Rencontre avec Jean de Levat pour l’ensemble de ses œuvres

2 mars 201523 février 2015 Yann

Présentez-nous vos ouvrages en quelques mots ?
Mes ouvrages sont placés sous le signe de « L’Histoire démystifiée ». Ils sont le fruit de plusieurs années de recherches et d’études et ont été reçus dans les bibliothèques des plus grandes Universités mondiales. Ils sont diffusés dans plus de 40 pays à travers le monde, et occupent plus de 300 rubriques (30 pages) sur Google.
En France, ils sont proposés dans les principales chaînes de libraires avec le soutien du CNL – Centre National du Livre (Ministère de la Culture), comme « Les libraires » (120) ou « Place des libraires »(200).

Pourquoi avoir écrit ces livres ?
Napoléon disait « L’Histoire n’est que mensonges », et les principaux magazines comme l’Express ou le Point ont consacré des numéros spéciaux sur ce sujet. Passionné par l’histoire, c’est-à-dire le passé qui a fait ce que nous sommes, les racines dont nous sommes issus, et que nous devons respecter pour vivre en harmonie avec la nature.

D’où vous est venue votre passion pour l’histoire ?
C’est un atavisme familial, avec deux grands-pères membres de l’École Française de Rome, et bien plus loin encore.
Élevé par les « bons Pères », je me suis rendu compte rapidement du double jeu de leur enseignement basé essentiellement sur la crédulité de la Foi, le dogmatisme de « la vérité révélée », et non pas sur une quelconque raison scientifique.
L’un des amis de Voltaire, Thirry d’Hobach a dit: « C’est de l’ignorance et de la peur que sont nés les religions ».

Pourquoi préférez-vous écrire des essais ?
Nombreux sont aujourd’hui les écrivains de circonstances qui n’ont qu’une seule ambition, c’est celle de se faire connaître rapidement et de se faire du « fric » sur un scandale.
Et pour un public qui vit dans l’anecdote et le scandale c’est la manne des affairistes.
Ce n’est plus de la littérature, mais du fait-divers.
La forme de l’essai me semble convenir mieux à la recherche que tout autre mode littéraire.

À quel lecteur s’adresse vos ouvrages ?
Voilà le problème; mon lectorat vise les chercheurs et les érudits, ou encore les personnes cultivées, celles qui réfléchissent et qui évitent « la pensée unique ».

Quelles sont les principales qualités de vos livres ?
Ce n’est pas à moi de le dire, mais à mes lecteurs dont les références se trouvent ci-dessus. Il est dommage qu’à ce jour, il n’y ait pas plus de traductions.
En principe mes livres ont un style clair et agréable et n’ignorent pas la boutade.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers vos ouvrages ?
Comme la plupart des chercheurs, je tente de prouver que Dieu est une invention de l’Homme qui dans son ignorance, n’a pas d’autres explications par rapport à l’Univers.
Et pourtant la sonde Rosetta et le robot Philae, ou les expériences du CERN à Genève en apportent la preuve.
Sur le site Athéisme où figurent les noms des plus importants scientifiques ou penseurs, on trouve le nom de Jean de Levat.

Quel est le livre qui vous a pris le plus de temps à rédiger ?
Pour à peu près tous mes ouvrages, cela m’a pris au moins une bonne année pour chacun.

Pensez-vous qu’il n’existe pas de vérité historique ?
L’Histoire « officielle » est un conte fée comme le disaient déjà Socrate ou (Saint) Augustin. En fait, c’est de la pure propagande.
La boutade selon laquelle quand un Français arrive à Londres, il ne voit que des noms de défaites, est toujours d’actualité.

Quel est le livre dont vous êtes le plus fier ?
À coup sûr, ce sont Les mirages de Lourdes qui ont obtenus un succès à l’échelle mondiale, puisque diffusés dans plus de trente pays, malgré le fait que le texte n’ait pas encore trouvé de traducteur, sauf au Vietnam.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Mes ouvrages ne doivent rien à l’inspiration; mais sont essentiellement le fruit de recherches au plus haut niveau

Quels sont vos auteurs préférés ?
Bien évidemment les historiens, puis Victor Hugo, Balzac, Voltaire; Ronsard, Rabelais.
Et une bibliothèque de plus de mille livres

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Puisque mon recueil Le Sale air de la Peur a obtenu un premier prix International de littérature, je compte persévérer dans cette voie. Un ouvrage est en préparation.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
« Vivez si m’en croyez,
Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie » – Pierre

Rencontre avec Jean COLADON et Guy ASTOUL, auteurs du livre d’art et d’histoire « Montauban flamboyante et rebelle »

24 février 20152 février 2017 Yann

Rencontre avec Jean COLADON et Guy ASTOUL qui donneront une conférence dimanche 1er mars 2015 à 16h au 6ème Salon du Livre et de la BD de Nègrepelisse.

Jean COLADON et Guy ASTOUL

Jean Coladon Guy Astoul vous avez travaillé ensemble sur l’ouvrage « Montauban flamboyante et rebelle ». Quel est le point de départ de cette aventure artistique et historique ?

Nous étions tous les deux adhérents à la Compagnie des écrivains de Tarn et Garonne, tous deux passionnés par l’histoire de la ville et depuis toujours touchés par sa beauté. Souvent nous en avions parlé sans penser à en faire un ouvrage.

Guy Astoul : C’est en parlant devant Colette la femme de Jean et néanmoins mon amie de longue date qu’elle nous a lancé cette réflexion en forme de défi « mais qu’attendez pour en faire un livre ! » L’idée était évidente. On s’est mis au travail.

Alors comment l’historien et le peintre ont-ils travaillé ensemble ?

Jean Coladon : J’ai commencé à me balader dans la ville avec carnet de croquis et appareil photos, j’en ai ramené un nombre impressionnant d’images. Ça n’a pas été si facile parce qu’il a fallu frapper aux portes, rentrer dans les maisons, les hôtels particuliers, convaincre les gens de me laisser poser sur leur habitat un regard nécessairement intrusif, mais globalement les choses se sont très bien passées. Après il ne me restait qu’à m’enfermer dans mon atelier pendant…deux bonnes années !

Guy Astoul : Au fur et à mesure Jean m’envoyait ses premières aquarelles et j’ai bâti un cheminement littéraire et historique qui suivait le regard du peintre

Jean Coladon : Tu m’as quand même imposé quelques passages obligés ! Mais ils étaient, je l’avoue, indispensables à l’histoire de la ville.

Le résultat est un très beau livre d’aquarelles sur la vraie ville rose qui sera présenté le 1ier Mars au Salon du livres de Nègrepelisse et vous serez là pour le dédicacer. Dédicaces à la salle des fêtes, 14 Place Nationale toute la journée. Conférence à 16h à la cuisine, centre d’art et de design, esplanade du château à Nègrepelisse. Voir le programme

Contact : Salon de Nègrepelisse
Courriel : journalrobert@wanadoo.fr
Tél. : 06 71 00 29 25

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Rencontre avec Claude Rannou, un romancier passionné.

23 février 2015 Yann

Rencontre avec Claude Rannou le Dimanche 1er mars 2015 au Salon de Nègrepelisse (82).

– Claude Rannou, quels genres de livres écrivez-vous?J’ai une prédilection pour les livres qui s’inscrivent dans une période historique précise. Cela me permet d’immerger le lecteur dans une histoire qui n’est pas seulement de la fiction.

– C’est là que vous trouvez l’inspiration?

Le mot inspiration est trop galvaudé. On pense qu’il suffit d’avoir de l’inspiration pour faire de grandes choses. En fait, il faudrait plutôt parler de recherche et d’imagination.

– Alors comment travaillez-vous?

Je choisis une époque et un lieu. J’essaie de trouver dans les archives des personnes ayant existé à cette époque. Ce ne sont que des noms mais je remplis ces enveloppes vides de mes personnages et je les laisse ensuite vivre leurs propres expériences. Je ne sais jamais à l’avance ce qu’ils vont faire, même si je tente de les influencer.

– Vous allez présenter votre dernier ouvrage au salon de Négrepelisse ce 1 mars?

Oui, c’est le dernier volet d’une saga qui se déroule au 13ième siècle. Il fait près de 500 pages mais il se lit facilement, d’après mes premiers lecteurs. Il s’appelle « La fontaine des Aubets » et beaucoup de faits réels y ont été repris. C’est mon 6ième roman.

– Merci Claude Rannou et nous vous souhaitons un bon salon de Négrepelisse.

Contact : Salon de Nègrepelisse
Courriel : journalrobert@wanadoo.fr
Tél. : 06 71 00 29 25

6ième Salon du Livre et de la BD de Nègrepelisse (82). Dimanche 1er Mars 2015

5 février 201518 février 2022 Yann

Le 6ième salon du livre et de la BD est organisé par l’association Autriche et Pays d’Oc et le site 7 à lire avec le soutien de la Mairie de Nègrepelisse, de la Cuisine centre d’art et de Design au château de Nègrepelisse, du Conseil général de Tarn et Garonne et du Conseil Régional de Midi-Pyrénées.

Liste des auteurs inscrits (liste susceptible de modifications).
Si vous cliquez sur le nom en rouge, vous découvrirez la page de l’auteur sur 7 à lire !

Guy ASTOUL
Chantal ANTUNES
Marie BAULNY CADILHAC
Colette BERTHES
Jacqueline BOYE
Graziella CAPRARO
Patrick CAUJOLLE
Jean COLADON
Gérard CONTON (Mémoires du Monde)
Julie CONTON (Mémoires du Monde)
Albert COSTAMAGNA
Jacques COUSTALS
Colette DELPON
Josseline DOCQUIR
Jakie DURRIEU MALET
Christian EYCHLOMA
Dominique HUMBLOT
Emilie KAH
Behnam KERYO, calligraphe
Sara L SLUMP (BD / mangas – personnages de BD japonaises)
Maïté LAUZELY DARBON
Maud LETELLIER
Hélène LOASIS
André MALET
Hélène MARCHE
Raymond MATABOSCH
Marilène MECKLER
Céline MONCHOUX
Elisabeth NICAISE
Alain PESCHEUX
Véronique PIAZZA
Claude RANNOU
Elena RENAIRE
Sandrine RENAIRE
Marie José SEGURA
STRÖM (BD) / Les 400 bulles.
Yves VERNHES

Animations gratuites :
1) A la Salle des Fêtes

Atelier Manga. S Slump

– 9h /12h et 14h / 18h : Atelier gratuit de calligraphie animé par Behnam KERYO
Ouvert à tous

– 9h / 12h : « Apprendre à dessiner des mangas » (personnages de bandes dessinées japonaises).
Ouvert aux 8/18 ans. Travail adapté selon l’âge. Matériel fourni. Atelier gratuit animé par Sara L SLUMP.

– 15h / 16h30 : Atelier BD animé par STROM. Ouvert à tous, mais essentiellement aux enfants et aux jeunes ados .
Se munir d’un crayon, gomme, règle) . Inscription souhaitée au 06 71 00 29 25

2) A la Cuisine – Centre d’Art et de Design – Château de Nègrepelisse :

– 14h / 17h30 : « Apprendre à dessiner des mangas » (personnages de bandes dessinées japonaises).
Ouvert aux 8/18 ans. Travail adapté selon l’âge. Matériel fourni. Atelier gratuit animé par Sara L SLUMP

CONFÉRENCES (Entrée libre)

– 14h30 : Le Décodage Biologique. Le sujet : La Thyroïde. Conférence d’Alain Pescheux psycho énergéticien-Biotique, conférencier, écrivain, formateur en PEB.
Le groupe sanguin constitue la clé de tout le système immunitaire de l’organisme. A partir du groupe O nous développerons l’évolution de l’homme dans toute sa complexité.

– 16h : Montauban flamboyante et rebelle, un livre d’art et d’histoire.
Conférence de l’historien Guy Astoul et l’artiste peintre Jean Coladon présenteront leur ouvrage paru en mai 2014, avec des aquarelles de Jean Coladon, un peintre bien connu des Tarn et Garonnais et des commentaires dus à la plume de Guy Astoul, historien très impliqué dans les sociétés montalbanaises. Publié sous l’égide de la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne, cet ouvrage de grand format relié donne de superbes images du riche patrimoine dont la ville s’enorgueillit : la place des couverts, l’église saint Jacques, le pont vieux, le musée Ingres et de nombreux hôtels particuliers… De Montauriol à Montauban, du pigeonnier fortifié à la Mémo, de la rébellion face à l’armée royale combattant les cathares au siège de 1621, neuf siècles d’un passé riche et tumultueux sont racontés et illustrés.

5ème Salon du Livre de la Montagne. Montredon Labessonié (81). Dimanche 7 Décembre 2014.

12 novembre 201413 novembre 2014 Yann

Auteurs inscrits :

Les auteurs en rouge ont leur présentation sur ce site ; cliquez sur leur nom pour y accéder !

Claudine Thibout Pivert.

Jacques Coustals

En tête à tête avec Christine BECHAR

11 septembre 2014 Yann

Nous avons rencontré l’auteur Christine BECHAR qui nous présente ses derniers ouvrages

Robert Linas – Ce qu’on se demande bien souvent en découvrant un nouvel auteur : Comment en êtes-vous venue à écrire ?

Christine Béchar – Ce fut une décision très spontanée. Une envie, un besoin. Jamais je n’aurais cru, en m’installant devant mon ordinateur, que je ferais d’une rédaction scolaire un roman et encore moins une trilogie.

RL – Vous remerciez votre fille dans deux de vos livres, l’idée de MADRUGADA vient-elle d’elle ?

CB – Non, l’idée de la métamorphose était bel et bien de moi, mais elle a effectivement été inspirée par un sujet de rédaction. En fait, j’aurais dû remercier son professeur d’allemand. Ma fille n’en reste pas moins ma plus grande source d’inspiration, puisque l’idée même du roman AU SEUIL DE L’INSTANT est née suite à une de nos discussions.

RL – L’héroïne du roman est une femme d’une cinquantaine d’années, auteur. Elle a également une fille. S’agit-il d’une autobiographie ?

CB – Fort heureusement, non. D’abord, j’ai deux filles et un mari que je compte garder encore bien longtemps. Certes, il y a des parallèles, mais un tel vécu m’a été épargné. Certains retiendront de ce livre le côté érotique ; pour moi il s’agit avant d’une histoire dure qui cherche à donner espoir. Son message : Quoi qu’il arrive dans la vie, rien n’est désespéré, tout est surmontable.

RL – MADRUGADA est une romance fantastique qui s’adresse avant tout à un jeune public, AU SEUIL DE L’INSTANT un roman contemporain destiné aux adultes, du fait de certaines scènes érotiques. Cela veut-il dire que vous changez de direction ?

CB – Pas du tout. AU SEUIL DE L’INSTANT est sorti de ma plume entre deux tomes de MADRUGADA. Quand j’écris, j’écoute mon cœur. J’aime faire des choses différentes, me mettre à la place des gens, même des hommes, ainsi que vous avez pu le constater avec AU SEUIL DE L’INSTANT, puisque le narrateur appartient justement à la gent masculine. J’aime également écrire sur des tons très variés.

ZONE 4, mon prochain roman à paraître aux Éditions REBELLE se situe à mi-chemin entre mes publications actuelles.

RL – Est-ce un roman fantastique ou contemporain ?

CB – Plutôt science-fiction, mais il s’agit également d’une romance.

RL – Se pourrait-il que vous ayez une prédilection pour le genre ?

CB – Bizarrement, oui ; même si, tout compte fait, je suis friande de thrillers. Mais effectivement, je crois que la romance tiendrait une grande place même si je devais écrire un polar.

RL – C’est ce que vous nous réservez pour la suite, un polar ?

CB – Dans l’immédiat, je ne sais pas. Un jour, sûrement. J’ai fait un petit essai avec ma nouvelle LA BÊTE DU BOIS DE BOULOGNE. À l’heure actuelle, plusieurs idées très différentes me traversent l’esprit. Comme je n’aurais que peu de temps à y consacrer dans les semaines à venir, je ne cherche pas à les développer. J’espère que l’une d’entre elles ne me lâchera plus le moment venu, le jour où j’aurai le loisir de me remettre à l’écriture.

Merci à Christie BECHAR de nous avoir accordé cet entretien…. en souhaitant à ses lecteurs de bons moments.

Amicale des Écrivains Régionaux (ADER)

4 septembre 201427 mai 2018 robert

L’Amicale des Écrivains Régionaux (ADER) est une association régie par la loi de 1901.

Elle a pour but de créer des liens amicaux entre ses membres, écrivains francophones installés dans toutes les régions de France et d’ailleurs !

L’appellation écrivains régionaux n’implique pas que les adhérents soient essentiellement des auteurs d’histoires régionales. Ils abordent toutes les formes de littératures : romans, romans policiers, romans du terroir, nouvelles, études historiques et philosophiques, poésies, etc. !

L’Amicale est un lieu de rencontres, d’échanges et d’informations. Elle publie un Bulletin. Elle gère ce site Internet. Elle propose un Prix littéraire annuel. Elle est représentée dans de nombreuses manifestations (Salons, foires aux livres, etc.).

Bureau de l’ADER
Président : Pierre Gintrand
Vice-président: Jean Salabert
Secrétaire : Marie Delaporte
Trésorière : Maguy Salabert
Communication et Site Internet : Jean-Pierre Poisot

Contact :
Courriel : contact@amicaledesecrivains.fr
Site : www.amicaledesecrivains.fr

11ème Salon du Livre et de la BD de Monclar de Quercy (82). Dimanche 31 août 2014

27 août 201417 mars 2017 robert

11ème Salon du Livre et de la BD à Monclar de Quercy (82)

Liste des auteurs inscrits (liste susceptible de modifications).
Si vous cliquez sur le nom en rouge, vous découvrirez la page de l’auteur sur 7 à lire !

– Michel ALET
– Chantal ANTUNES
– Guy ASTOUL
– Kéryo BEHNAM
– Colette BERTHES
– Bévé (BD)
– Jacqueline BOYE
– Nicolas BOUVIER
– Elena BRUNEZ
– Lina CARMEN
– Patrick CAUJOLLE
– Stéphanie CAULUS
– Roger CAVALIE
– Pierrette CHAMPON CHIRAC
– Jean COLADON
– Luc CORLOUËR
– Sébastien R COSSET (BD)
– Albert COSTAMAGNA
– Josseline DOCQUIR
– Jakie DURRIEU MALET
– Christian EYCHLOMA
– Liliane FAURIAC
– Marc GALABRU
– Max HERATZ
– Emilie KAH
– Régine LAPRADE
– Maïté LAUZELY DARBON
– Germinal LE DANTEC
– GillEric LEININGER
– Jean de LEVAT
– André MALET
– Hélène MARCHE
– Raymond MATABOSCH
– Céline MONCHOUX
– Guy MOTHE
– Alain PESCHEUX
– Catherine POLVÉ
– Christiane PRIOULT
– André SANCHEZ (BD)
– Marie-José SEGURA
– Claudette SERES
– Robert S. MARTIN
– Élisabeth VALÉRY
– Yves VERNHES
– Céline WAGNER (BD)

Exposition sur la Guerre d’Espagne par M.E.R.82/ Gare de Borredon.
Ateliers de calligraphie par Keryo BEHNAM
« A l’école comme autrefois » : venez retrouver le plaisir d’écrire au porteplume, avec des buvards… faites découvrir ceci à vos enfants qui pourront s’entraîner, eux aussi.
Lectures pour enfants par Stéphanie Caulus.
14h30 : Conférence de Nicolas Bouvier sur le harcèlement scolaire. En savoir +
16h : Conférence d’Alain PESCHEUX(dit Niala) : « La maladie a-t-elle un sens caché ou sacré »

Le mot du Maire Jean-Paul ALBERT : « Un salon du livre mâtiné de ferrovipathe… »

Le Salon du Livre de Monclar-de-Quercy revient depuis des années à une date fixe, proche de l’automne, imprégné d’une forte odeur de craie et d’encre fraiche, comme il sied à la période de rentrée des classes.

C’est notre ami Robert LINAS qui dirige avec sa règle, en bon ancien maître d’école, le groupe toujours plus nombreux des « écrivains du Sud » présents sur le salon ; et la ferveur littéraire n’y a rien à envier à celle de Brive ou de Paris.

Les autres années, l’ambiance du salon monclarais se sortait pourtant du climat 3ème République d’une école à la Pagnol par la forte connotation occitane que « l’enfant des Lials » imprime nécessairement à un ouvrage dont il est la cheville ouvrière. Mais, l’édition 2014 consacrera, en plus, sur ses éventaires une importante place au souvenir républicain espagnol, celui-là même qui s’affiche de façon permanente et symbolique dans la gare désaffectée de BORREDON, près de Caussade ; une exposition qui s’est donc délocalisée à quelques dizaines de mètres du petit train touristique de Monclar, rescapé des mines de Cévennes…

Et pour un ferrovipathe tel que moi, voilà qui va ajouter un intérêt supplémentaire à une manifestation, déjà bien attrayante par la seule vertu des « Livres de chez nous ».