7 à lire !

Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

Jean KUBLER Biographie Bibliographie

Jean KUBLER

Jean KUBLER ECRIVAIN, (Jean Marc CREUZET) né le 30 Janvier 1946 à Chavanoz en Isère. Peu studieux, à quatorze ans, il écrit ses premiers poèmes (voir HORS DU TEMPS). Tout ce qu’il fit, fut au service des autres. Un petit infarctus, marque le changement de cap. Direction l’Occitanie, le Lot, Cahors, Vaylats. Avec Dominique, son épouse, Artiste peintre DOMI PEINTRE ils rejoignent leur fils. Jean aime lire et écrire, le piano et se balader Camping-Car en France, le plus beau pays du monde.
Il cultive l’amour des siens et veille sur eux.
Il est actif au sein d’associations, Vaylats Patrimoine, La Passerelle, Le Trait d’Union, puis : ADER, Art et Lettres de France, Générations Mouvement, et sur les réseaux sociaux (piano droit Jean Kubler).
En 2018 EDILIVRE lui imprime « Carole »
Code ISBN/EAN : 9782414241224
En 2019 les Editions BAUDELAIRE lui imprime « la Comtoise »
Code ISBN/EAN : 97991020316479
Ce sont les : « Petits polars pour les amis ».
En 2020 autoédition Editions JKDC et Autres Talents, éditent « Hors du temps » poème
Code ISBN/EAN : 9782957307500.
La suite de Carole est en cours d’écriture … QMVDC pour 2021
Récompenses :
Diplôme d’Honneur du PRIX SPECIAL du JURY au Concours National de Poésie 2019 pour « NOTRE DAME » dans « HORS DU TEMPS »
1° Prix du concours National de Nouvelles « Nouvella » 2020 avec « LEITMOTIV » Suivre le lien : https://drive.google.com/open?id=1bLNvMWgg6RijLss6b4eul0IBdKFXern0

Tout est sur le site : www.jean-kubler.fr

BIBLIOGRAPHE

Cliquez sur le nom d’un ouvrage pour voir sa fiche

« Hors du temps » de Jean KUBLER

Hors du temps

PROLOGUE de « HORS DU TEMPS »
Mon petit RECUEIL de POÉMES
Vous saviez en choisissant cet ouvrage que vous seriez en tête à tête avec le plus profond de mon être.
Un poème n’est jamais anodin.
Il porte, à chaque mot, toute l’intensité des sentiments de son créateur.
Peu importe le nombre de ligne, de mot, de rime, riche ou pauvre ou inexistante, ce qui compte, c’est ce que vous allez ressentir à la lecture du poème, ne serait-ce qu’avec un seul d’entre tous.
On appelle ce moment « être en communion » avec un texte, avec un auteur, avec le poète, avec celui qui met dans ses mots, sa pensée, son cœur, son âme, sa vie, ce qu’il est à cet instant, ce qu’il fut, pour devenir ce qu’il sera.
Vous n’aimez pas celui-ci, peu importe, passez au suivant, jusqu’à celui qui va chambouler vos sens, vous faire perdre pied et vous envoyer dans les rêves, dans mes rêves ou dans mes tourments.
Les poèmes de 1962, quand j’avais 16 ans, et ceux de 2020, ou j’ai 74 ans, ont tous le même point commun, ils expriment mes sensations et mes sentiments les plus profonds.
Alors, pour les ranger de façon logique, même s’il n’y a pas de logique en poésie, j’ai choisi deux thèmes et classé les textes chronologiquement ce qui me parait être la meilleure solution, mais présent et passé sont si proches.
Donc adieu aux grands principes et bonjour à la fantaisie.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
Si vous ne le trouvez pas, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.
EPILOGUE :

Pour l’instant c’est fini.
Mais la vie est un éternel recommencement et quand la plume me gratouille, il m’est impossible de résister.
Ne désespérez pas, un de ces jours vous retrouverez quelques nouveaux poèmes dans un petit livre, sur votre tablette, sur les réseaux sociaux, placardés sur un panneau d’affichage, récités par un crieur de rue, déclamés par un artiste d’un jour, ou sur un papier gras, ordinaire, froissé et jeté dans une poubelle providentiellement, là, pour vous servir, peu importe, l’essentiel c’est qu’ils vous plaisent, qu’ils vous donnent de la joie au cœur, et du cœur pour aimer, vous-même et les autres, ici et ailleurs.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
N’oubliez pas, si aucun d’entre eux retient votre attention, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.

 

 

« La comtoise » de Jean KUBLER

La comtoisen 

RESUME  : Le 13 Novembre 1870, dans la région Lyonnaise, Eugène CADROUX achète La Comtoise. Depuis, elle veille sur la famille. Les générations se succèdent et passent du bon vieux temps à nos jours avec en toile de fond les traditions festives du Nord Dauphiné. Des mortes inutiles avant puis un événement dramatique déclenche les mortes de maintenant. Et la grand-mère, cette vieille sorcière, méchante et haineuse, quel rôle joue-t-elle ? Tout se passe dans la bonne humeur, sous l’œil attentif de Joce, ma petite enquêtrice préférée qui s’avère être une grande professionnelle. Mais rien n’est joué.
PROLOGUE : Quand on est vieux, soit on est bien physiquement et moralement et on reste avec les enfants pour ceux qui en ont. Autrement c’est la Maison de retraite. Idem si le corps ou l’esprit ont une tendance à battre de l’aile, là, c’est l’Établissements Spécialisé, voir Psychiatrique. Mais quand tout marche à peu près bien et que le moteur est une hargne intrinsèquement vissée à la personne ? Quelle solution ? Dans la maison de retraite « Sainte Marguerite », à Crémieu, en Nord Dauphiné, les nones, encore présentes à cette époque-là, avaient bien de la peine à garder leur calme en face de cette vieille femme. Ses petits yeux vifs et méchants, son visage basané par le soleil et tout fripé par les années, montraient un caractère bien trempé. Mais sa petite stature et son dos un peu voutée la rendait toute fragile. Tiens croyez y …A chaque instant on avait l’impression qu’elle allait se casser. Tiens donc … Ce jour-là, dans un élan de lucidité, elle demanda, que dis-je, elle ordonna à une sœur qui passait prêt d’elle, de lui apporter de quoi écrire une lettre. Ce que sœur Dominique fit dans l’instant. On était le 13 Novembre 2005. Trois jours plus tard elle passait de vie à trépas au grand soulagement de tous. Elle avait décidé que son cœur n’avait plus de raison de battre, puisqu’elle avait fait, maintenant, tout le mal qu’elle pouvait faire. Elle avait alors 87 ans révolus.