Fabienne Lhoumeau est originaire de Poitiers mais elle est installée en Lot-et-Garonne depuis de nombreuses années.
Très jeune, elle commencera à cultiver son goût pour la littérature.
Parallèlement, elle exerce son métier de formatrice en culture générale, anglais et bureautique.
Deux fois primée au Jasmin d’Argent
Avec son quatrième recueil de poèmes, intitulé « Ephéméride », Fabienne Lhoumeau a reçu en 2017 le Prix du Conseil Départemental pour « Le Papillon » puis en 2018, le Prix de la Ville d’Agen, pour « Le Coquelicot téméraire ».
Fabienne Lhoumeau est également auteur de romans, dont « La Fenêtre ».
Alors qu’en 1921, la paix s’installe enfin en Europe, les hostilités se poursuivent au Maroc dans la région du Rif en pleine révolte pour son indépendance.
Le sergent François Bernès-Cambot, originaire de Livron en Béarn, meurt le 5 juin 1925 au Maroc avec son groupe de Tirailleurs Sénégalais, en défendant un poste avancé sur le massif du Bibane. Encerclé par un ennemi bien supérieur en nombre et en armes durant un siège de cinquante-quatre jours, il combat jusqu’à la mort sans défaillance et fait passer dans l’âme de ses hommes l’énergie indomptable qui l’anime. Tous sont massacrés à leur poste de combat en faisant preuve d’une conduite des plus héroïques.
Le journaliste et correspondant de guerre Pierre Dumas n’a de cesse de faire connaître ce haut fait d’armes. Un monument à la gloire de ce « Héros » est érigé au sommet du Bibane mais également à Livron où résident plusieurs membres de sa famille.
L’auteur Marie Baulny-Cadilhac nous confie : «Au cours d’une promenade, j’ai découvert ce magnifique monument, œuvre du sculpteur Ernest Gabard. Ma curiosité éveillée, j’ai entrepris de longues recherches. Durant plus de quatre ans, je me suis intéressée à la vie de François Bernès-Cambot, à son combat, à sa solitude et enfin à son sacrifice.
Pourquoi Bibane ? Pourquoi mourir à Bibane ? J’encourage le lecteur à marcher sur ses traces du Béarn au Maroc. François Bernès-Cambot fait partie d’une génération sacrifiée, génération où les mots « Patrie » et « Honneur » dictaient toute une vie ».
Valérie Rinaldo, dans ce récit poétique au titre mystérieux – Palimpseste – nous entraîne au coeur de l’histoire de l’Afrique et des Caraïbes à travers le voyage d’une haïtienne sur les traces de ses ancêtres.
L’émotion vous submerge, vague après vague, dans cette incroyable odyssée. De la solitude à la naissance de l’amour, du reniement à la reconnaissance de ses aïeuls, anciens esclaves qui se sont battus pour leur liberté, un témoignage sensible qui devient chant du monde, auquel chacun mêle sa propre voix.
Ginette Adamson, artiste peintre d’origine haïtienne, illumine cette étonnante parabole de ses oeuvres à la fois poétiques et surréelles.
Le recueil Palimpseste a reçu le Prix Jean Cocteau décerné par la Société des Poètes Français en 2016.
Paco n’a que 5 ans lorsqu’il rejoint le petit séminaire des jésuites à Huesca. C’est une véritable opportunité pour cet enfant pauvre de paysans aragonais.
Les années passent. Paco grandit dans l’enfermement des règles jésuites, coupé du monde extérieur et loin de l’amour maternel. Heureusement, au séminaire, il tisse des liens d’amitié très forts. À l’issue de ses études, il parle couramment le latin, maîtrise le français et le chant grégorien. Mais il doute de sa foi et, alors que la guerre civile fait rage en Espagne, il s’insurge contre le putsch franquiste et rallie les rangs des républicains. Le jeune séminariste lettré se transforme en homme de guerre prêt à affronter le froid, la faim, le manque de sommeil, la mort, l’exil. Et la trahison…
Une émission radiophonique / interview de Guylaine Dubois Arrêt aux pages du 28 novembre 2016
Le dimanche 9 juillet, à Mirepoix en Ariège, le roman Aucune terre ne sera mienne a reçu le Prix Spécial du Jury. L’auteur Sylvie Anahory, présente au Salon du livre de Mirepoix, a rencontré de nombreux lecteurs pour les dédicaces de son premier roman.
Une maison de famille à secrets…Un mort inattendu…Jamais Anaïs, n’aurait pensé que son aménagement à la Chesnaie, vieille demeure de famille soulèverait autant de mystères. Une souris verte s’insinue dans une énigme surprenante où le plaisir de résoudre les pistes laissées par son grand-père s’allie à celui de l’amitié et de l’humour des différents protagonistes. La quête du Graal n’est pas finie.
Éditions Les Monédières – ISBN :978-2-36340-025-3 – Prix : 19€
( …) Une enquête en milieu rural… Giuliani en tremblait… Une vraie enquête… Putain, quelle chance ! Ça faisait des mois qu’il s’enquiquinait à traiter des dossiers banals, à l’antenne de la Police Judiciaire d’Agen, une préfecture de province et pas une grande ! Et voilà que le procureur lui confiait une affaire ; « Deux morts, des agriculteurs retraités, ligotés, bâillonnés, à Sainte Ursule, dans les Serres. » (…)
Editions du Bord du Lot – 2006 – ISBN : 978 2-35208 163 0 – Prix : 18 euros
Où se procurer le livre :
– en le commandant dans toutes les bonnes librairies
– à l’occasion des salons littéraires auxquels je participe
– sur le site marchand de l’éditeur
– en me le demandant directement par mail à l’adresse emilikah49@gmail.com
Nourrir une énigme policière à l’œuvre de Marguerite Duras, il fallait oser ! C’est pourtant ce qu’a fait – et réussi – Emilie Kah dans son quatrième roman. De son écriture rythmée, acérée et résolument moderne, elle nous emmène à Saigon, à Nouméa, à Duras…. Duras, où la petite Marguerite Donnadieu vécut un temps et dont elle s’est souvenue au moment de se choisir un nom de plume.
Deux hommes sont morts. Le commandant Ange Giuliani sait désormais comment. Mais sait-il vraiment pourquoi ? Le procès de Maud Fournier est imminent. Jusqu’à quel point est-elle coupable ? Quels sont ses ressorts secrets ? Et d’abord, tous les crimes méritent-ils d’être punis ? Ange Giuliani écrit à celle dont il a permis l’arrestation.
Editions L’Harmattan 2011 – ISBN : 978-2-296-13974-9 – Prix : 21 euros
Où se procurer le livre :
– en le commandant dans toutes les bonnes librairies
– sur le site marchand d’Amazon
– à l’occasion des salons littéraires auxquels je participe
– en me le demandant directement par mail à l’adresse emilkah49@gmail.com
Odell Barnes, petit délinquant noir et pauvre issu d’un ghetto du Texas est condamné à mort pour un crime dont il se dit innocent. De 1996 à 2000, quelques amis puis l’association Lutte pour la Justice vont l’aider à se défendre, récolter assez d’argent pour financer des enquêteurs privés et des d’avocat qui prouveront non seulement la mauvaise qualité de ses premiers défendeurs mais aussi les manœuvres du procureur et la falsification des preuves par la police. Malgré cela Odell sera exécuté.
Le récit de cette aventure, de ce que sont les couloirs de la mort, l’histoire de ceux qui y vivent et y meurent de ce qu’est la Justice aux Etats-Unis.
La Machine à tuer de Colette Berthès est paru début juillet 2013. Il est vendu au profit de la Lutte pour la Justice qui continue à défendre des condamnés texans.
Ré-édition de l’ouvrage paru en 2000, mis à jour et complété.
Résumé :
« Janvier 1794.
A la ferme de Barbeau, à Chanteloup, Mathilde est de retour. Mais Jean-François n’est plus là. Alors que les colonnes infernales du général Turreau répandent la mort et la terreur dans la région, qui les protègera, elle et son fils Louis ? »