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Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

« Purificat, le toucher de la licorne » – Bruno de l’Onde

Purificat

En mars 1565, lors du passage du cortège royal à Montauban, Amadys Olivier se laisse emmener, pour ses qualités de cuisinier et de guérisseur, dans le Grand Tour de France de Charles IX et Catherine de Médicis. Pendant ce voyage, il rencontrera Madeleine, son grand amour, puis Hiéronymus, son maître en Alchimie. Amadys détient un secret, celui d’une source merveilleuse située en pays de Sept Fonts, qui purifie les eaux, les corps et les âmes. Saura-t-il, grâce à elle, réussir l’Œuvre au blanc, et boire l’élixir d’éternité ? Ce sera la seule voie pour espérer retrouver, dans un au-delà mystérieux, tous les êtres chers qu’il a perdus. Et pour supporter la folie des hommes.Dans les «Romans des sept fontaines » (dont ce livre est le premier volet), Bruno de l’Onde nous invite à considérer l’eau et ses vertus comme un trésor inestimable. À s’émerveiller, encore et toujours, du jaillissement de la source

Prix : 14 € • ISBN : 978-2-9565632-0-4 • Disponible en ligne sur « delonde.art », fnac, Amazon… • En dépôt chez les libraires : Tracteur savant à Saint-Antonin Noble Val, Bateau livre à Montauban…

Biographie de Bruno DE l’ONDE

Bruno de l’ONDE

Bruno de l’Onde a suivi des études de philosophie, dirigé des associations spécialisées dans l’ingénierie culturelle, publié dans un cadre professionnel de nombreux articles et ouvrages sur l’économie solidaire et l’action culturelle, dont « Action culturelle dans les quartiers, enjeux et méthodes » aux éditions Culture et proximité, et « Pour une autre économie de l’art et de la culture » aux éditions Érès. Il a ensuite travaillé les récits de la tradition orale avec des conteurs réputés, exploré les rites de passage contemporains avec divers chercheurs, pour se consacrer depuis 2007 à l’écriture de fictions. Des nouvelles fantastiques avec « Sept objets magiques », une chronique humoristique avec « Les spitz », un roman onirique avec « L’île du Saros », et un conte historique avec « Purificat », premier volet de la série des « Romans des sept fontaines ». Un nouveau roman sera présenté en 2019. Avec ses écrits, Bruno de l’Onde nous entraîne à voyager, entre poésie, humour et aventures, aux frontières de l’imaginaire et de notre quotidien.

Contact : Bruno de l’Onde – 14, rue du Vieux Pont 82240 Septfonds –
courriel: bruno@delonde.art tél: 06 88 38 87 34 – https://delonde.art

« Cassandra » d’Hélène MARCHE

Cassandra

 

 

 

 

 

 

Cassandra, jeune fille volontaire et téméraire, n’a qu’un seul objectif dans sa vie : devenir vétérinaire. Avant d’entrer dans la prestigieuse école de Maisons-Alfort, elle part seule, au Gabon, pour trois mois à la rencontre des animaux sauvages. Au cours de cette aventure, elle découvre l’amour passionnel avec Jaro mais elle va vivre également de tragiques événements… De retour à Paris, Cassandra met tout en œuvre pour oublier ce traumatisme. C’est un autre homme, Peter qui réussira à cicatriser ses profondes blessures.
Son destin l’entraîne vers de nouveaux horizons. Sa bonne étoile veille toujours sur elle et sur son premier amour Jaro…?    »

 

Le roman « Cassandra » écrit par Hélène Marche est actuellement disponible en audio-livre téléchargeable sur les sites Audible, R.Kobo, Deezer, Spotify, Apple Books, Napster, Google play. Il est merveilleusement raconté par le comédien Frédéric Venant. Un vrai plaisir à écouter cette histoire rocambolesque d’une jeune fille, Cassandra, qui part au Gabon à la rencontre des animaux sauvages… Elle va y connaître l’amour, découvrir une Afrique envoûtante, merveilleuse et parfois non sans risques… On suit cette jeune fille dans tout son cursus d’élève vétérinaire lors de son retour à Paris, ses vacances à Biarritz, au Canada…

Du suspens, de l’humour, des premiers émois amoureux… Bref, une vie de jeunes gens qui se fraient un chemin vers leur destin d’adulte !

Louanges à la Vie, Recueil de Kasàlà de Marie-Pierre BERGERAT

Louanges à la Vie

Je suis un kasàlà
En terre d’Afrique, je vis le jour
Je me fis entendre avant que de me laisser voir.
Je parle en cérémonie, tout en simplicité,
Je chante parfois, divertis toujours.
De la douceur de Marie à la dureté de la Pierre,
Mon auteur vous pouvez entrevoir,
Mes mots en dévoileront la beauté,
Mon auditoire saura la révéler.
Je suis né dans un sourire ou une larme,
Je grandis au fil de la page.
D’idées lumineuses en mots ordinaires,
D’insoutenables horreurs en beautés merveilleuses
D’humeur ténébreuse en exaltation joyeuse,
Je m’élance d’un lac de montagne vers la plaine peuplée,
De rires enfantins en voyages sérieux,
Comme une vague de dedans en dehors,
De dehors en dedans, je chante, j’enchante.
Je me révèle à un public tolérant et enthousiasmant.
Ainsi je célèbre la vie et tu t’émerveilles.

ISBN: 978-2-84672-495-1

 

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«Le sublime des comètes» de Mathieu GRANEL

Le sublime des comètes

On dit notre époque individualiste. Mais rien n’est plus faux ! Dame ! Que les processions ne cessent inlassablement de battre le pavé de l’Histoire sur lequel marchent les civilisations humaines. En effet, comme chantait Brassens : « Dieu ! Que de processions, de monômes, de groupes/Que de rassemblements, de cortèges divers/Que de ligu’s, que de cliqu’s, que de meut’s, que de troupes ! /Pour un tel rassemblement il faudrait un Prévert ». La comète, conformément à sa symbolique quasi-universelle, viendra signifier la rébellion contre l’ordre du cosmos sociétal essentiellement communautaire. De tous âges, le phénomène astral erratique cométaire fut envisagé tel un présage de malheurs par les différentes civilisations. Dans l’horlogerie cosmique offrant à l’Homme la sécurité de la stagnation éternisante, l’étoile filante détone par son impétuosité, son mouvement éphémérisant. Elle représente ainsi parfaitement l’individualisme acceptant la fugacité de son existence individuelle inscrite entre deux néants, authentique existentialisme athée en regard de la religion communiste lorgnant sur l’éternité du temps de la Communauté. En quoi l’histoire des différentes cultures humaines se succédant reste la démonstration de la permanence du sentiment communiste religieux ? En somme, pourquoi les humains se conduisent comme ils se conduisent depuis la nuit des temps ? Voilà l’interrogation qui constituera le fil conducteur de cet ouvrage que je pose en authentique manifeste individualiste, et à laquelle j’essaierai d’apporter des éclaircissements en suivant les traces de sublimes comètes philosophiques qui ont proposé, et proposent encore, des alternatives existentielles individualistes face aux troupeaux des communautés grégaires aspirant, sous la férule du sentiment religieux, cet instinct de conservation et de volonté de puissance de l’espèce à échelle humaine, à se sauver de la vie, à anéantir celle-ci pour triompher de la mort. Le sublime de ces comètes, le sublime du tragique, demeure la seule consolation que peut espérer l’individualiste dans son combat pour l’honneur… Mais quelle consolation !

Disponible sur le site de l’éditeur Sydney Laurent, sur Amazon et autres points de vente en ligne et en librairie sur commande.
Prix : 10.99 € E-book et 22.90 € format papier.
ISBN-13 : 979-1032612040.

« Morsures cyniques, Chronique du nihilisme. tome 1 de Mathieu GRANEL

Morsures cyniques

Dans le monde nihiliste les incongruités ont une place de choix. Ainsi peut-on y rencontrer des non-croyants pratiquants et des croyants non-pratiquants, soit des athées chrétiens, des musulmans consommant du porc, des juifs ne mangeant pas casher… Mais aussi des écologistes libéraux, des humanistes belliqueux, des socialistes de droite, des crapules dites «républicaines », des dandys grégaires, des experts en islam qui ne se sont pourtant pas donné la peine de lire le Coran… Et bien sur les bons vieux thanatopracteurs chineurs d’arrière-mondes, auxquels on ajoutera des gourous à foison, des prophètes millénaristes à tous les coins de rue, des tartuffes en tous genres, des histrions élevant la médiocrité intellectuelle au pinacle, des bouffons tapageurs avides de néant culturel… Dans cette cacophonie idéologique, ce méli-mélo de valeurs, cette foire aux monstres imposteurs, ce cirque de clownerie intellectuelle, sur ce navire absurde, les oxymores sont vivants, les contradictions ne dérangent pas et le réel est éhontément dénigré favorisant l’émergence de nouveaux mysticismes et la restauration des anciennes fabulations. Ce recueil de chroniques vise donc à retrouver un peu de cohérence. Chaque brève de cet ouvrage doit devenir une morsure cynique aux mollets de l’Homme afin de le réveiller de son asthénie nihiliste, prenant exemple sur Diogène le cynique mendiant la vie et l’intelligence de la raison, aboyant après la mort et l’ignorance de l’hypocrisie, mordant ses ennemis, mais aussi parfois ses amis… pour les sauver.

Disponible auprès de l’éditeur : Paulo-Ramand, ainsi que sur Amazon en version papier.
Prix : 11.25 € sur Amazon ; 18.00 € chez l’éditeur.
ISBN-10 : 2754305726.

« L’alchimie décryptée » de Liber Lucius

L’alchimie décryptée

L’alchimie décryptée est un livre qui explique pour la première fois au grand public, clairement et pédagogiquement les secrets alchimiques. C’est bien ce que signifie le mot « décrypter» Trouver le moyen de quitter la crypte, c’est quitter le labyrinthe intellectuel dans lequel nous ont plonges les anciens alchimistes de l’antiquité et du moyen-âge. Qui n’a jamais rêve de fabriquer la pierre philosophale ou l’élixir de vie éternelle ? L’alchimie décryptée est une source formidable d’information et de questionnements qui découvre et suit la présence des initiés à travers l’espace et le temps. Des initiés qui déguisent des secrets dans les films ou qui donnent à une boisson le numéro atomique de l’atome tant recherché par les alchimistes occidentaux…

Les alchimistes n’ont-ils pas la réputation d’avoir trouvé le secret de la vie éternelle ?

Les mayas avaient une année de 260 jours, ce qui parait de prime abord tout à fait étrange puisque nous savons qu’elle dure 365 jours en y intercalant des années bissextiles. Un jour de plus tous les quatre ans, cela ferait une portion de 0.25. Mais cette portion est en réalité de 0.28, ce qui fait que (365.28/3.14) X√5 = 260 = (10 X26)

Or, si vous admettez que Alif est la premier signe de l’alphabet arabe et que Lamad est le douzième, alors :

Alif Lamad Lamad Alif

1 + 12 + 12 + 1 = 26

Pour l’alphabet hébreu Iod est le dixième signe…

Iod Hé Vau Hé

10 + 5 + 6 + 5 = 26

Zita Epsilon Upsilon Sigma

8 + 5 + 3 + 10 = 26

Avec le codage Pythagoricien. (D’autres exemples sont présents dans le livre.) Le premier mot se lit Allah, le second Jéhovah/Yahvé et le troisième Zeus. Nous constatons que sous des apparences diverses liées à un codage, nous avons en réalité tous le même dieu qui vaut 26 et qui est bien lié aux mécanismes de la création. Ici, pour l’exemple, c’est celui de la rotation de la terre. Ce nombre 26 correspond au numéro atomique du fer, cendre du soleil….

 

« La société a dit… » de Mathieu GRANEL

La société a dit…

Liberté, Égalité, Fraternité. Voilà donc trois valeurs fièrement revendiquées par la République française. À tel point qu’elles sont affichées sur tout ce qui relève de l’institutionnel. Mais elles ne sont que trois arbres républicains destinés à cacher la forêt du fascisme dont la recette universelle se trouve ramassée dans un autre triptyque fameux : Travail, Famille, Patrie. Exclusivement associé au fascisme à gros sabots du régime vichyste, il porte pourtant en lui les piliers fondateurs de toutes les sociétés depuis la nuit des temps. Au regard de l’Histoire, on remarque qu’il s’agit moins, dans ce mot d’ordre tristement célèbre, de la vision politique personnelle du Maréchal Pétain que d’une vérité anthropologique absolue.
De nos jours où le libéralisme fait la loi, nombreux sont les conservateurs à pousser des cris d’orfraie déplorant la décadence de ces prétendues vertus. Leurs adversaires, eux, s’en réjouissent. Or, les deux camps ont tort. Travail, famille et patrie ne meurent pas, au contraire, ils survivent à la façon de tout ce qui est : en évoluant. Car le libéralisme n’a pas libéré du fascisme nationaliste, il n’en a été qu’une métamorphose internationaliste diachronique, une version plus raffinée, plus pernicieuse : améliorée.
Ainsi, alors que tout le monde feule contre le slogan de la politique pétainiste, tout le monde y sacrifie, plus que jamais. Tout le monde loue les vertus travaillistes, la famille, qui s’agrandit en ouvrant ses portes à ceux qu’elle excluait autrefois tels les homosexuels amenuisant encore davantage les rangs des authentiques libertins, et le sacrifice patriote qui ne l’en est pas moins lors qu’il s’extirpe de sa forme nationaliste.
Ce livre devient alors l’occasion d’un pamphlet radicalement libertaire, donc individualiste, lançant ses maximes et aphorismes en boulets rouges contre ce carcan disciplinaire sociétal ravageur de la liberté individuelle. Là où la société souhaite des loups familialistes, des fourmis travaillistes et des chiens de garde patriotes, il s’agit de se placer plutôt sous le signe du tigre solitaire, de la cigale oisive et du chat aristocrate !

ISBN-13 : 978-1718002838 et son ISBN-10 : 1718002831.

Il est disponible sur Amazon en Ebook au prix de 3.00 € et en format papier au prix de 13.61 €.

Biographie de « Liber Lucius »

Liber Lucius

Depuis sa plus tendre enfance, l’écrivain Lucius Liber a toujours eu pour vocation de connaitre les secrets de la matière. (Lucius Liber est un pseudonyme, il n’existe donc pas. Paradoxalement, il est le seul dont l’existence est valide aux yeux de tous. Son alter ego existe, lui, réellement mais il est invisible pour le commun des mortels.) Né il y a très longtemps, sa liberté d’action lui a permis de faire des recherches dans de nombreux domaines autrement tenus par le secret. La compilation d’une longue série de notes sur feuillets volants l’a amené à rédiger et à mettre en forme un livre intitulé : «L’alchimie décryptée» qui retrace tous les secrets. L’auteur y travaille depuis plus de vingt ans…

« Le Vieux Moulin » de Jean DUPIN

Le Vieux Moulin

De mémoire d’homme, les eaux vives du Lévezou ont animé la dormante et la tournante, cette paire de meules de grès, productrice de farine nourricière. Au Vieux Moulin, elles travaillaient depuis une éternité, dans l’immuable paix d’une vallée de bout du monde.

Mais, au printemps 1940, puis, plus durement encore avec l’arrivée des Allemands à Rodez, l’incertitude des lendemains, le doute et la passion politique s’insinuent dans les esprits et les cœurs, au moulin comme dans le village proche. Les opinions s’affrontent, les soupçons pourrissent la vie, entre voisins amis jusque-là, mais aussi dans l’intimité des familles, voire des couples.

Basile, le meunier, ancien de Quatorze, voue une confiance sans réserve au Maréchal, tandis que son fils, Lucien, regarde vers Londres. Au bourg, apparaît Antoine, nouveau mitron du boulanger, profil équivoque de séducteur, qui charme Juliette, puis qui semble la lâcher pour de mystérieuses correspondantes.

Soudain tout s’accélère. Pour les jeunes, il faut partir en Allemagne, au STO, ou se planquer ; ou entrer au maquis. Antoine, Lucien, Rivière, l’instituteur retraité, choisissent leur camp à leurs risques et périls. Les Allemands surviennent au Vieux Moulin.

Dans un final captivant, Jean Dupin donne vie à toutes les ambiguïtés de personnages qu’il faut voir réagir aux événements, avant de les juger.

Une fois encore, Jean Dupin a puisé son inspiration dans son terroir aveyronnais. La guerre, le maquis, lui rappellent des souvenirs d’enfance qui sont ancrés dans sa mémoire, il a voulu nous les faire partager.

Après Le facteur du Lévézou, Le Vieux Moulin est son quinzième roman.