Je m’appelle Michèle SARLAT je suis née dans le Gers.
Après des postes dans les domaines de la gestion et du droit j’ai choisi de devenir professeur de Français pour les étrangers afin de pouvoir consacrer plus de temps à l’écriture que je sentais devenir nécessaire. J’écris essentiellement des nouvelles même si j’ai publié un roman. Depuis j’ai un grand bonheur à y accorder chacun jour beaucoup de temps ; Je consacre souvent deux heures à la marche pendant lesquelles mes personnages sont présents, des moments de créativité très féconds. Il y a peu de temps que je suis publiée par Azart éditions atelier.
Mon 3ème ouvrage vient de sortir. Il s’intitule « Eventail de mignardises autour d’une tasse de café ». Je parle des femmes, et de la difficulté d’être mère et femme à la fois.
Michèle SARLAT
8 rue François Verdier
32600 L’iSLE JOURDAIN
Heimata Lespage, une femme à qui tout semble sourire et Tamatoa Walther, un détective déjanté qui accumule les galères, ne se connaissent pas. Rien ne les rapproche. Et pourtant, un simple cambriolage suivi de la disparition inexpliquée d’une jeune fille vont les réunir et les plonger dans une quête sans merci de la vérité.
A partir de ce moment là, les événements s’enchaînent, les certitudes n’existent plus et la réalité prend des allures de cauchemar. Avec pour cadre Tahiti et sa douceur indolente, une implacable machination se met progressivement en place. Prise au piège, Heimata devra résoudre cette terrible énigme : qui se cache derrière cette histoire et pourquoi lui en veut-on à ce point ?
Editions EDILIVRE (2016) ISBN : 978-2-334-16631-7 PRIX : 21,00 €
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Marie-Chantal Guilmin, écrivain, journaliste, née dans le Tarn est attirée très tôt par le monde littéraire, elle reçoit un premier prix littéraire à 15 ans sur 600 concurrents. Elle devient journaliste professionnelle en 1994 et interviewe de nombreuses personnalités (politiques et du spectacle). Elle publie dans la presse « Les aventures de Fitou », contes imaginaires pendant 2 ans. Rédactrice en chef du plus petit quotidien de France « La Montagne Noire », elle sera à la base de la naissance de l’Hebdomadaire « Tarn-Infos ». Elle se donne complètement à l’écriture et publie en 2008 « Des femmes des vies des âmes », saga familiale, s’ensuit « Elsa Z » qui obtient la Médaille d’Honneur pour la Mémoire de la Shoah remise par l’Ambassadeur d’Israël en France et le célèbre chasseur de Nazis, Serge Klarsfeld, début 2013 « In extremis », parodie philosophique et fin 2013 « Mon année avec Pagnol », journal intime à l’académicien, salué par Jacqueline Pagnol et préfacé par Nicolas Pagnol. « L’Indomptable Camille de Malaret », véritable vie de la petite-fille modèle de la Comtesse de Ségur a paru aux Editions Hugues de Queyssac à la rentrée littéraire 2015.
Depuis 2013, un prix à son nom est attribué chaque année.
Depuis 2016, elle est l’ambassadrice nationale de l’Association 7 à lire.
Elle est très éclectique dans ses écrits, passant du roman à l’essai ou à la parodie.
Voici une très belle histoire de femmes en Quercy au cœur du Moyen-Âge. Archiella et sa fille… les baladins, le colporteur… un environnement sauvage et pourtant des paysages si pittoresques ; une nature accueillante ! Vie rurale, chevauchées fantastiques, une étrange énigme à résoudre ! Des faits et des rencontres insolites sous le soleil du Quercy et du Rouergue au creux des rochers, au sein des forêts, au fond des vallées.
2011 – ISBN : 978-2-35192-108-1 – Prix : 22€
Disponible aux Editions de la Veytizou
La Veytizou, 87130 NEUVIC-ENTIER – Tél. : 05 55 69 71 24
Après des études à l’école des Arts Appliqués de Paris et une trentaine d’années passées en tant que graphiste publicitaire, Jean COLADON se tourne vers la peinture de chevalet. Il réorganise le salon du 19ème arrondissement de Paris, y crée une académie de dessin avec un sculpteur et graveur, devient sociétaire des artistes français en 1977.
La photo ayant détrônée le dessin, il abandonne la publicité et Paris pour s’installer dans le Tarn et Garonne où il se consacre à l’élaboration d’une œuvre très particulière.
Elle est caractérisée par une science très précise du dessin et vouée en majorité à la Femme. Elle y est représentée en majesté, mythologique et contemporaine, à la fois prude et impudique, symbolique et réaliste mais toujours dans sa splendeur.
Au travers d’elle il tente de rendre intelligible le jardin secret qui se cache en chacun de nous, et si l’ambiguïté y règne parfois, ce n’est que le reflet renvoyé par le miroir de la vie.
Il a exposé dans de nombreuses galeries françaises et belges, il est représenté aux États-Unis. Ses œuvres font l’objet d’un livre : « 20 ans de peinture » édité en 2000.
Il est également l’auteur d’un mur peint à Moissac en hommage à l’affichiste Firmin Bouisset et d’une sculpture consacrée au pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. En 2004, il fait paraître un album d’aquarelles, portrait de Moissac et de ses jours de fête (64 pages).
On les appelait les Hirondelles….
Victoriana, Maria Antonia, Emilia, Felicia… étaient des jeunes Navarraises et Aragonaises qui, entre 1880 et 1930, ont quitté leur village pour venir travailler, en Pays basque, dans les fabriques de sandales. On les appelait les « Hirondelles », car comme ces oiseaux, elles revenaient en bande pour la saison.
La migration des Hirondelles
…Aux premiers jours de l’automne, après la récolte de pommes de terre, chaussées d’espadrilles, leurs affaires rangées dans de grands foulards, les jeunes Aragonaises et Navarraises, souvent mineures, abandonnent leur village … Elles se réunissent par bande à Isaba, village frontière de la vallée de Roncal (Espagne) De bon matin, … elles gravissent la montagne. Il y a des jours pleins de lumière où le chemin se dessine franchement et les jours brumeux où le sifflet de Juan, le berger secourable, les guide dans le brouillard. Bientôt, elles arrivent au col d’Ourdayté, aux portes de la France. Moments d’angoisse que la descente du col vers les gorges de Kakoueta. Malgré un pied sûr et une bonne connaissance de la montagne, une chute fatale est toujours possible. La saison augmente les risques du voyage… Au bout d’un chemin caillouteux et pentu, elles arrivent à Sainte Engrâce (Pyrénées-Atlantiques) où les attend, avec une charrette tirée par des chevaux, un parent ou un contremaître de l’usine, chargé de les conduire à Mauléon (Pyrénées-Atlantiques)
Mauléon, capitale de l’espadrille
…Au terme du voyage, les Hirondelles sont accueillies par les émigrés déjà bien installés dans les quartiers de la Haute Ville de Mauléon. Elles occupent réduits, soupentes, combles et mansardes, partagent la même soupe, le même matelas. Des sentiments de solidarité se manifestent dans cette communauté espagnole nombreuse, logeant dans des appartements insalubres. L’arrivée massive des Hirondelles provoque un entassement général à Mauléon.
Chaque immeuble dispose d’un cabinet « à la turque » pour 18 à 19 personnes. La toilette se fait à l’eau claire de la fontaine…
La sobriété, la frugalité sont les règles de l’alimentation. Les repas sont composés de migas, quelque chose de solide qui cale l’estomac (oignon, piment rouge, ail et pain coupé en tranches, revenus dans le suif de mouton fondu dans une poêle)…
Cette population, dure à la peine, n’a pas recours au médecin Ce n’est qu’en cas de grave maladie, qu’on fait appel à lui. Le plus souvent, il ne se fait pas payer…
Conditions de travail
Les conditions de travail n’ont rien à envier à celles du logement et de l’hygiène. C’est un travail pénible au milieu de la poussière épaisse et du bruit des machines de l’usine. Les femmes sont affectées à des travaux les moins qualifiés, les moins rétribués…
Dans son témoignage, Victoriana évoque ses journées commencées à la filature, poursuivies au tressage dans une autre usine, complétées encore par quelques heures supplémentaires. Un court instant lui est accordé pour le casse-croûte de midi. Victoriana court, court…
La longueur des journées, la dureté du travail n’arrêtent pas les rires et les chansons. Les Hirondelles sont des êtres jeunes, au caractère gai. Le soir après l’usine, pour améliorer l’ordinaire, elles se réunissent à l’extérieur, chacune à son banc, pour faire ensemble « le bout et talon ».
L’étude de leurs conditions de vie, les rencontres, la découverte de leurs villages pittoresques et sauvages, m’ont engagée à leur suite dans la traversée de la montagne par les gorges de Kakoueta, cavités mystérieuses et féeriques, en attendant l’arrivée à Mauléon, ville en plein essor, véritable ruche où le travail dans les usines d’espadrilles assurait le pain quotidien.
Le chemin retrouvé, jalonné de stèles, parcouru, aimé, a été source d’inspiration et de réflexion.
Que ces lignes rendent hommage à ces femmes de courage !
Marie Baulny Cadilhac s’attache au destin d’une femme, Caroline de Saint-Cricq , soumise à la volonté d’un père qui lui impose un mariage contraire à tous ses rêves.
Prisonnière des contraintes de la bourgeoisie provinciale du XIXème siècle, Caroline restera fidèle à Franz Liszt, son grand amour, virtuose et fugure flamboyante du romantisme, à qui elle ne cessera jamais de lancer cet appel : « Ne vous lassez pas de mon souvenir ! »
Passionnée par l’histoire des lieux et des hommes, l’auteur a publié : « Quand les jeunes Navarraises et Aragonaises émigraient en Soule (1880-1930 ) dans Pyrénées, revue des Amis du Musée Pyrénéen de Lourdes.
Ed. Cercle Historique de l’Arrribère, 2011 – ISBN 978-2-918404-08-8 – Prix : 18€
Poète depuis plus de trente ans, auteur d’un essai en poétique contemporaine sur Jacques Gasc (1943-2010), écrivain dans plusieurs genres, Martine Biard nous propose, dans ces témoignages d’aller à la rencontre de Trobaïritz parmi ses contemporaines femmes poètes du sud dont elle fait partie.
Un ouvrage captivant et instructif sur le vécu de l’ écriture, les intérêts et la spécificité de chacune de ces poètes dont la présence au monde plonge ses racines dans notre héritage culturel comme le démontre l’helléniste André Vinas dans sa préface qui est aussi un historique et même, à plusieurs égards, une réhabilitation.
Avec cet essai, Martine Biard prend le risque d’être à la proue de la création poétique contemporaine et cette aventure cap au sud s’avère salutaire.
Préface et un historique d’André Vinas.
Couverture : peinture acrylique de Gaëtan Biard » Après l’orage « , 2010.
Grand Prix de Poésie de la ville de Toulouse 2014 des Gourmets des Lettres sous l’Égide de l’Académie des Jeux Floraux
Médaille des Lettres et Arts Septimaniens 2014 et pour l’ensemble de l’œuvre présentée pour les Journées du Livre de Narbonne
Éditions Mille poètes en Méditerranée. 269 pages ISBN: 978-2-918-38167-9 – Prix : 20 euros + frais de port
Sur une Terre dans le futur, sur des planètes éloignées de la nôtre, dans des mondes où les dictatures règnent en maître, Gilles Roux nous décrit la vie des êtres qui continuent de vivre, souvent dans des milieux hostiles. Mais que ce soit pour des êtres humains, pour des êtres extra-terrestres où même pour des robots il s’agit surtout de décrire les relations entre les hommes et les femmes.
Asservissement, domination, rébellion, jalousie, exercice du pouvoir, luttes des faibles contre les forts sont les thèmes principaux des récits qui vous sont proposés. Mais, même lorsqu’il s’agit de robots, l’amour entre des êtres différents n’est jamais bien loin.
Illustration de couverture : François Genevrier
ISBN : 978-2-9529280-9-0 EAN : 9782952928090 . Prix : 12 euros