« Le petit hérisson qui voulait voir le Père Noël » et « Le petit arbre de Noël… des oiseaux »
Le petit hérisson, Petit Piquou, n’a qu’un rêve : rencontrer le Père Noël !
Le pourra-t-il, lui qui s’endort durant tout l’hiver, pour de longs mois ?
Qui le réveillera ?
Les animaux qui habitent le grand jardin sont étonnés de toutes les allées et venues des propriétaires de la maison et des paquets qu’ils transportent…
Un grand événement se prépare… Lequel ?
Mais un petit rouge-gorge futé, veille et surveille…
Ces deux contes de Noël sont introduits par une comptine et comportent en fin d’histoire, un lexique des mots « difficiles » ainsi que quelques pages de coloriage.
Ils sont empreints de merveilleux et correspondent parfaitement à cette période de Noël où l’imaginaire enfantin est en pleine effervescence et avide de belles histoires !
Turlututu vit un grand drame : il a perdu la voix, lui, qui aime tant chanter !
Ses petits amis de la forêt vont tout faire pour l’aider à la retrouver…
Y arriveront-ils ?
Ce petit conte très sympathique traite de la solidarité, de l’entraide et de la compassion envers autrui. Une partie pédagogique en fin de livre, comprenant un lexique des mots « difficiles », un questionnaire de compréhension du texte, une fiche documentaire sur le pinson et quelques pistes de recherches sur les animaux rencontrés au cours de l’histoire, apportent un prolongement à la lecture que l’enfant peut effectuer seul (puisqu’il a les réponses en fin du livre) mais aussi, en famille, avec ses parents, ce qui contribue à créer une complicité entre eux et établir un dialogue.
Bien sûr, tout cela doit se faire sans contraintes, car la lecture est un plaisir et doit le rester.
Texte et dessins : Ghislaine RUDENT / Comptines : Pierre RUDENT
Éditions du Ver Luisant – ISBN : 284701-410-5 – Prix : 8,50€
« Contes de la forêt corrézienne ». Ghislaine RUDENT
Oyez, oyez, les enfants ! Venez lire et écouter les aventures épiques de Thibaut, le canard colvert, le seigneur des étangs de Sédières, protecteur des faibles et des animaux en danger.
Pour eux, il est toujours prêt à l’action …
Puis, vous ferez la connaissance de Bétula, le pauvre bouleau, qui doit être trucidé par la hache inexorable des bûcherons … Pourra-t-il être sauvé ?
Chaque conte bénéficie d’un lexique des mots «difficiles» et d’une comptine introductive qui ajoute une note sympathique et amusante.
Contes de la forêt corrézienne : « Le petit canard de Sédières » et « Bétula, le bouleau ».
Texte et dessins : Ghislaine RUDENT / Comptines : Pierre RUDENT
Éditions du Ver Luisant – ISBN : 284701 -391-1 – Prix : 8,50€
Après des études à l’école des Arts Appliqués de Paris et une trentaine d’années passées en tant que graphiste publicitaire, Jean COLADON se tourne vers la peinture de chevalet. Il réorganise le salon du 19ème arrondissement de Paris, y crée une académie de dessin avec un sculpteur et graveur, devient sociétaire des artistes français en 1977.
La photo ayant détrônée le dessin, il abandonne la publicité et Paris pour s’installer dans le Tarn et Garonne où il se consacre à l’élaboration d’une œuvre très particulière.
Elle est caractérisée par une science très précise du dessin et vouée en majorité à la Femme. Elle y est représentée en majesté, mythologique et contemporaine, à la fois prude et impudique, symbolique et réaliste mais toujours dans sa splendeur.
Au travers d’elle il tente de rendre intelligible le jardin secret qui se cache en chacun de nous, et si l’ambiguïté y règne parfois, ce n’est que le reflet renvoyé par le miroir de la vie.
Il a exposé dans de nombreuses galeries françaises et belges, il est représenté aux États-Unis. Ses œuvres font l’objet d’un livre : « 20 ans de peinture » édité en 2000.
Il est également l’auteur d’un mur peint à Moissac en hommage à l’affichiste Firmin Bouisset et d’une sculpture consacrée au pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. En 2004, il fait paraître un album d’aquarelles, portrait de Moissac et de ses jours de fête (64 pages).
Voici l’été ! Retrouvez 4000 BD différentes au 12ièmeSalon du livre et de la BD associé à une bourse toutes collections , dimanche 30 août 2015, salle du lac à Monclar de Quercy avec ces collectionneurs de BD entre-autres…
Vous pourrez également rencontrer les dessinateurs :Michel ROMAN ; Sébastien R’COSSET ; Antoine POUPART (uncafeledicion).
La BD comporte aussi des comics, des mangas, et des petits formats, parlons un peu de ces derniers il y a aussi un nouveau salon qui faisait du petit format et aujourd’hui s’ouvre à la grande B.D. mais voyons le petit format:
Le petit format est une petite bande dessinée généralement de 13 x 18. Il se compose d’une histoire principale plus en complément une ou deux histoires qui complètent ce livre.
Exemples de BD Petit Format
On le nomme le plus souvent, Pocket ou, par ceux qui l’achètent régulièrement, par le nom de son titre.
Il prit la relève des récits complets qui n’avaient que quelques pages et généralement qu’une seule histoire.
Il a été créé en 1949 par les éditions Vaillant et portait comme titre; 34.
Pourquoi 34 parce qu’il n’avait que 34 pages mais par la suite fut nommé 34 caméras.
Et quelques mois plus tard sorti chez les Editions Imperia le Fameux Super boy.
Dès lors, ce fut le boum sur le marché des bandes dessinées « dites de gare ou du pauvre ». L’on pourrait dire aujourd’hui le Manga…
De nombreux éditeurs adoptaient ce format notamment IMPERIA avec déjà Super Boy, puis d’autres titres comme Tex Tone, Kit Carson, Kalar, etc. LUG avec les légendaires Rodéo, Kiwi, Hondo etc.,
AVENTURES ET VOYAGES avec Akim, Marco polo, Totem etc.., LA SAGEDITION, LES REMPARTS,
LA SOCIETE FRANCAISE DE PRESSE ILLUSTREE, ARTIMA AREDIT, JEUNESSE ET VACANCES et j’en passe. Dans les années 50, 60, on trouvait peu d’album cartonné et le petit format prit un essor considérable, à tel point que l’on pouvait trouver toutes sortes d’histoires, que ce soit du western, du policier, du comique, bd de guerre, de l’aventure etc., pour un petit prix. Aujourd’hui presque introuvable et donc en hausse constante.
De grands dessinateurs de talents participèrent à l’évolution de ce Pocket.
Je ne vais pas tous les nommer, mais prenons par exemple Cézard pour le Kiwi l’oiseau paru dans le Pocket Kiwi (Lug), Bonelli pour Rodéo (Lug), Blek (de Kiwi Lug)) par le trio Cedroni, Mitton, Amouriq, Pedrazza pour Akim (Aventures et voyages) , Marco pour Kalar (Imperia), Ambros pour Ajax (SFPI), Chott pour Fantasia et bien d’autres.
Dans les années 80, ce fut la chute du petit format. Les Editions ferment tour à tour, le Pocket n’intéresse plus grand monde. (suite la prochaine édition)
Liste des auteurs inscrits (liste susceptible de modifications).
Si vous cliquez sur le nom en rouge, vous découvrirez la page de l’auteur sur 7 à lire !
Amblard Philippe Loul
Armanet Michèle
Armanet Christian (J)
Baron Sylvie
Bellet Jean-Jacques
Bienvenu Jacques (J)
Bordes Edmond
Bonnier Virginie (J)
Boussuge Micheline
Brugès Daniel et Valat Christiane
Cambefort Louise Capraro Graziella Caulus Stéphanie (J)
Croizier Jean-Pierre
Devez-Valienne Monique
Duchefdelaville Danielle
Ducloz Albert Durrieu-Mallet Jakie
Dutheil Gisèle
Estève Christian
Ferraton Henry-Noël
Fontanon Jean-Paul
Fraisse Thomas
Hermant Martine
Lacombe Jean-Pierre
Lafon Noël
Larraillet Gisèle (J)
Laygues Joseph
Leca Clément accompagné de Leca Agnès (éditions la fenêtre ouverte)
Limouzin René
Masson Christophe Mauré Jean-Louis W.
Meunier Guy
Michaud-Fievet Martine (J)
Mignonneau Françoise
Morge Raymond
Piccoli Raymond
Provost Emilie (J)
Prud’Homme Jean-Louis
Robert Christian
Rochefort Elyane
Roucarie Philippe
Sergues Odile
Vitté Louis-Olivier
Walenty Catherine
On se cherche, on se fuit, on se heurte… Le hasard joue de sa loi, le destin fait le reste. Entre Paris et Abidjan, Bruno Malivert dépeint les chassés-croisés amoureux d’une galerie de personnages perdus dans une course folle et auréolée de mystère : jouant sur les apparences et les contradictions, « La Croisée » sème le trouble et l’émotion pour donner naissance à une étude de mœurs moderne, juste et envoûtante.
Version papier : ISBN : 9782342034394 – Prix : 15 € Version eBook : ISBN : 9782342034400 – Prix : 7,99 €
Une riche Anglaise établie dans le centre de la France assassinée sur un parking en pleine nuit. Le suspect suicidé lors de la reconstitution. De passage sur les lieux, un comédien est attiré par l’affaire et plonge dans un monde qui le dépasse. Celui du pays des étangs, du brouillard et des choses qui s’y cachent. Une confrérie, des veillées incantatoires, et des créatures, les Vieuilles…
Sombre et nihiliste, « Relâche » relève du pur cauchemar lovecraftien. Forces occultes, monstres et hallucinations, butin, complot… Bruno Malivert élabore un puzzle narratif habile pour donner naissance à un univers aussi immersif que dérangeant. Une réussite du genre.
Version papier : ISBN : 9782748387162 – Prix : 18 €
Version eBook : ISBN : 9782748387179 – Prix : 11,49 €
ISBN : 9782748360059 – 278 pages – Edition brochée
« Le lendemain, Jean se leva aux aurores. Plus silencieux qu’un voleur, il s’en alla subrepticement, oubliant même, pour la première fois, son bol de café noir. Elle le laissa partir, gardant les paupières closes dans l’espoir de dormir enfin et de rêver qu’il rentrerait comme avant, le refrain aux lèvres après une dure journée de labeur, heureux, le croyait-elle, de retrouver leur petit appartement perché sous les toits et de l’étouffer de baisers gourmands. »
Entre Jean et Marinette, le torchon ne brûle même pas. Bien au contraire, rien ne se fracasse, pas de cri, pas de larme. Juste le désenchantement, les non-dits, l’hébétude devant une situation qui part doucement, silencieusement, à vau-l’eau. Ainsi, lui, ment, erre, divague par la ville, déserte l’atelier; elle, regrette, espère un sursaut, un regain de la passion, un retour du temps d’avant… Mais le temps n’y peut rien. Et même quand Marinette, désillusionnée, échouera dans une maison de repos, loin de se ressouder, le couple connaîtra encore et toujours sa lente érosion.
En phrases ciselées, en mots dénués de jugement, dans une langue qui préserve plus que tout l’innocence intrinsèque de Jean et Marinette, « Le Singe bleu » dit l’inexorable, froide et presque cruelle séparation de deux lignes de vie qui n’auraient peut-être jamais dû s’unir.
