La première bande dessinée culinaire bilingue français/anglais !
Une création littéraire de Eve Marinone et création graphique de MaY.
Une histoire, des histoires, plein de personnages, beaucoup d’aventures, toujours avec une finalité culinaire (recettes à la clé !).
Cette fois, l’auteur fait appel à ses souvenirs d’enfance et d’adolescence … complétés par son imagination : elle raconte la vie d’un immeuble et de son quartier à travers les yeux de deux adolescents Tomàs et Révérence, gourmands et passionnés de cuisine, leurs rencontres à fleur de papilles, leurs surprises et découvertes savoureuses autant que, parfois … étranges.
« Le soldat français est le seul, en Europe, qui puisse se battre à jeun » Napoléon I°
Malgré cette affirmation Napoléon I°, en 1806, attribue une somme d’argent (masse d’ordinaire) pour mieux nourrir les troupes en campagne car, explique-t-il, un soldat ne se bat bien que s’il a le ventre plein. On peut être Empereur, dire une chose et faire le contraire… De la théorie à la réalité, il y a plus d’un pas de soldat ! Se nourrir se complique quand le pays est pauvre si en plus, comme en Espagne, la population est hostile : en recherchant de la nourriture on s’expose aux embuscades. Retrouver leur quotidien, c’est célébrer le courage qui les a menés aux quatre coins de l’Europe, le plus souvent le ventre vide. De leurs périples guerriers, ils ramèneront recettes ou mets nouveaux et introduiront leurs propres habitudes. Napoléon I° institutionnalise la table. Il transforme les agapes fraternelles entre gastronomes, officiers ou soldats en instruments de gouvernement. Clin d’œil de l’histoire, c’est sous son règne que le service à la française commence à être supplanter par celui à la russe ! Grands cuisiniers ou grands gastronomes du Premier Empire marquent l’histoire culinaire pour des siècles. En cela ils rejoignent l’Empereur dans la légende ! A côté de l’usage politique de la table et de la connaissance gastronomique, l’auteur a voulu retrouver le quotidien de ceux qui ont gagné les batailles de Napoléon avec leurs pieds ! Une cuisine simplifiée par les obligations militaires va à l’essentiel, seul l’uniforme distingue entre le champ de blé et le champ de bataille. L’expérience des bivouacs s’enrichira de quelques recettes faciles à réaliser au cours des journées historiques. Rien de tel pour la paix des peuples qu’une bonne soupe partagée autour du feu…Et aujourd’hui, le Devoir de Mémoire peut passer par la Table. Les valeurs culinaires européennes doivent se défendre la fourchette à la main !!!
« Chef Thomas est né dans un livre de cuisine, y a grandi dans les pages, respiré les recettes. Nul ne connaît son visage, ne sait même, au juste, le chiffre de son âge. Mais on dit qu’il est, parmi nous, un garçon comme les autres… »
Aurait-on pu imaginer que cette courte présentation, en 4e de couverture, allumerait tant de journalistes à vouloir rencontrer « absolument » ce mystérieux Chef Thomas, « qui adore le chocolat mais pas que » ?
L’auteur et l’illustrateur ont alors été pris d’assaut pour obtenir des éclairages sur cet inventeur de « recettes pour enfants » ¾ recettes ici toutes joyeuses, colorées mais surtout équilibrées, vitaminées, vraiment parfaites pour la santé, bref des recettes où les enfants deviennent à leur tour des chefs Thomas, puisqu’ils apprennent à tenir eux-mêmes les commandes de la cuisine de Maman et Papa…
Eve Marinone n’a rien pu avouer d’autre que « Je ne sais rien de lui, ne l’ai jamais rencontré, je vous dis ; il a glissé ses recettes dans ma boîte aux lettres, parfois directement sous ma porte, mais à aucun moment je n’ai pu le surprendre, il est peut-être invisible. Allez savoir. »
Guère plus d’indices auprès de Morgan T., qui a répondu chez lui aux questions empressées ¾ et toujours avec cette formule : « Mille excuses, pardonnez-moi, ne m’en veuillez pas, je vous en prie, mais… je ne sais rien non plus ! D’ailleurs, voyez-vous quelque part ici un Chef Thomas ? Moi je ne vois qu’une foule de choses comme une louche, une passoire, un torchon (très propre)… ! »
Après tout, quelle importance de débusquer Chef Thomas quand, et d’une certaine manière, il est à nos côtés tout au long de ce livre ?
Bon appétit !
Format 21 x 21 cm – 58 pages – 20 recettes faciles avec photos couleurs des plats et nombreuses illustrations couleurs – Prix 16,90 € le livre – Frais de port inclus (France métropolitaine seulement – Pour envoi en nombre et autres pays, consulter l’auteur sur delyne2003@yahoo.fr ou sur son site www.voyages-gourmands.com)
Gourmande, gourmet et curieuse, Evelyne nous a fait partager ses découvertes culinaires collectées aux quatre coins du monde ou dans les « coulisses » des restaurants de Midi Pyrénées.
Sa valise de recettes s’étant grandement remplie au cours de trente années de voyages et de longs séjours à l’étranger, il était tout naturel qu’elle dédie ce livre à tous ceux qui, comme elle, ont les papilles en éveil et cherchent à rompre la monotonie des repas quotidiens.
Au fil de ces pages, vous constaterez que l’exotisme est parfois à votre porte ; n’hésitez pas à la lui ouvrir toute grande, blizzard ou rayon de soleil peu importe, s’il vous permet de mieux connaître « l’autre » et d’encourager le partage des cultures !
Reliure spirale métal – format 21 x 15 – papier intérieur glacé – 100 pages – 38 recettes de tous les coins du monde avec un aperçu des habitudes culinaires de ces pays.- Editions DELYNE 2002 – 10 € TTC – ISBN 2-951 888-60-0 (978-2-9518886
Un bel hommage aux hommes de la terre ! Ces pages évoquent le veau et les bovins dans la mythologie et les Écritures, les expressions populaires qui les associent, les grandes familles bovines, et l’élevage du «Veau d’Aveyron et du Ségala». Il donne 52 recettes notamment de grands chefs de Michel Bras à Cyril Lignac.