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Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

« Quarantaine » Guy REYDELLET

Guy Reydellet
Guy Reydellet

Parfois en quarantaine, pour soigner des affections momentanées et apprivoiser le silence des combats…d’encre et de papier.
Souvent dans la quarantaine, active et généreuse, pour exprimer au monde mon sincère acquiescement aux autres.

Dans ce parcours, déjà riche de rencontres et de disparitions, le sixième sens me guide : c’est le sens de l’humour qui accompagne mes faits et gestes, réflexions et dires comme la ponctuation naturelle d’une existence en pleine expansion.
Alors pourquoi ce chemin d’écriture en propositions rimées et mesurées ? Peut-être pour dompter le déferlement des vagues nourricières du chant enfantin…
Enseigner les premiers rudiments de notre langue fabuleuse à des êtres curieux et spontanés me fait revenir sans cesse à l’essence du langage : des sonorités pour du sens.
La poésie (dont les multiples définitions en reculent l’horizon) reste un des supports les plus durables de ma pensée. Oui, devenir poète prend du temps et creuse des rides au bord des lèvres…

Ainsi, « quarantaine », c’est un des bilans (débit lent) de mon affirmation aux autres.

Ai-je omis de préciser que les illustrations du recueil sont des instantanés de mon aventure picturale ? De la première tartine beurrée en famille jusqu’à la représentation calligraphiée de mes univers, toutes ces traces graphiques ont concouru à davantage exposer mon intention de partager les images.
Des « égogrammes » aux récents « in-vitraux acryliques », toute cette production d’écriture peinte invite à saisir la cohérence de cette expression : poeintre.

ISBN : 978-2-7466-3019-2 – Prix : 13 €

Guy REYDELLET. Biographie

Guy Reydellet
Guy Reydellet

Je suis né le 15 juillet 1963 à Grasse (06), capitale mondiale des fleurs et des parfums. A l’inverse des professionnels de la parfumerie, je suis né à Grasse et le serai toujours. Les « nez » à Grasse prendront, un jour, leur retraite. Il est un parfum tenace qui accompagne mes jours, celui de la belle enfance insouciante dans les Alpes-Maritimes.
Fils de restaurateurs accueillis en 1974 par Montauban, j’ai souvent exploré les recoins du quartier Villenouvelle.
Collégien puis lycéen à St Théodard, judoka au Dojo montalbanais, caporal en compagnie de combat à Castelsarrasin, étudiant à l’université du Mirail puis normalien en Tarn-et-Garonne dans la dernière promotion recrutée sur baccalauréat, footballeur (latéral gauche) à Albefeuille Lagarde et maître d’école à Fernand Balès (rue Bêche en « ancienne école »). C’est l’écriture d’une vie sur laquelle je me retourne déjà, parvenu à la quarantaine.
Point de bibliographie abondante pour étoffer ma carte de visite mais une écriture présente en publications régulières dans la revue Vent d’Autan Poétique, bulletin trimestriel de la Délégation Midi-Pyrénées de la Société des Poètes et Artistes de France. Cette association de Montech m’a donné l’occasion de sortir mes poèmes du tiroir (depuis 1994).
Des articles de football pour le blog de l’équipe de vétérans des «Poivre et Sel» d’Albefeuille Lagarde (sous le pseudonyme d’Alain FEAUSSURE) fortifient aussi mon poignet.
Enfin la création d’un personnage, Gaston Binvéria, artisan blaguier qui propose du calembour d’échoppe et de la blague de proximité permet d’aborder d’autres genres littéraires (histoire drôle…)

Toutes ces écritures pour tirer la langue dans tous les sens et peut-être un jour devenir ce poète, issu du tiroir, enfin vêtu du tissu du terroir.

Contact :

6 rue Bêche
82000 Montauban

Courriel : reydellet.guy@orange.fr

Tél. Fixe : 05 63 63 87 74

Tél. Port : 07 86 43 40 31

La Pucelle ou la Revenante. Jean de LEVAT

Jean de Levat
Jean de Levat

Jeanne d’Arc n’a pas été brûlée !
L’affirmation ci-dessus va en faire bondir quelques uns !
D’autres, historiens «officiels», ou connaisseurs de tous acabits, vont crier au scandale. Et pourtant nous nous référons tous aux mêmes textes, aux mêmes témoignages.
Mais la légende de Jeanne relève plus d’une volonté politique bien déterminée au XIXe. siècle, que de la réalité historique telle qu’elle nous est présentée dans les rares documents originaux qui, eux, ont bien été brûlé dès le milieu du XVe. siècle.
De nombreux mystères entourent sa naissance et sa mort.
Qui est réellement Jeanne d’Arc ?
La raison d’État qui obligea sans doute Charles VII à empêcher la révélation du secret de la naissance de la Pucelle n’existe plus aujourd’hui, et seuls les détenteurs de la révélation de notre Histoire s’opposent à la divulgation de ce document.
Quand le voile sera-t il levé à ce sujet ?
Quand la vérité sera-t elle enfin révélée ?

ISBN : 978-2-3324-5207-8 – Prix : 21 €

Dimanche 28 août, 8ième salon du livre de Monclar de Quercy. Billet du Maire et Conseiller Général Jean-Paul Albert

Un auteur qui sommeille…

Il y a chez tout français un écrivain qui sommeille…
Bien plus souvent qu’un cochon, n’en déplaise aux américains !

L’âge venant, chacun d’entre nous cherche une sorte de consécration, de bâton de maréchal pour couronner son existence : ça peut être un titre, une décoration, une promotion…
Mais plus sûrement le rêve secret qui se dévoile un jour chez tout un chacun, le plus en vue comme le plus discret, c’est… d’écrire, de « sortir » un livre !

Voir son nom sur une page de couverture est un gage « d’existence durable », à l’évidence plus reconnu que tout autre héritage abandonné à la postérité…

Un homme, une femme, un auteur (ou « une auteure », comme on écrit en bandeau à la télévision), voilà qui laisse bien des perspectives pour les organisateurs de salons du livre !

Les africains disent, paraît-il, que lorsqu’un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle… Chez nous, plus modestement, chaque décès nous prive d’un écrivain, assumé ou refoulé, mais d’un écrivain quand même…

C’est dire si les « vivants » ont toutes raisons de venir au salon du livre de Monclar-de-Quercy, ne serait-ce que pour commencer à ébaucher ce livre que nous porterons tous en nous.
Jean-Paul ALBERT.

TRIOC 15 : des plaisirs pour l’oeil et la bouche

L’ADOC Tarn-Ofici de Torisme d’Occitania, reçoit Elisabeth VALLE. C’est une peintre autodidacte qui vit et travaille dans la région toulousaine. Elle pratique l’abstraction géométrique avec la technique de l’huile. Un critique a écrit à son sujet : «Pour visiter l’oeuvre peint d’Elisabeth Valle, il convient de s’appuyer sur des repères tels que les ont laissés les fondateurs de l’art abstrait, Kandinsky, puis Mondrian et Malevitch pour ce qui est de l’abstraction géométrique. Nous pouvons voir dans ses dernières œuvres une progression vers une recherche au plus près de son pragmatisme, traduisant l’expression d’un psychisme individuel. Considérons alors qu’à travers cette démarche se discerne une exploration du monde secret des sentiments et un présage de vérité spirituelle. Après tant de découvertes singulières, son travail se dirige vers la vision que Sean Scully appelle «la rayure formaliste», non comme symbole de l’ordre intellectuel, mais au contraire, pour dépeindre une réalité chaotique. Elisabeth Valle fait partie de ces créateurs qui s’emparent de diverses tendances, comme de simples outils permettant de parcourir un monde complexe». Depuis 2007 elle a participé à de nombreux Salons en Haute-Garonne et dans le Tarn.
En sa compagnie il y a aura le Domaine Philémon de Villeneuve sur Vère. Il est exploité par la famille Vieules depuis 1804, soit sept générations de paysans. La totalité de l’exploitation, reconvertie en agriculture biologique, couvre 65 hectares : 40 de blé, tournesol, féveroles, pois chiches et lentilles, 3 hectares de bois et plantations de chênes truffiers.
Le vignoble, 22 hectares implantés sur les hauts côteaux argilo-calcaires du nord-est de l’appellation Gaillac, entre Cordes sur Ciel et ALBI, se compose de 14 ha de cépages rouges et de 8 ha de cépages blancs. Seuls les cépages traditionnels sont maintenus : Braucol et Duras en rouge, Luènh de l’uèlh (Loin de l’oeil) et Mauzac en blanc. Il n’y a pas de levurage, de chaptalisation, ni d’intrants oenologiques de synthèse et d’aromatisation par le bois (les fûts ou les copeaux). La production: les rouges : la Croix de la Bouscarié, AOC Gaillac ; la Croix d’Azal, AOC. Les blancs : AS Garyssols, AOC sec ; le Nougayrols, AOC doux ; la Méthode ancestrale, AOC ; le vin bourru (lo borrut) ; le jus de raisin pétillant sans alcool.
Et le GAEC «La Bruninquillié», à Montredon-Labessonié La ferme, située au pied des Monts de Lacaune, en zone de montagne, élève un troupeau de 130 vaches Salers, race occitane du Massif Central ( à proximité d’Aurillac), exploitée à l’origine comme vache fromagère de montagne, L’alimentation est à base de céréales et de tourteaux garantis sans OGM (blè, orge, maïs, soja, lin puis paille ou foin). Cette diversité d’aliments permet d’obtenir une viande tendre et riche en saveur, dont les qualités gustatives sont unanimement reconnues par les professionnels de la boucherie et les grands restaurants.

Vernissage : lundi 1 août, 18h 30; entrée libre et gratuite
Exposition du 1 au 30 août, du lundi au vendredi, de 10h 30 à 12h 30 et 16h 30 à 18h 30.

Contact : Lo Grifol »
3 rue Perotty
Albi.
Tél : 05 63 53 30 41

Une bombe dans le cœur. Colette Delpon

Colette Delpon
Colette Delpon

Nous pouvons passer à côté de l’essentiel. Rester aveugle devant des signes évidents. Ne pas arriver à capter les menus détails. Soutenir de parfaits inconnus au détriment de nos enfants. Et si vous appreniez un terrible jour, que votre fils, adolescent, avec un père absent, se retrouvait entre les griffes d’une mystérieuse et inquiétante communauté, que feriez vous ? Lire la suite sur le site des  éditions du Bord du Lot

Livre 14.5 x 20 – 307 pages – ISBN : 978 2-35208-0664 – Prix : 17€

ALBI : exposition Henri Villeneuve, le Faire-Ailleurs

L’ADOC Tarn (Agence de Développement économique Occitan) – Ofici de Torisme d’Occitania accueille jusqu’au 30 juillet 2011 l’artiste HENRI VILLENEUVE.

H. Villeneuve - Ma colombe occitane
H. Villeneuve - Ma colombe occitane

Henri Villeneuve est un créateur autodidacte. Il écrit des poèmes et fait des sculptures avec ses trouvailles (ferrailles cailloux, etc.) et des objets délaissés. Il crée ainsi des croix occitanes, chrétiennes et autres, des mosaïques d’animaux et des statues diverses. Il avoue « La multitude de mes créations est très diverse, c’est un peu le reflet de moi-même, des jouets que je n’ai pas eus, et que je me fais depuis environ dix ans, et même plus… Je ne vends rien, je donne ici ou là; tout ce que je réalise, ce ne sont que des sentiments, des réflexions sur le destin, la vie… » Il qualifie ses créations de « simplistes ». En fait, Il est dans la lignée des artistes issus du peuple, du monde ouvrier, et pratiquant la culture populaire sans le savoir. Il est de ceux qui ne s’embarrassent pas de dogmes et autres modes dites « artistiques ou d’avant garde » pour créer. Il est de ceux qui existent, loin des salons snobs et artificiels où compte plus le buffet que la création artistique. Là où la moindre œuvre d’art est prétexte à spéculation et enrichissement plus qu’à étonnement, découverte ou simplicité.

* Exposition du 4 au 30 juillet 2011
* Horaires : de 10h 30 à 12h 30 et 16h à 18h
* Entrée libre et gratuite

Contact – renseignements :

ADOC TARN – Agence de Développement économique Occitan du Tarn – Agencia de Desvelopament Occitan de Tarn
Ofici de Torisme d’Occitania
« Lo Grifol » 3 rue Perroty
81000 Albi
Tél. : 05 63 53 30 41
Courriel : adoc-tourisme-oc@orange.fr
Site : http://adoctarn.free.fr

Les origines historiques des trois religions du Livre

Jean de Levat
Jean de Levat

A priori, lorsqu’on les aborde de l’extérieur, les trois grandes religions que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam apparaissent comme des systèmes de croyance inébranlables, soutenus par des dogmes, s’appuyant sur des révélations… Apparemment, il s’agit là de forteresses aux fondations solides, dotées d’une littérature, d’un appareil qui leur permet de fonctionner, d’un certain nombre d’hommes et de femmes de foi qui œuvrent en leur nom. En apparence seulement, car à y regarder de plus près, ne sont-ce pas là autant de colosses aux pieds d’argile ? Par-delà les dorures, le faste, les rituels, les célébrations, les paroles que l’on dit d’or, ne sont-ce pas là des systèmes aisément réfutables, voire condamnables pour leur aveuglement et l’emprise qu’ils exercent sur des milliards d’individus ? En compagnie de Jean de Levat, petite décomposition des socles sur lesquels se sont construites les religions. Si l’on dit de Dieu qu’il appartient à l’éternité, les religions – ne serait-ce que parce qu’elles ont une date d’émergence – appartiennent à l’histoire, et en cela sont liées aux communautés humaines. Ce postulat latent guide la pensée de Jean de Levat en qui il ne faudrait pas voir un athée, mais plutôt un anticlérical et antidogmatiste convaincu. Sondant le passé des religions et les réinscrivant dans une série de mutations, métamorphoses et autres détournements de la pensée, il élabore là un essai qui cible principalement l’artificialité des religions du Livre, toutes élevées sur des assises ô combien friables et qui en ont connu les dangereuses conséquences. Un essai qui secoue bien des voûtes !

Puisé aux sources mêmes des Livres fondateurs, THORA, ÉVANGILES et KORAN, cet ouvrage prétend démontrer les incohérences, les contradictions et les horreurs rencontrées dans ces textes dits « sacrés ». Il ne fait que reprendre la lignée des Celsius, Porphyre, Flavius de Milève dans l’Antiquité, les victimes des bûchers de l’Inquisition, la Réforme, Voltaire et les Encyclopédistes, et les contestataires de l’école de Renan. Bien entendu il ne peut que compléter les érudits modernes comme Robert Ambelain, Mordillat et Prieur, les frères Sabbah, et tant d’autres qui sont abondamment cités. Il va plus loin encore, en fustigeant les comportements abjects de leurs Apologistes : « Les croyances et les certitudes naissent sur le mol oreiller de l’ignorance ». « Gardez-vous des faux Prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais en dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits » (Matthieu 8.15/20) Cet ouvrage est destiné à ceux « qui ont des yeux pour voir, et d’oreilles pour entendre », voire un cerveau. Avec deux grands-pères formés à l’École de Rome, l’auteur a toujours baigné dans une ambiance d’érudits et d historiens. Membre, entre autres, de la Société d’Études du Lot et passionné par la généalogie et l’histoire, Jean de Levat a recherché à les démystifier. Après quelques essais comme « Les origines historiques de la Franc-Maçonnerie » ou « L’Église Templière de Montsaunes », il entreprend maintenant de démystifier l’histoire des Religions.

Version papier : 25,00 € / 262 pages

Version pdf : 12,50 €