de Kadhafi un contrat juteux d’un montant conséquent. A la chute du régime le décor change radicalement et le contrat vire au vinaigre. Du côté français c’est la panique et chacun court se mettre à l’abri.
Dans toute situation de crise on recherche un bouc émissaire. Véronique Walter, cadre dynamique d’une quarantaine d’années, est choisie comme fusible à l’unanimité. Elle arrêtée par la police et interrogée en garde à vue. Mise en accusation, elle ne pourra compter que sur son caractère et son sang-froid pour limiter les dégâts. Lorsque tous vous désignent comme coupable, assurer sa défense est problématique.
Une intrigue captivante dans un univers politico financier très actuel. Une histoire inspirée de faits réels ? Il appartient au lecteur d’en juger.
Un jeu de quilles
Véronique est une jeune femme dynamique aimant la vie avec passion. Son employeur, une banque internationale, la Banque, l’a choisie comme fusible pour se couvrir contre des opérations douteuses. Elle est brutalement licenciée puis injustement condamnée.
Véronique s’évertue à rebondir mais ceux qui la soutiennent sont rares et ses adversaires sont influents et sans état d’âme. Ceux qui l’approchent de trop près périssent de mort violente. Elle-même fait régulièrement l’objet de menaces sans équivoque. Ses ennemis les plus virulents s’acharnent à vouloir lui faire la peau.
Sa guérilla judiciaire, après de multiples rebondissements, s’achèvera à son avantage. Justice lui sera enfin rendue. Pour parvenir à ce résultat, son avocat aura dû batailler sans relâche contre le « système ».
Grâce à son sang-froid et à sa résilience, Véronique survivra professionnellement. Parviendra-t-elle pour autant à survivre tout court ?
Dans ce thriller où rôde un étrangleur à la source du Danube et sur les bords du Tarn, le lecteur est emporté par les remous de l’histoire franco-allemande, de 1805 à nos jours.
« En tout cas, même achevé depuis plusieurs jours voire plusieurs semaines, Elwig s’installe dans nos mémoires pour longtemps. Et l’on porte pour un bon moment les stigmates d’un thriller bâti avec force tout en mise en abîme. Rien n’est attendu. On demeure surpris à chaque chapitre. Et c’est probablement là que réside la singularité même de cette petite perle. »
Christophe MARIS, Journaliste – Écrivain – Expert en communication
Qui a intérêt à terroriser Poerava Morton, la chroniqueuse vedette du Sydney Post ? C’est la question que tout le monde se pose.
Depuis son accident en plein centre de Sydney, la vie de Poerava est devenue un véritable cauchemar. La jeune Tahitienne se trouve mêlée, malgré elle, à des événements qui lui échappent et l’entraînent vers un passé qu’elle rejette.
Une intrigue riche en rebondissements, des meurtres en série et une image obsédante de tiki en filigrane conduisent le lecteur aux portes de l’horreur.
Editions Le Motu, novembre 2009, 263 pages, ISBN 978-2-915105-59-9 – Prix papier : 17€
Ouvrage disponible dans de nombreuses librairies en France (en stock ou à la commande), existe également en version numérique.
Au hasard d’une halte sur la route qui le ramène à Toulouse, un policier en civil, se trouve être le témoin d’une conversation entre des inconnus. Il sent s’éveiller en lui un étrange pressentiment et décide de renouer, dès son retour, ses relations avec une amie, parce qu’il redoute soudain, et de façon inexplicable, qu’elle soit en danger.