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Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

Exposition Henri Patrice DILLON à Albi

Henry Patrice DILLON (1850-1909)
Henry Patrice DILLON (1850-1909)

Maryvonne Lépinoy  Guégan expose depuis le 16 mai 2012 à la Galerie BOULEV’ARTS jusqu’au 23 JUIN 2012 les lithographies d’un de ses ancêtres HENRI PATRICE DILLON (1850-1909).

Allez jeter un coup d’œil !
Il est aux côtés de Toulouse-Lautrec son contemporain.

Galerie ouverte du mardi au samedi
BOULEV’ARTS
12 Lices Georges Pompidou
81000  ALBI

Communiqué de Maryvonne Lépinoy Guégan
Source image : http://www.boulevard-arts.com/visite/DILLON/8-12

TRIOC 25 au Grifol : des nouveautés sur des airs occitans

L’ADOC Tarn présente un mini-concert de chants occitans le Vendredi 1er Juin 2012 à 18h jusqu’à 18h 30. C’est un spectacle proposé par l’Atelier du Centre culturel occitan de l’Albigeois, dont le siège est au Centre occitan Rochegude (Parc Rochegude d’Albi) .
A 18h 30 ce sera le vernissage de l’exposition de peintures de Christiane SEGURA « Chris ». L’artiste vit à Saliès. Elle est retraitée (cadre administratif comptable). Ses sujets picturaux de prédilection sont les fleurs, les paysages, les bassins… Sa technique est l’ huile. Elle est inscrite à la maison des artistes. (suite…)

TRIOC 22 au Grifol *: une artiste, du vin de Gaillac et le safran

Lily Ressouches - www.amisdesarts-albi.fr/
Lily Ressouches

Lily Ressouches est née dans le Tarn où elle a enseigné comme institutrice. Depuis sa tendre enfance, elle est attirée par la musique et les arts plastiques. Elle a pratiqué de façon très intense le chant jusqu’à un accident de santé qui l’en a privé. Ayant toujours dessiné, tout en découvrant l’aquarelle en autodidacte, la peinture fut un refuge pour continuer à exprimer sa sensibilité artistique. En retraite, actuellement elle a intégré l’association Les Amis des Arts à Albi où, auprès d’autres peintres aux talents multiples, elle a progressé tout en s’adonnant à d’autres disciplines, comme le pastel ou le modelage.

Le vin du Domaine Salvy, à Cahuzac sur Vère. C’est une affaire familliale depuis cinq générations. Il est situé sur le plateau cordais où ne poussent que la vigne, les chênes verts et les cailloux. La propriété s’étale sur vingt hectares où sont travaillés les cépages de Gaillac: le Duras et le Braucol pour les rouges, le Mauzac et le Luènh de l’Uèlh pour les blancs. Le Domaine Salvy produit des vins AOC GAILLAC : blanc sec, « fraîcheur Perlée », blanc doux, rosé, rouge traditionnel, rouge en fût de chêne et la Méthode gaillacoise; mais aussi « lo vin de cada jorn » en blanc, rosé et rouge.

Marie-Françoise Bouyssier présentera son safran pur, cultivé à Sieurac et transformé en sirop, gelée de pommes, miel safrané, confiture d’oignons doux au safran et autres douceurs.

Contact : Lo Grifol »
3 rue Perotty
81000  Albi.

Tél. : 05 63 53 30 41

Vernissage : samedi 3 mars, 18h 30 ; entrée libre et gratuite.
Exposition du 3 au 30 mars, du lundi au vendredi, de 15h à 18h.

TRIOC 21 au Grifol *: des couleurs et des saveurs

Pour son vingt et unième TRIOC, l’ADOC Tarn présente Marie-Josèphe Boyé. Cette artiste-peintre est installée à Cordes-sur-Ciel. D’abord elle peint spontanément. Après une courte période à « Atelier de La Garonnette » à Toulouse, où elle apprend les rudiments de l’art, Marie-Josèphe Boyé travaille seule. Elle trouve des contacts et des ouvertures socio picturales à travers des clubs et associations, des salons et expositions personnelles, surtout sur le plan régional : Cordes, Albi, Castres, Toulouse, Moissac… Elle expose aussi en Nouvelle Caroline. (suite…)

« Catalogue raisonné d’Henri Patrice Dillon ». Texte de Maryvonne LEPINOY-GUEGAN

Maryvonne Lépinoy-Guégan
Maryvonne Lépinoy-Guégan

Catalogue raisonné d’Henri Patrice Dillon à découvrir sans tarder…
Texte en Français et en Anglais.

Sortie simultanée : Biographie d’Henri Patrice Dillon (1850-1909)

Maryvonne Lépinoy.Guégan, passionnée par la généalogie, est amateur d’Art dans le vrai sens du terme Amour de l’Art. Elle a découvert, dans les archives de sa Grand’mère, des petits dessins bleus signés : H.P. Dillon. Son amour pour la peinture après l’avoir entraînée à participer à de nombreuses expositions dans sa région, lui a ouvert la voie de l’Ecriture pour vous dévoiler un Secret Polichinelle, le grand peintre-lithographe de la Belle Époque, pour lequel on dit :
Polichinelle est à Dillon ce que Pierrot est à Willette et Olympia à Chéret.
Dillon est né à l’époque de la ruée vers l’or, le 23 novembre 1850 à San Francisco où son père, d’origine irlandaise, était Consul de France…Il était donc destiné à la diplomatie, profession qu’il exerça à New-York.
Après le Salon de 1882, Henri Patrice Dillon s’est amusé à reproduire sa toile sur pierre…
Tous ses amis applaudirent et dirent de lui : il a la pierre dans le sang.
Noble technique, il se lancera dans la Lithographie mais tardera à exposer par goût de perfection ou timidité. Il participera régulièrement à tous les Salons depuis 1876, ainsi qu’à ceux de Nantes, Reims, Dijon et Versailles. Ses professeurs furent Pils, Lehmann, Cabanel et Carolus-Duran.
C’était à la Belle Époque du Chat-Noir.
Lithographe de renom, ses lithographies furent très recherchées. En 1890, à l’Exposition de l’Ecole des Beaux-Arts, il réalisera des lithographies qu’il donnera aux passants.
Il fut à l’origine de la Renaissance de la Lithographe en 1895, cofondateur de l’Album des Peintres-Lithographes avec MM. Bénédite, Conservateur du Musée National du Luxembourg et Alboize, Directeur de l’Artiste. Ils y présenteront les plus grands lithographes faisant leurs premières armes qui seront initiés par Dillon et Duchâtel.
Il fit partie des Incohérents, des Humoristes, de la Société des 1 devenue Société Universelle des 1, amicale internationale.
Entre 1891 et 1895, vice-président des Peintres-Lithographes avec son ami Fantin-Latour.
Il fut médaillé d’honneur en 1890, 3ème cl. en 1892 et en 1895 à l’exposition du Centenaire classé Hors concours. Nombreuses affiches, almanachs, calendriers, cartes de visite, cartes de vœux, menus, illustrations de livres comme la Nouvelle Bibliopolis d’Octave Uzanne. Dillon Henri Patrice est un réel artiste entièrement voué à son Art. Il fut décoré de la Légion d’Honneur en 1896, grâce à Puvis de Chavannes. Professeur de dessin, il se consacre à sa passion d’enseigner dans les écoles et reçoit les Palmes Académiques en 1897. En 1900 à l’E.U., médaille d’argent.
Il participa en 1902 à l’illustration du Moniteur du Littoral à Monaco puis, à l’Exposition organisée par Rodin au Château de Rohan à Strasbourg en 1907.
Il ne comptait que des amis… ils se groupèrent autour de Lunois, président de la Lithographie pour organiser une exposition en avril 1909, mais Dillon s’éteindra le 16 mai 1909 à l’hôpital Lariboisière à Paris.

L’objet de ce livre est de rendre hommage à ce descendant d’Irlandais, mon cousin Henri Patrice Dillon pour simplement vous le faire découvrir…

N° ISBN 978-2-952 9959-0-0 –  EAN 9782052995900 – Prix 58 euros

Biographie du Peintre Lithographe Henri-Patrice Dillon (1850 – 1909). Maryvonne LEPINOY-GUEGAN

Maryvonne Lépinoy-Guégan
Maryvonne Lépinoy-Guégan

Henri-Patrice Dillon est né le 23 novembre 1850 à San Francisco (Californie) où son père, français d’origine irlandaise, était consul.
En 1855, Henri-Patrice revient en France avec sa mère, ses frères et sœurs. Parallèlement à ses études au lycée Louis le Grand, il suit des cours de dessin auprès de Pils dès 1858.
Il travaille comme attaché d’ambassade au consulat de New York de 1870 à 1874 où il découvre les expositions de Carolus-Duran dont il apprécie le jeu de couleurs ; il le retrouvera en France comme professeur ; en effet à son retour, ne ressentant aucune vocation pour les métiers de la diplomatie, il décide de se consacrer à la peinture, et en 1875, s’inscrit à l’Ecole nationale et spéciale des Beaux-Arts où il travaille dans la classe d’Henri Lehmann (élève d’Ingres).
Ses premiers tableaux furent de grandes compositions.
Au Salon de 1882, il présente une peinture, Une séance à l’atelier qui obtient un vif succès grâce son effet de clair-obscur ; la même année, H.-P. Dillon la reproduit en lithographie (mais ne l’exposera qu’en 1890) et va désormais se consacrer à cette technique avec Fantin-Latour.
Il publie en 1892 l’Album des peintres lithographes, avec Léonce Bénédite, conservateur du musée du Luxembourg et Jean Alboize, directeur de l’Artiste, amorçant ainsi la renaissance de la lithographie ;
Installé à Montmartre, il fréquente le club littéraire des Hydropathes, adhère aux Incohérents ; il puise son inspiration dans les milieux artistiques des théâtres, des cirques. C’est d’ailleurs l’album L’année des polichinelles en 1893 qui le rend célèbre. Portraits d’artistes et d’auteurs, affiches et programmes de spectacle, sont autant de façon de plonger dans le milieu des salles parisiennes.
Comme d’autres artistes de son époque et notamment Toulouse-Lautrec, Dillon s’inscrit dans le Japonisme. Le travail de Dillon n’est pas sans rappeler celui de son ami Henri Rivière (1864-1951) : goût pour les effets de clair-obscur très accentués, les jeux d’ombres chinoises sous des ciels de pluie, de brume, travail sur les hachures et sur les jeux de géométrie des parapluies, encadrement japonisant imprimé, obtenu au moyen de plantes (ombelles) disposées sur la pierre en manière de réserve lors de la projection de la pluie d’encre, dite crachis.
Il sera décoré de la Légion d’Honneur grâce à Puvis de Chavannes.

Je vous invite à découvrir le Paris de la Belle époque du Chat-Noir celui des peintres de Montmartre.
Henri-Patrice Dillon décède à Paris le 16 mai 1909.

N° ISBN : 978-2-952 9959-1-7 – EAN : 9782952995917 – Prix : 52 euros

TRIOC 20 *: trois créatrices occitanes

L’ADOC Tarn accueille des femmes qui expriment leur identité et celle du pays d’Oc par leurs activités artistiques multiples. Elles s’investissent dans le militantisme culturel occitan et leurs créations reflètent cet engagement. Leurs productions donnent de la chair et du cœur à leurs passions. Le temps de création, pris sur les activités coutumières, est un temps d’hommage et d’amour au Pays d’OC, chacune avec un style très personnel, passionné. Ce sont des amateurs qui n’ont pas la prétention de s’auto-proclamer artistes mais qui contribuent à ancrer culturellement artistiquement, et avec conviction et enthousiasme, l’Occitanie dans la modernité.

(suite…)

Solange SALES-KUBOSI. Biographie

Solange Sales Kubosi
Solange Sales Kubosi

Née au nord-est de l’Aveyron au début de la dernière guerre, elle découvre le Tarn à dix ans ; où elle vit aujourd’hui avec sa famille.
Depuis toujours elle a pensé écrire, ce n’est que depuis peu qu’elle a réalisé son rêve !
Elle se passionne aussi pour la peinture, dont elle a fait son autre loisir.

Elle aime les mots…la couleur…la création.

Son premier livre « Mes Oustalous ».(épuisé).va devenir en réédition : Mon histoire m’attendait. Il sera suivi de deux autres livres et de deux recueils de poèmes.

Contact :

4 rue Charles Gounod
81400 CARMAUX

Tél. : 0563367084
Courriel : emile.kubosi@sfr.fr

« Poèmes symboliques » Etienne Le Sidaner. Editions Ixcéa

Etienne Le Sidaner
Etienne Le Sidaner

Étienne Le Sidaner est un homme multiple, à la fois Président fondateur et administrateur de grandes sociétés, comme d’associations nationales et internationales, toutes reconnues d’utilité publique. Ainsi est-il Président fondateur, puis d’honneur de l’École Supérieure des Professions Immobilières ; Président d’honneur de la Chambre de Commerce « France Moyen-Orient » ; Membre de la Fédération des Médiateurs ; Vice-Président de l’Institut d’Économie et de Management Euro-méditerranéen.
Mais aussi, bien dans l’esprit de feu son grand-père, le peintre impressionniste Henri Le Sidaner, il est artiste à ses heures. Ce passionné de peinture, de sculpture, se laisse-t-il alors aller à l’écriture, et signe de nombreux ouvrages, parmi lesquels ce recueil de poèmes symboliques…

ISBN 2-84918-114-o Prix: 17€.

Éditions Ixcéa
9 boulevard des Minimes
31200 Toulouse