Je m’appelle Jan RENETTE , je suis Artiste Photographe.
Hollandais d’origine, je me suis installé, depuis plus de 20 ans, sur les coteaux surplombant la ville de Toulouse. C’est lors de mes balades culturelles dans la région Midi-Pyrénées, « équipé » de mon Nikon, que je me suis aperçu à quel point je « voyais » au format «panoramique» : je n’avais de cesse de vouloir recadrer mes photos ! Voilà comment la photographie a commencé à me passionner.
J’aime retranscrire l’émotion que me procure un lieu tel que je le vois… Vous trouverez dans mes expositions les voyages dans le monde (Maroc, Inde, les îles grecques…), la Corse, les îles d’Aix et de Ré, ainsi que mes balades au cœur des cloîtres et des églises, au bord de la Garonne, du Tarn et de la Méditerranée…
Composer, c’est former un tout harmonieux à partir de différents éléments. La composition traduit sans dissimulation une sensibilité, un regard sur le monde et sur les autres. La photo m’invite donc à laisser exprimer mes envies, ma solitude, mes sentiments et ma vision créative.
Il existe tellement de « bibles » écrites sur la photographie (panoramique)… Je me balade avec mon Nikon D750, zoom 28-300 mm et mon regard, prêt à mémoriser ce que je vois. Mes seuls outils, les logiciels « Panorama Maker », « Photoshop » et l’imprimante Epson donnent la possibilité de retranscrire mes envies et mes visions sur papier.
Mais une photo commence à raconter une histoire quand elle est présentée en série avec d’autres photos, avec des textes et éventuellement de la musique. Là, mes photos commencent alors à vivre dans mes expositions et surtout dans mes livres…
Corinne SAUFFIER raconte la jeunesse de son père dans une ville mythique au sein de la communauté grecque (jadis la plus influente d’Egypte). Alexandrie, c’était tout un art de vivre entre danses grecques et fol épicurisme. La ville pétillait comme dans la célèbre chanson disco de Cloclo ! Des jeunes gens passionnés et habillés comme des dandys (poètes, artistes et chanteurs), ivres d’amour et d’aventure, défilent sur la célèbre corniche. Bientôt le tragique exode de 1956 sonnera le glas du cosmopolitisme et de l’Orient fabuleux… Fresque épique et portraits réalistes.
LA LUMIÈRE de DÉSIRÉ, de Régine LAPRADE, n’est pas que la biographie romancée d’un peintre amoureux de la nature, à la recherche de sa lumière extérieure et intérieure, épris de perfection dans l’accomplissement de son art.
Avec l’auteure, nous vivons la saga d’une famille bourgeoise marquée par le second Empire, puis les évènements historiques et politiques qui ont suivi jusqu’à nos jours.
Nous entrons dans le microcosme artistique du début du XXème siècle. Celui de peintres devenus célèbres : classiques, impressionnistes, ou simplement à la recherche de leur expression intime. Du manoir de Kerbervet, en Bretagne, l’auteure nous conduit à Domme en Périgord, dans l’atelier de Lucien de Maleville.
Nous découvrons aussi le monde de Sarah Bernhardt et la difficile condition, à cette époque, des femmes artistes .
LA LUMIÈRE DE DÉSIRÉ, c’est aussi une histoire romantique, délicate, celle d’un amour platonique entre le maître et son élève.
Publié aux Editions du Désir septembre 2017 ISBN 978-2-36127-098-8 prix : 14 euros
En vente: – en librairie,
– auprès de l’éditeur JM Blancherie, la Vergnolle haute, 24250 Domme.
Tel :07 70 40 87 31 et 09 84 15 86 19
– sur Internet sur le site http://editionsdudesir.fr
Dans son deuxième livre intitulé Poèmes à Camille Claudel, Valérie Rinaldo réunit ses deux passions : la poésie et l’art.
Fasciné par le génie de Camille Claudel, l’auteur tente de retracer l’histoire heurtée d’une incroyable vocation d’artiste. Une œuvre sensible qui témoigne d’une rencontre intime et sincère avec l’oeuvre de l’une des plus grandes statuaires du XIXème siècle. ISBN : 978-2-9553849-1-6 – Prix : 15 €
D’abord spécialisé dans le roman court et à l’origine de la « méthode Zola », Adrien Anderson est connu pour offrir la possibilité de lire d’une traite un livre en peu de temps, soucieux d’adapter la littérature aux nouvelles générations de lecteurs plus « instantanés ».
A la lecture de son » Singulier manifeste de Brive-La-Gaillarde », certains pensent qu’il pourrait bien être l’artisan d’un futur courant littéraire germant dans son esprit comme les impressionnistes en leur temps. D’un tempérament curieux et soucieux de partager ses idées avec d’autres artistes, soutenu par un peintre coté et approché par des institutions culturelles nationales dont l’un des plus grands musées français à Paris, il s’impose peu à peu dans le paysage artistique.
Adrien a également tenu une conférence TEDx sous licence internationale. Jeune écrivain désireux de partager ses valeurs, Adrien Anderson poursuit son travail au quotidien, défendant une jeunesse pensante. Certains peuvent parfois le considérer comme « un poil à gratter » qui ose et n’hésite pas à affirmer ses idées dans une société imprégnée de multiples craintes. Il n’entend pas suivre un chemin conformiste, il revendique la différence et rêve d’universalité ! Pour lui, la fiction doit être à même de dépasser la réalité.
Sa marque de fabrique ? Transporter chacun dans une autre dimension où simplicité et fluidité de l’écriture vous permettent de devenir acteur de votre propre voyage littéraire. Il ne considère son imagination que comme simple vecteur à même de vous aider à personnaliser les histoires en fonction de votre vécu. Ici, personne ne vous imposera des images par d’interminables descriptions : le lecteur n’est pas un banal récepteur passif, il devient, bien au contraire, maître et acteur de ce qu’il lit. Voici l’esprit d’Anderson !
Originaire de la région Bourgogne, parti exercer ses premières fonctions en Poitou-Charentes et Limousin, ancien habitant de Sète, l’île singulière si chère à Brassens, il réside à présent près de Toulouse. Adrien a dédicacé dans de nombreuses régions de France, plusieurs de ses ouvrages sont référencés, diffusés et distribués par Daudin et Paradigme. Aventurier de nature, il n’a pas hésité à répondre positivement à des invitations dans des lieux parfois insolites comme le château de Fougeret (TF1,W9, France 2) où il a présenté son roman « Démoniaque » dans cette atmosphère particulièrement adaptée à cet ouvrage. Il est membre de plusieurs sociétés savantes dont la Société des Gens de Lettres de France, organisme fondé par Honoré de Balzac et la Société Civile des Auteurs Multimédia. Adrien a été l’un des scénaristes d’une petite série audiovisuelle qui a fait l’objet d’un reportage M6 en 2008 et a fait la connaissance de l’un des réalisateurs du feuilleton « Plus belle la vie ».
A titre personnel, il s’est enrichi de rencontres plus intimes avec quelques acteurs internationaux, une poignée de membres du show-biz et surtout de bédéistes dont il se sent très proche. Homme de radio, il a réalisé l’interview de nombreuses personnalités politiques parmi lesquelles on compte Ségolène Royal, Jean-Pierre Raffarin, Arnaud Montebourg, Michèle Alliot-Marie ou encore François Rebsamen. Las de l’univers monocorde de la politique, il acceptera une émission sur « Radio Cultures » pendant plusieurs années à travers laquelle il approchera de grands noms culturels comme le réalisateur Claude Lelouch, plusieurs acteurs tels qu’Astrid Veillon ou encore Jean-Marc Barr mais également des chanteurs dont MC Solaar ou Nicoletta et quelques journalistes comme PPDA ou Alberto Toscano.
Il a également tourné une émission spéciale sur la Franc-maçonnerie avec un ancien conseiller spécial du Grand Maître du Grand Orient de France, couvert l’Affaire Merah avec un ex négociateur du GIGN ou encore revisité l’affaire GIRAUD-LHERBIER en recueillant un témoignage poignant de l’ex femme de TREIBIER, le présumé coupable. Qu’ils soient directeurs de collection de grandes maisons d’édition, auteurs à succès, stars ou illustres inconnues, nombreux sont ceux passés au micro de cet auteur atypique aux multiples facettes qu’est Adrien ANDERSON.
Voici l’aventure d’un jeune alpiniste des verbes qui, pour viser un certain Everest, entend se nourrir des plus belles expériences de la vie.
Adhérent de la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne ainsi que Guy Astoul, historien, ils décident de réaliser un livre d’Art et d’Histoire pour magnifier cette ville. Si de nombreux historiens, chercheurs ont écrit un grand nombre d’ouvrages qui font références, jamais un artiste n’avait peint Montauban.
Le projet est né en 2012 et après deux années de travail d’aquarelles, s’achève aujourd’hui avec ce livre grand format 24,5 x 29 cm, de 80 pages, quadrichromie avec une couverture cartonnée, dos carré, cousu, 130 aquarelles et des textes ciselés par Guy Astoul.
Prix : 48 euros
Ce livre est édité par la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne, Maison de la Culture, rue du collège, Montauban.
Il est en vente dans toutes les librairies et grandes surfaces de Montauban .
Il est également en vente auprès de Jean Coladon ainsi que les aquarelles originales. (4,30 euros de frais d’expédition)
Encart lu dans le Journal Le Carillon (63)
Vient de paraître aux Editions de l’Epée
« Murol, il était une fois une petite fille dans un carnet de paysages »
Amoureux de l’Auvergne et du Pays Murolais, vous ne pouvez qu’être émus et charmés par la ciselure des mots et dessins de ce recueil. Tendresse, humour et poésie se partagent les pages, le tout avec un regard d’enfant qui tantôt vous étonnera, tantôt vous envoûtera.
Un livre à lire et partager avec les deux artistes murolaises qui l’ont conçu.
Extraits du recueil
… un doigt sur les lèvres, je hume ce retour à l’enfance, saveur de fraise sur la langue quand mes yeux au ras des bocaux goûtaient, ravis, la couleur et les parfums captifs derrière le verre…
… chaque jour est bonheur pour qui sait écouter l’humble montée du jour au respir si tranquille, à la sagesse sobre. Quel autre rythme donner à la vie quand ont disparu du paysage le passage des troupeaux et l’ambiance des foires ?
Ma petite mine de crayon pour un brin de ce bonheur-là !
Postface
Murol prend ses aises en Pays Auvergnat : un lac qui veille sur le petit peuple, un château qui remonte l’histoire…
Dans l’oreille du vent, avec candeur, avec tendresse, murmure la voix d’une petite fille et les montagnes s’écartent pour laisser monter le soleil entre les pages
Maryvonne Lepinoy Guégan est l’invitée d’honneur à 18ème salon des artistes de FEYTIAT 87
du 12 au 23 décembre 2012
Cette ville (à côté de Limoges) organise le salon international du pastel en juillet – août.
Présidente de l’association ATELIER DILLON, Maryvonne Lepinoy Guégan exposera tout le mois de février à l’Office de Tourisme, Place des Capitouls à Monclar de Quercy (82).
Cet ouvrage qui a pour objectif d’initier la femme d’aujourd’hui à la découverte de son chemin intérieur, a la particularité de s’adresser également aux hommes. Le regard que les hommes portent sur la relation à la femme, est en mutation. La femme moderne est grande. Dans son intérieur, elle sait.
Elle a la capacité à retrouver en elles toutes les sources de sa richesse de vie, afin de créer son nouvel art de vivre pour s’épanouir dans son quotidien.
L’homme qui a soif de connaître la femme est invité à ce voyage de conscience, source de réconfort et d’ouverture à une relation authentique et harmonieuse.
La femme moderne a perdu les racines ancestrales de son savoir, l’art de la communication avec les astres, les plans de l’univers, la nature. Elle a cependant dans ses mémoires l’acquis de ses incarnations.
Cet ouvrage est un parcours initiatique amusant qui permet à chacune de s’accorder un temps de pause, pour accomplir un voyage vers l’ouverture intérieure.
L’auteur nous offre dans cet ouvrage une écriture inspirée qu’elle nomme «écriture guidée» : «L’écriture guidée» est une offrande mentale de réception, un don de soi par la présence à soi. Comme le dit Edgard Cayce, «l’être humain est naturellement un canal de transmission».
En ce qui me concerne, j’écris sans trop chercher à comprendre ni à nommer ce qui selon moi, me vient naturellement et sans effort particulier.
Lorsque je canalise par l’écriture, je réponds à un appel intuitif.
«L’écriture guidée» est devenue pour moi une façon de discuter avec mon être, de réguler mes énergies, de m’écouter penser et de ralentir le rythme de mes pensées.
J’en ressens beaucoup de paix, toujours un brin de curiosité à recevoir l’imprévisible.
Anne-Marie Bataille
Passionnée par la nature humaine, les voyages et les cultures du monde, elle est artiste, photographe de mer, consultante dans l’accompagnement collectif pour les organisations et la valorisation des ressources humaines. Elle fonde en 2010 une société de financement de projets humanistes du nouveau monde SOFI.
Passionnée par la spiritualité moderne, elle écrit, reçoit des messages et propose des accompagnements à l’évolution personnelle par l’écriture guidée.