Présentez-nous vos ouvrages en quelques mots ?
Mes ouvrages sont placés sous le signe de « L’Histoire démystifiée ». Ils sont le fruit de plusieurs années de recherches et d’études et ont été reçus dans les bibliothèques des plus grandes Universités mondiales. Ils sont diffusés dans plus de 40 pays à travers le monde, et occupent plus de 300 rubriques (30 pages) sur Google.
En France, ils sont proposés dans les principales chaînes de libraires avec le soutien du CNL – Centre National du Livre (Ministère de la Culture), comme « Les libraires » (120) ou « Place des libraires »(200).
Pourquoi avoir écrit ces livres ?
Napoléon disait « L’Histoire n’est que mensonges », et les principaux magazines comme l’Express ou le Point ont consacré des numéros spéciaux sur ce sujet. Passionné par l’histoire, c’est-à-dire le passé qui a fait ce que nous sommes, les racines dont nous sommes issus, et que nous devons respecter pour vivre en harmonie avec la nature.
D’où vous est venue votre passion pour l’histoire ?
C’est un atavisme familial, avec deux grands-pères membres de l’École Française de Rome, et bien plus loin encore.
Élevé par les « bons Pères », je me suis rendu compte rapidement du double jeu de leur enseignement basé essentiellement sur la crédulité de la Foi, le dogmatisme de « la vérité révélée », et non pas sur une quelconque raison scientifique.
L’un des amis de Voltaire, Thirry d’Hobach a dit: « C’est de l’ignorance et de la peur que sont nés les religions ».
Pourquoi préférez-vous écrire des essais ?
Nombreux sont aujourd’hui les écrivains de circonstances qui n’ont qu’une seule ambition, c’est celle de se faire connaître rapidement et de se faire du « fric » sur un scandale.
Et pour un public qui vit dans l’anecdote et le scandale c’est la manne des affairistes.
Ce n’est plus de la littérature, mais du fait-divers.
La forme de l’essai me semble convenir mieux à la recherche que tout autre mode littéraire.
À quel lecteur s’adresse vos ouvrages ?
Voilà le problème; mon lectorat vise les chercheurs et les érudits, ou encore les personnes cultivées, celles qui réfléchissent et qui évitent « la pensée unique ».
Quelles sont les principales qualités de vos livres ?
Ce n’est pas à moi de le dire, mais à mes lecteurs dont les références se trouvent ci-dessus. Il est dommage qu’à ce jour, il n’y ait pas plus de traductions.
En principe mes livres ont un style clair et agréable et n’ignorent pas la boutade.
Quel message avez-vous voulu transmettre à travers vos ouvrages ?
Comme la plupart des chercheurs, je tente de prouver que Dieu est une invention de l’Homme qui dans son ignorance, n’a pas d’autres explications par rapport à l’Univers.
Et pourtant la sonde Rosetta et le robot Philae, ou les expériences du CERN à Genève en apportent la preuve.
Sur le site Athéisme où figurent les noms des plus importants scientifiques ou penseurs, on trouve le nom de Jean de Levat.
Quel est le livre qui vous a pris le plus de temps à rédiger ?
Pour à peu près tous mes ouvrages, cela m’a pris au moins une bonne année pour chacun.
Pensez-vous qu’il n’existe pas de vérité historique ?
L’Histoire « officielle » est un conte fée comme le disaient déjà Socrate ou (Saint) Augustin. En fait, c’est de la pure propagande.
La boutade selon laquelle quand un Français arrive à Londres, il ne voit que des noms de défaites, est toujours d’actualité.
Quel est le livre dont vous êtes le plus fier ?
À coup sûr, ce sont Les mirages de Lourdes qui ont obtenus un succès à l’échelle mondiale, puisque diffusés dans plus de trente pays, malgré le fait que le texte n’ait pas encore trouvé de traducteur, sauf au Vietnam.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Mes ouvrages ne doivent rien à l’inspiration; mais sont essentiellement le fruit de recherches au plus haut niveau
Quels sont vos auteurs préférés ?
Bien évidemment les historiens, puis Victor Hugo, Balzac, Voltaire; Ronsard, Rabelais.
Et une bibliothèque de plus de mille livres
Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Puisque mon recueil Le Sale air de la Peur a obtenu un premier prix International de littérature, je compte persévérer dans cette voie. Un ouvrage est en préparation.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
« Vivez si m’en croyez,
Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie » – Pierre