« Singulier pluriel ». Jacques GOYENS
En 1956, lorsque les Russes envahirent la Hongrie, des dizaines de cars quittèrent Budapest à destination des pays d’Europe occidentale. En montant dans l’un ou l’autre de ces cars, bien peu de réfugiés savaient où ils allaient.
Ainsi va la vie. On ne peut jamais savoir en naissant dans quelle direction elle va nous mener. Le destin nous détermine ; mais a priori, une infinité de possibles se présentent.
Les neuf récits qui composent ce roman, entre unité et multiplicité, ne constituent pas une suite chronologique. Ils peuvent être lus dans le désordre. Il incombe à chaque lecteur de reconstituer la trame cachée de la destinée qui gouverne les personnages.
A la fin du roman, le narrateur, devenu écrivain, entre dans l’histoire.
Edilivre Editions APARIS – Format 20,5×14 – 214 pages – Prix : 18€