Anticipation / fantastique, roman en partie inspiré (en partie seulement…) d’une vieille histoire de famille et de souvenirs d’enfance de l’auteur…
Deux destins étrangement semblables séparés par un insondable gouffre spatiotemporel…
Anaïs, passagère du gros transport interstellaire à destination d’Ouranos, lointaine colonie pénitentiaire aux confins de l’espace contrôlé par la Fédération, est-elle la même personne que Camille qui, sept siècles plus tôt, a vécu la grande aventure à bord du paquebot des Messageries Maritimes cinglant vers la Nouvelle Calédonie ?
Lucien, docile cobaye entre les mains de deux chercheurs à l’avant-garde d’une science révolutionnaire, réussira-t-il sans dommage pour sa santé mentale à s’introduire par effraction dans ce mystérieux « quelque part » où passé, présent et avenir sont inscrits de façon indélébile ? En poussant un peu plus loin encore leurs étranges expériences, ces aventuriers en blouse blanche peuvent-ils espérer en sortir indemnes ?
Un roman offrant un récit d’une grande intensité dramatique, certes une fiction mais qui, basée sur une conception de la réalité partagée par bon nombre de scientifiques, pourrait remettre en cause bien des certitudes.
Ta Mémoire, pareille aux fables incertaines
ISBN : 978-2-39018-054-8
Prix : 14 €
Ouvrage disponible dans la plupart des librairies en ligne et sur le site de l’éditeur
Disponible en version numérique sur Kobo, FNAC et Amazon
En l’an 2150 est né un Humain dont la destinée allait changer le visage de la galaxie : Arkentos.
A l’âge de 20 ans, Arkentos est parvenu, avec l’aide de ses amis, à déjouer les plans d’Omnorion, l’Empereur des Omnicrons, provoquant la mort de celui-ci ainsi que la fin du Béhémoth, le Destructeur de Mondes (ODA – tome 1).
Deux mois plus tard, Hawks, seigneur du crime, kidnappe Dahlia, la partenaire d’Arkentos. Celui-ci se rend alors à la surface de la planète de glace Axions, aux commandes de l’équipe Raptor, afin de retrouver la jeune femme et permettre l’arrestation de Hawks. Hélas ! quand le jeune homme et ses amis rejoignent Dahlia et Hawks ils sont piégés dans les entrailles d’Axions qui semble être en fait une gigantesque station spatiale. Alors qu’ils tentent de s’échapper de cet enfer, Kora, soeur d’Arkentos, envoyée elle aussi sur la planète, devient également prisonnière. Alors, une fois tous réunis au coeur d’Axions, Arkentos désactive l’intelligence artificielle détraquée controlant la planète, réussissant ainsi à s’échapper avec ses amis, juste avant la disparition de la station dans un trou noir (ODA – tome 2).
(dans ce tome 3) – Un mois après l’anéantissement d’Axions, l’Amiral Jonas informe Arkentos sur la situation actuelle de Kora, qui n’a pas repris contact depuis la mort de son compagnon, Wen, disparu dans les entrailles d’Axions.
A bord du Liberator, ils vont donc se mettre en route vers Torisia, où se trouve Kora, sans savoir que cela aura des répercussions qui pourraient bien conduire la galaxie à sa perte…
Editions Le Fil des Mots – ISBN n°978-2-919552-41-2 – Prix 17 €
Sylvie Anahory a suivi une formation en histoire de l’art, histoire et anthropologie. Elle a fait des études doctorales sur le thème de la gémellité en Grèce ancienne et la symbolique du double sous la direction de Pierre Vidal-Naquet.
Elle publie des articles et ouvrages en histoire de l’art et anthropologie dans des revues pédagogiques et universitaires et écrit également des manuels scolaires.
Elle donne des cours à l’Université pour tous d’Albi (Tarn) depuis 2014 sur des thématiques en lien avec l’image, le cinéma et les mythes.
Depuis quelques années, elle écrit des nouvelles dont plusieurs ont été sélectionnées La Souricière, Autres…
Avec La Jeune Fille et la mort, elle remporte le premier prix de la nouvelle de l’édition 2015 du Salon du livre de Gaillac, présidé par Gérard Mordillat.
Puis elle s’intéresse à la vie d’un ancien séminariste élevé chez les jésuites à Huesca (Aragon), devenu républicain pendant la guerre civile espagnole et résistant pendant la Seconde Guerre mondiale. Son parcours de vie incroyable et romanesque lui inspire l’écriture d’un premier roman mêlant fiction et faits réels : Aucune terre ne sera mienne, publié aux éditions Cairn.
Elle vit aujourd’hui dans le Tarn près d’Albi.
Lors du 24ième salon du livre de Mirepoix « Mirepages », le prix spécial du jury a été décerné à Sylvie ANAHORY pour le livre « Terres de sel » . Editions Cairn. A Mirepoix le 8 juillet 2018 .
Patrick Lacan est né dans les années 1970 dans une petite ville de l’Aveyron. Un père représentant aux éditions Dupuis lui donne la possibilité de côtoyer les plus grands noms de la BD franco-belge (Tillieux, Franquin, Will, etc.), ce qui, forcément, marque à jamais l’esprit du tout jeune dessinateur en herbe.
Dans un style pourtant moins classique, Patrick est sélectionné à deux reprises pour concourir au prix « Jeunes Talents » à Angoulême, en 1998 et en 2000.
Toulousain de cœur et touché personnellement par la catastrophe d’AZF, il participe à un collectif avec le scénariste Christophe Gibelin (magazine RAMDAM), dont les ventes sont reversées aux personnes sinistrées.
En 2007, il publie « Tristes Utopiques » aux éditions La boite à Bulles, recueil de courts récits, noirs et absurdes, d’anticipation sociale surréaliste et « déjantée », ce qui devient un peu sa « marque de fabrique ».
S’ensuivent une série de courts récits aux éditions La Martinère/ Petit à Petit
puis « Brèves Insolations » aux éditions Poivre et Sel, recueil d’histoires humoristiques au ton corrosif, publiées au Psikopat auquel il collabore depuis 2007.
Il réalise en parallèle durant les années 2000 des dessins de presse pour BAKCHICH HEBDO, ALTERS ECHOS , les DESSIN’ACTEURS ainsi que des cartes postales aux éditions COTE BORD’EAU.
En 2013, sort « Flocons de Béton » aux éditions Objectif Mars.
Oeuvre très personnelle au graphisme pictural, il s’agit d’une fable futuriste prenant racine dans notre société où la technologie absorbe de plus en plus l’intimité de tout un chacun.
Infirmier dans sa « deuxième vie », Patrick réalise en collaboration avec une anesthésiste un livret de prévention à destination des parents d’enfants hospitalisés. Ce livret a reçu le prix de l’innovation de l’ARS en 2014
Depuis novembre 2015, il a collaboré au magazine AAARG! tout en continuant à travailler avec le Psikopat.
En novembre 2016, est sorti »Bascules » chez Objectif Mars, nouvelles courtes histoires à la facture d’anticipation sociale toujours saupoudrées d’humour corrosif et absurde.
En 2018, il collabore au collectif Egoscopic.
Un court-métrage d’animation, « Le peuple Flocons », est également réalisé en collaboration avec Mélanie Peltier, d’après l’univers de son album. Il a gagné un gold award au Spotlight Short Film Awards 2018.
Tristes Utopiques, La Boîte à bulles, 2007
Amour et Désir, collectif, La Boîte à bulles, 2008
The Beatles, collectif, Petit à Petit, 2008
Contes et légendes du Moyen Âge, collectif, scénario Céka, éd. Petit à Petit, 2009
Contes yiddish, collectif, scénario Thierry Lamy, éd. Petit à Petit, 2009
Michael Jackson, collectif, scénario Céka, éd. Petit à Petit, 2009
Contes des Indes, collectif, scénario Eddy Simon, éd. Petit à Petit, 2009
Rolling Stones, collectif, scénario Céka, éd. Petit à Petit, 2010
Polar Story, collectif, scénario Ed Chevais Deighton, édition Fugues en Bulles, 2010
Contes inuits, collectif, scénario Lamy, éd. Petit à Petit, 2010
Contes et légendes de la mythologie grecque, collectif, scénario Stéphane Nappez, éd. Petit à Petit, 2010
Jimi Hendrix, collectif, scénario Oliv’, éd. Petit à Petit, 2010
Tokyo Story, oeuvre collective, édition Fugues en Bulles, 2011
Victor Hugo en BD, collectif, éd. Petit à Petit, 2011
Brèves insolations, Éditions Poivre & Sel, 2011
L’humour contre l’exclusion, collectif, éditions Hugo et Cie 2012
Flocons de Béton (Éditions Objectif Mars) 2013
Bascules (Éditions Objectif Mars)
2016
Victor Hugo en BD, reédition colorisée, collectif, éd. Petit à Petit, 2017
Participation au collectif Egoscopic novembre 2018.
Le peuple Flocons, court-métrage d’animation réalisé en collaboration avec Mélanie Peltier.
La Romancière Chantal Antunes a écrit un troisième livre, illustré par ses soins, dont le titre est Tolède est mon nom, édité par Éditions Adishats.
Cet ouvrage parle de l’après guerre, dans les années quarante, la famille Loiseau s’installe dans une vieille ferme sans confort, aux alentours du lieu-dit Mouliné. Bon nombre de péripéties et d’aventures sont contées dans ce livre, concernant les deux aînés Thobias et Tolède, qui ne cessent de courir la campagne, en quête de la découverte des mystères qui entourent les vieilles ruines du Château Bleu.
Vous trouverez ce livre dans les librairies du NET : Fnac, Amazon, Decitre, La Procure et bien d’autres liens .
La Romancière vous donne rendez-vous pour vous présenter ses sept romans et ses trois livres illustrés , aux festivals et Salons du livre de France et de Navarre.
Par ailleurs pour commander un de ces livres vous pouvez prendre contact avec la Romancière par mail : chantunes@hotmail.fr
Né le 05 08 1968 à Sarcelles dans le Val d’Oise, la famille de Frédéric Médrano s’installe en Dordogne en 1973, où il passe une enfance paisible et expérimente diverses formes créatives. Durant ses années d’enfance et d’adolescence, Il s’intéresse également aux biographies de peintres et artistes des périodes classiques et modernes (Boticceli, De Vinci, Rembrandt, Goya, Monet, Gauguin, Van Gogh, Picasso, Duchamp…). Il voit pour la première fois des originaux de Picasso, dont « la femme qui pleure » qui l’impressionne. Il visite aussi le musée d’Orsay, où il reste enthousiaste face aux toiles des impressionnistes. Il s’intéresse aussi à la préhistoire et au naturalisme dont la contradiction avec la génèse de la bible génère un premier questionnement fondamental. Enfin, il commence dès l’adolescence à découvrir la Bande dessinée, avec des auteurs comme Moebius, Tardi, Hugo Pratt, Bilal…
Au lycée, il suit des cours d’Arts plastiques et dessin (8 heures par semaine), ainsi qu’une option musique électroacoustique, durant laquelle il découvre des compositeurs comme Boulez, Pierre Henri, Xenakis, messiaen…
En 1987, il fait son service militaire et un an plus tard, s’installe à Paris où il s’essaye à divers petits boulots ; puis il commence à participer à plusieurs aventures éditoriales, entre 1988 et 1991(BD et dessins humoristiques pour les magazines « signé cactus », « le pavé dans la mare », « banzaï »). Il rencontre des illustrateurs comme Tignous, Zaü, Charb…
En 1991, il réalise sa première exposition personnelle au café-théâtre « le merle moqueur » : une série de peintures de vues intérieures d’appartements en contre jour. L’année suivante, il expose des illustrations au foyer des télécommunications de Montparnasse. En 1992, il participe à une exposition collective au centre culturel de Montrouge.
En 1993, il s’installe à Toulouse où il participe à plusieurs aventures artistiques, autour de quatre axes : la peinture, la bande dessinée, la musique et l’écriture. Il publie notamment des planches BD dans le magazine »Black out », joue tour à tour dans les groupes « Lancelot », « Faster Fuzz » (dont il écrit les chansons de 1993 à 1996), et « Moze » (groupe de rock expérimental de 1998 à 2002). Il réalise avec le collectif « 25 bis », des happening – installations rassemblant photographes, peintres, sculpteurs, musiciens et danseurs, dans les rues et lors de manifestations culturelles (festival du spectacle de rue d’Aurillac, salon des jeunes créateurs de Barcelone… Entre 1996 et 1999)
En 1999, il réalise une exposition installation personnelle intitulée « Survie », sorte de structure décorative et picturale symbolique, au centre d’Art contemporain « Pluriel ».
Il termine en 2000, un carnet de route sur le Maroc, d’un voyage fait en 1998.
De 2001 à 2004, il publie une série de bande dessinée humoristique, dans le journal « Intra muros hebdo ». Il réalise également plusieurs courts métrages d’animation, dont le film « inclub », qui donne lieu à une sélection officielle au festival « séquence court métrage » à Toulouse, et au festival du court métrage d’Angoulême. Ce film sera édité sur DVD par Gindou cinema, et sera diffusé sur la chaine TV luxembourgeoise »TTV » (en 2006).
C’est en 2005 qu’il commence un travail pictural et d’interrogation sur le paysage urbain, qu’il commence à exposer en 2007 et 2008 (galerie « auprès de mon Art », « CE d’Air France Toulouse »)
Ces mêmes années, il publie plusieurs ouvrages, dont un album de bande dessinée intitulée « étrange », un recueil de poésies « diurne-nocturne », et un catalogue d’exposition « continentale intimité ». Il participe également depuis 2005 à la revue BD « Roll-Mops ». En 2009, il expose les peintures de « paysages urbains » à la galerie d’Art Roger Betti à Toulouse, et participe au grand salon d’art abordable (art event Paris 20ème). Cette même année il publie l’album BD « la petite boutique des hyperboles »…
Contact :
Frédéric Médrano
Auteur – illustrateur (inscrit à la maison des artistes)
« les Treilles » Le village
31430 GRATENS
L’OREILLE QUI VOITest une revue consacrée à la bande dessinée et aux autrices et auteurs de la région Midi Pyrénées, Occitanie. Des talents émergeants encadrés par d’autres plus émergés.
Un premier numéro est paru au mois d’octobre 2018, 18 artistes y ont participé,c’est un trimestriel, le prochain numéro paraît en janvier 2019.L’Oreille qui voit est aussi une association qui commencera en février 2019 la création de concerts illustrés, sa 2ème branche d’activité, une musicienne / un musicien et une dessinatrice / un dessinateur sur la même scène.
Alors comme on dit : « L’Oreille qui voit, ça vaut le coup d’œil et le bouche à oreille, »
Le Métis de Cao Bang est un roman historique qui a pour toile de fond la guerre d’Indochine. Il s’agit de l’histoire des enfants nés d’un militaire français, et d’une congaïe, c’est-à-dire d’une Vietnamienne. Une histoire douloureuse : une identité laborieuse.
Après la défaite de Dien Bien Phu, la France a procédé au rapatriement de ces enfants, orphelins ou abandonnés de leur père. Leur mère a rarement pu les suivre. Une nouvelle vie a commencé pour eux, souvent difficile : centres d’accueil, écoles militaires, orphelinats…
Ce roman retrace au travers de l’histoire émouvante de l’un de ces métis, le cheminement de leur intégration, mais aussi la recherche parfois tardive de leurs racines, de leur famille française et vietnamienne, de leurs origines.
Vit et travaille à Toulouse.
Germaniste de formation, elle a traduit de la poésie allemande et écrit des sketches pour la scène.
Elle voyage à vélo, notamment en montagne et dans les pays de l’Est.
La Romancière Chantal Antunes vous présente son 2ème livre écrit et illustré par ses soins.
Terres de nos Aïeux d’ombre et de lumière ;
Vous trouverez ce livre au Ft A 4 sur le site 7 à lire –
Il sera présent sur les stands des Festivals et salons du livre de France et de Navarre.
– Il est également mis à la vente dans les nombreuses librairies du Net : Fnac – Amazon – Decitre –La Procure et bien d’autres liens.
chantunes@hotmail,fr
Terres de nos Aïeux d’ombre et de lumière. Les légendes de nos ancêtres se mêlent aux rêves de leurs descendants, faisant références aux ruines de bâtisses féodales, de vieilles masures et de sites, interpellant légendes et mythes… Vous allez connaître la vie de Francesca, la guérisseuse. Vous rencontrerez au cours de cette lecture : Laurencie, son frère Soïeg, leurs amis et voisins, ainsi que leurs cousins et cousines des campagnes pyrénéennes, le tout sur fond historique légèrement édulcoré par les « on-dit » transmis de bouche à oreille, ce qui justifie le titre de ce livre.
Pour vous procurer cet ouvrage vous pouvez visiter les librairies du NET, Fnac, Amazon, Decitre, La Procure et bien d’autres liens, où se trouve ce livre illustré.