C’est une réflexion humoristique sans prétention sur tout une série de choses acquises, que nous faisons ou que nous entendons en les acceptant comme des faits acquis. Toutes ces « conneries » balisent notre vie sans que nous en ayons toujours conscience. Un livre iconoclaste à l’humour décapant.
Je suis né en 1957 à Nîmes (France), d’une famille très modeste j’ai quatre frères. J’ai découvert la Bande dessinée dès que j’ai su lire grâce à un curé qui était grand amateur de la BD Franco-belge. A l’adolescence je me suis décidé à passer à la création, de courtes histoires créées aux crayons de couleur. De retour du service militaire, je dessine mon premier album « Dupond de la Jungle » qui reste inédit. Puis une rencontre avec un dessinateur humoristique me fait prendre un premier virage dans le domaine du dessin humoristique.
Je dessine alors pour des éditeurs de cartes postales humoristiques, des cartes d’anniversaire et plus généralement pour de nombreux supports (Verres, cendrier, t-shirt, caleçon, calendrier, packaging…)
Parallèlement je mène une carrière de dessinateur de presses dans des magazines spécialisés et revues du Languedoc. Je crée à la demande, affiches et illustrations pour le secteur commercial et le secteur associatif.
J’ai gagné plusieurs prix internationaux et en 1991, j’ai remporté le grand prix de l’humour vache à Saint Just le Martel (Limoges)
En 2014 j’ai entrepris un retour à la BD, après 35 ans de pose, et en 2015 j’ai sorti « Le trésor de Saint-Pons » un album Historico-humoristique. Le style s’est professionnalisé et la BD est un hommage à Uderzo et Goscinny tant par le dessin que par le scénario. Depuis, j’anime des ateliers pour adultes et enfant s pour donner les bases afin que tout un chacun puisse réaliser ses propres BD. Une dixaine d’expos de dessins d’humour circule à la demande, sur les thème suivant :
La Pêche, la chasse, le vin, la tauromachie, le foot, la médecine, la gastronomie, le sport….
Les aventures humoristiques du célèbre trio qui a ouvert un parc d’attraction en Afrique.
L’album fait 60 pages dont 46 de BD. Les pages restantes pour montrer aux lecteurs les essais de personnage, la documentation du dessinateur. Bref tout ce qu’il faut savoir pour comprendre comment a été montée la BD.
Éditions REGARDS – Tout public – ISBN n° 2-904580-72-7 – Prix 18 euros
Écolier à Hagetmau, Alain Lamaison a trouvé son terrain de jeux à l’ombre des acacias de la « place des cochons », et son enfance, passée entre les clients du garage de cycles de son père mécano/rebouteux, et le bistrot/librairie de ses grands-parents lui a permis de s’imprégner de l’esprit Gascon dans tout son piment, sa pétulance et son côté fantasque et pittoresque.
A priori, rien ne le prédisposait à l’écriture. A ses débuts de scribe, il rédigeait des piges humoristiques dans un journal d’entreprise et s’est ainsi piqué aux délices de la plume.
Passé par l’écriture de sketches en Gascon à la demande d’organisateurs d’un festival régional, il a bifurqué par les pièces de théâtre (dont une a été jouée : L’Emir de Sainte Meyt) avant d’adapter ses textes pour en faire des romans d’humour du terroir.
Dans ses quatre premiers ouvrages, l’auteur vous invite à visiter un petit village imaginaire dont les habitants, personnages délirants, aussi farfelus qu’attachants, ressemblent tous à « ces figures typiques » que nous connaissons tous et qui sont… nos voisins.
L’humour déjanté, quelquefois pétulant et l’autodérision développés dans ces quatre romans, amènent à balayer devant sa porte, et font retrouver des valeurs simples et ô combien réelles de nos campagnes de France.
Son cinquième ouvrage est un recueil de nouvelles, où la farce Gasconne se mêle à des faits de société plus réels, plus romanesques qui montrent diverses facettes de l’auteur.
Dix années passées au sein de l’association du Musée de la Faïencerie de Samadet, il restera imprégné par cette histoire et s’en inspirera pour écrire une trilogie « La rose Manganèse » dont la trame se trouve au cœur d’une faïencerie du XVIIIeme siècle, dans le sud de la Gascogne.
Récemment Alain Lamaison vient de publier un roman policier qu’il qualifie de « rural » où la gendarmerie locale diligente et résout l’enquête sans faire appel aux méthodes scientifiques modernes.