Les 3 -ski, ce sont trois filles de Valenciennes d’une dizaine d’années, surnommées les « 3 -ski » car elles sont toujours ensemble et qu’elles ont toutes les trois des racines polonaises. Avec leurs amis parisiens, Naël et Victor, elles ont le chic pour vivre des aventures hors du commun.
Dans ce premier tome (l’auteure s’est tellement attachée à ses personnages qu’elle a prévu une trilogie) Margot et Lucie ont décidé d’accompagner leur amie Garance en colonie de vacances dans le village de Montalbaniac, en Dordogne. Là, elles se lient d’amitié avec Nael et Victor, deux garçons passionnés d’archéologie. Tous sont loin d’imaginer que le manoir dans lequel ils vont séjourner renferme un lourd secret…
Cette étude sur « les eaux d’Apamia » concerne l’archéologie des réseaux hydrauliques et des arrosages, de cette cité de la Gaule du Sud ouest. Son dernier « roi saint » des Gaulois ibères, Antoninos (Saint-Antonin) célèbre en Europe, fut martyrisé par les Visigoths, le 2 septembre 506.
Les invasions du Vème au VIIIème siècles ont effacé cette science hydraulique, qui remonterait à l’antiquité. Faute de documents locaux nous basons notre analyse sur d’édifiants vestiges, et sur les noms des lieux dits riverains, traduit du « langue doct » (langage savant) , le Languedocien ancien.
Nous traitons des aqueducs élevés sur des maçonneries ou des remblais de terre. Le capricieux ruisseau du Rieutord, qui fut canalisé.Nous évoquons la grande galage longue de 20 km. Nous décrivons la faisabilité et les travaux de l’étonnante galage de « Garosse » due à un savant géomètre. Nous expliquons la dérivation du Rieutord, prolongé sur 15,500 km par le grand canal d’irrigation du Crieu. Parcours comprenant pour les arrosages, des sorties par des canaux secondaires, des machines élévatrices (dont la vis d’Archimède) des vannes, car ce canal était approvisionné par des réservoirs.
Plus tard, grâce à l’aménagement de « la grande païssiera » du « Barriol » et « la caoussado de Saint-Antonin » on réalisa des canaux qui ceinturent « la ville neuve Carliaigo » qui deviendra « Frédélas » au VI ème siècle puis « Pamiès » en 1499. Au nord de la ville , pour arroser les jardins de « Lestang » et du « Gabé » on créa un réseau de canalets captant les sources « des jardins suspendus » de « Milliane » et de « Cahuzac ».
Jaubert de Passa écrivait parlant de l’antiquité: « … partout où furent , les grandes villes, il devait se trouver des terrains riches et bien cultivés, c’est à dire des arrosages. »
Adpamianos – ISBN 978-2-9524454-3-6- Prix : 25 €
Ce livre étant publié en auto-édition s’adresser à l’auteur : Jean Jacques Soulet ; 14 rue Edith Piaf 09100 Saint-Jean-du-Falga. (Port : 5 €).
Format 15 x 20
330 pages, 74 illustrations (photos et dessins), 34 planches
Auto-édition 4 ème trimestre 2014 Imprimerie Gabelle
Un texte daté de 961 mentionne le legs par le comte Raymond de Rouergue et de Gothie, de « l’alleu Perpiniani » aux églises d’Elne, de Gérone et l’abbaye de Saint-Pierre de Rhodes… Mais antérieurement ?
En introduction l’auteur aborde sous un nouveau jour, le passage en 218, d’Hannibal avec ses éléphants et surtout son arrêt devant Ruscino…
Puis suivant une analyse architecturale, constructive, technique et archéologique du pont aqueduc « les Arcades » connu des Perpignanais il révèle les grandes connaissances des constructeurs…
Ce monument attribué aux bâtisseurs médiévaux selon la première version écrite au XIIIème siècle. Mais certains historiens locaux désignent une œuvre des Arabes, ou des Visigoths et quelquefois des Romains…
Heureusement la dédicace Romaine trouvée au château de Corbère mentionne l’existence d’un aqueduc et de la ville « Municipium Flavium Ebusum », aussi cette trouvaille prête a confusion…
Lors de la guerre de Sertorius en 76 av.J.C un personnage Romain, Marcus Perpenna Vento ( en s’alliant avec les Gaulois) délivra le « Roussillon », et la mystérieuse ville de « Cale » de l’ occupation Romaine … Le nom célèbre de ce banni de Rome, serait-il l’éponyme de Perpignan ?
Sans oublier la légende du Père Pigne venu plus tard de la Cerdagne et désigné comme le fondateur de la ville de Perpignan… Quel épilogue …
Livre de format 15 x 21 . de 64 pages, avec photos couleurs et dessins. Auto-édition. Parution Avril 2006. N° ISBN : 2-9524454-1-9 – Prix 14 Euros
Vente par l’auteur ou dépôt vente dans l’Aude ou Pyrénées orientales.
Sous forme d’articles datés, cette étude historique et archéologique d’Apamia, remonte le temps à partir de 1300 avec le dernier abbé de Saint-Antonin Bernard Saisset devenu le premier évêque d’Apamée, jusqu’à l’antiquité plusieurs siècles avant Jésus Christ.
Le moyen âge, évoquant le château d’Apamée et la translation des reliques de Saint-Antonin le 19 Juin 987.
Le Haut Moyen âge à Cailloup présente la basilique de Saint-Antonin, et « l’ospital » Saint-Antonin.
L’Antiquité concerne la découverte de la Cité d’Apamia et le voile soulevé sur quelques mystères, dont le nom de « Pamiers ».
La guerre des Gaules en situant les batailles contre les Romains mentionnées par Jules César : la bataille de Cintegabelle en 107 av.J.C avec les Tectosages alliés aux Tigurins ; celle des Sotiates en 78 av.J.C sur le site de Saverdun, Montaut, Mazères, Calmont.
Les arrosages Apamiens au sujet du Crieu et de quelques ouvrages d’art.
L’art antique en fonction de quelques trouvailles.
L’entrée dans l’an 2004, et non dans l’an 2000 …
Livre de format 15 x 21 de 206 Pages, avec illustrations en couleur et dessins. – Parution en Février 2002. – N° ISBN 2-84149-082-3 – Editions Lacour Nîmes (Gard) – Prix : 18 Euros