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« Mutation. L’étoile de Natan » Roman. Sophie SERONIE-VIVIEN.

Sophie SERONIE-VIVIEN
Sophie SERONIE-VIVIEN

Antoine a treize ans, deux sœurs, une passion pour le foot, une copine et la vie devant lui… Mais tout bascule quand il se retrouve dans une chambre d’hôpital. C’est alors qu’une aide inattendue se manifeste. Ses rêves le conduisent dans un monde inconnu. Gus va lui servir de guide. Un parallèle étrange s’établit entre sa vie et celle du Prince Natan. Celui-ci lutte contre l’invasion d’un ennemi implacable. Antoine va être le témoin de la reconquête de son étoile par Natan et ses compagnons. Mais quels sont les liens mystérieux qui unissent Antoine et Natan ? Pourquoi la jeune magicienne Thaïs ressemble-t-elle tant à Cloé, la sœur d’Antoine qui va donner une part d’elle-même pour le sauver ?

Le roman sur internet  : www.etoiledenatan.fr ou https://www.facebook.com/etoiledenatan

Public : A partir de 12 ans et jeunes adultes

ISBN 978626916132-46-4 – 288 pages – 13,5 x 21 cm – Prix : 15 euros

Éditions Tertium (Madame Mireille Veyssière)
38 avenue Charles de Verninac
46110 VAYRAC

Courriel : contact@tertium-editions.fr
Site : http:///www.tertium-editions.fr

Sophie SERONIE-VIVIEN. Biographie.

Sophie Séronie-Vivien
Sophie Séronie-Vivien

Née en 1967 en Béarn, Sophie Séronie-Vivien, ne manque jamais de rendre hommage dans ses écrits à ses Pyrénées natales. Pourtant, c’est en région toulousaine qu’elle vit et travaille depuis plus de vingt ans. Mère de trois enfants, elle enseigne à la Faculté de Pharmacie et exerce la biologie médicale au Centre de Lutte Contre le Cancer Claudius Regaud.

C’est depuis peu qu’elle manie la plume, essentiellement à destination des jeunes.

« La tentation de l’écriture est présente depuis toujours, je me souviens d’une prof de français désespérée que je me lance dans un cursus médico-scientifique ! Mais il y a eu de longues études puis une carrière universitaire prenante, les enfants… Jusqu’au jour où ce sont justement les enfants qui m’ont décidé à franchir le pas »

Aujourd’hui, Sophie mesure l’indicible bonheur de l’écriture : « Moi qui n’ai jamais rien su faire de mes dix doigts, je connais enfin le plaisir de la création. Comme un vase sous les mains d’un potier, le roman se façonne au fil de la plume. Simple idée au départ, il grandit, prend forme. Les personnages prennent de l’épaisseur, leurs traits de caractère s’affinent. Les dialogues se cisèlent au fur et à mesure que l’on apprend à connaître ses héros. »

Les ouvrages de Sophie Séronie-Vivien abordent des sujets ardus comme le cancer chez l’enfant ou l’intolérance et les discriminations. Mais le vecteur utilisé, le fantastique, permet à l’auteur de faire preuve de pédagogie et d’amener le jeune lecteur à la réflexion tout doucement, sans violence.

Après un premier roman sorti en 2012 pour les 12-16 ans (Mutation – L’Etoile de Natan ; Editions Tertium), un autre est achevé pour 2013. Un ouvrage de vulgarisation médico-scientifique sur le cancer à destination des 10-14 ans est également prêt à être publié.

Contact :
48 chemin du Coteau de Fontbazy
31450 Donneville

Tél. : 06 10 48 78 21
Courriel : sophie.seronie-vivien@sfr.fr

« Le maître d’école de Freundsdorf. Témoin et acteur de son temps 1938 – 1968  » Roman Fernand WEBER . Jérôme de Bentzinger Editeur. »

Fernand WEBER
Fernand WEBER

Barthélémy n’a pas connu ses parents. Son père disparut sous l’uniforme allemand en 1917 au chemin des Dames. Sa mère malade et très éprouvée meurt quelques jours après sa naissance. L’enfant est accueilli par Materne Sittinghausen, agriculteur et maire du village et de son épouse. Adopté par ce couple remarquable, il connaît une enfance heureuse qui lui ouvre l’accès à la culture et conforte son attachement au terroir.
Le sujet permet à Fernand Weber de revisiter une époque avec la signification particulière à une province frontalière marquée par les deux guerres. L’Alsace n’a pas oublié les tragédies de l’Histoire et les destins qui s’y sont joués. Brillant normalien, Barthélémy refuse un parcours universitaire et préfère instruire en école primaire. Le souhait se concrétise à Freundsdorf, trop tôt interrompu par le service militaire et la captivité comme soldat français en 1940. Beau garçon à la tignasse blonde et au regard bleu, l’Alsacien trilingue est envoyé six mois en recyclage (Umschullung) en Allemagne, en réalité une formation militaire déguisée et quitta ses camarades retenus des années durant dans les Oflags et les Stalags du Reich.
Difficile pour le jeune instituteur revenu à Freundsdorf d’appliquer en pleine période d’occupation ses méthodes pédagogiques et obligé de freiner son franc-parler pour ne pas choquer ses compatriotes et attirer les foudres des autorités…

« L’aquarelle montre patte blanche » Corinne IZQUIERDO. Préface et poèmes de Martine BIARD

Corinne IZQUIERDO
Corinne IZQUIERDO

Artiste peintre d’origine toulousaine, Corinne Izquierdo a choisi depuis 20 ans la voie exigeante de l’aquarelle et ses œuvres sont régulièrement exposées en galeries. Dans cet ouvrage « L’aquarelle montre patte blanche », l’aquarelliste expose dans une première partie pédagogique les principes et les techniques de la traduction du blanc en aquarelle. Dans une deuxième partie, elle présente 40 œuvres, toutes consacrées au thème du blanc, qu’elle accompagne de poèmes choisis de Martine Biard ou Rémi Ghibaudo. Les résonances entre peinture et poésie ouvrent au lecteur un nouvel espace à son imagination et sa sensibilité.

ISBN : 978-2-9542041-0-9

« Antonimos d’Apamia, le dernier « roi saint » des Gaulois Ibères » Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Saint-Antonin d’Apamia reste une énigme, mais on l’identifie vis à vis des autres Saint-Antonin par l’anniversaire de son martyre le 2 septembre.
Antoninos d’Apamia, désigné Saint Antonin d’apamia en France, Sant Antolin en Espagne, Santo Antonino en Italie, et Saint Anthony dans le Kent.
Il naît en 446, sous l’occupation des Visigoths de Toulouse et de leur roi Théodoric Ier. Il se retrouva orphelin de bonne heure de père, puis de mère. Menacé par Théodoric II roi de Toulouse, il fuit sa patrie à 17 ans, et s’éloigna en Syrie. A la mort de ce roi en 466, il se rendit à Salerne (Italie) qu’il quitta au moment de la chute de l’empire Romain vers 476. Mais pour sa sécurité, il entreprit un périple de 43 ans, en Italie, en Gaule, dans le Kent, en Espagne. Les villages et les villes où il séjourna l’honorent, et se nomment Saint-Antonin, ou lui dédièrent leur église. Nous dressons une liste des lieux qui permirent de comprendre ce personnage et la mission à léquelle il voua sa vie… A Apamée de Syrie; en Italie: Capoue, salerne, Castro Pofi, Sgurgola, Montecelio, Monte Porzio Catone, Fara (sabine) Ornaro, Castel Nuovo de Porto, Pérouse, Florence, Lucques, Carpasio, Entracque, Courmayeur. En Gaule: Bonvillard (Savoie), Levens et Saint-Antonin de Roquesteron ( Alpes Maritimes), Bagnols en Forêt (Var), Bussy le Grand (Côte d’Or) Clermont (Puy de Dôme), Chanteuges (Haute Loire), Combret Marcillac et Rodez (Aveyron), Saint-Antonin Noble Val (Tarn et Garonne) Bruguières et Toulouse (Haute Garonne), Saint-Antonin et Lialores (Gers), Cahors (Lot), Segonzac (Dordogne), Bordeaux (Gironde), Saint-Antonin de Sommaire, Cernay, Authou, Saint-Aquilin de Pacy, Epaignes (Eure), Hautôt sur Seine (Seine Maritime), Châtres (Seine et Marne), Noyon (Oise)… En Angleterre: Alkham (Kent). En Espagne : Lekeito (Pays basque), Palencia, Medina del campo, Tolède, Sarinena (Aragon), Lleida…
Ce roi chrétien regagna Apamia, toujours sous occupation Visigothe, là il subit le martyre le 2 septembre 506, sur la rive de l’Ariège. Au printemps 507 Clovis conquit l’Aquitaine, sauf la Septimanie (Languedoc) ; la Gaule devint le royaume des Francs avec Paris, capitale.

Un de ces biographes J.J.Pouech écrivait:
«  Saint-Antonin fut en son temps, surtout au moyen âge un saint d’une immense célébrité et c’est précisément cette célébrité qui a le plus contribuée a obscurcir son histoire, tellement qu’il n’est pas de saint honoré dans l’église sur le compte duquel on ait le plus discuté. »

Format 15 x 21 – 459 pages, 93 illustrations (photos dessins) 1100 notes bibliographiques. Auto-édition . Parution 1 er trimestre 2012 – ISBN : 2-9524454-2-7 – Prix: 32 Euros + port 7 euros.

Vente par l’auteur.

« Les Arcades. Un pont aqueduc antique méconnu. L’origine de Perpignan » Jean-Jacques SOULET.

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Un texte daté de 961 mentionne le legs par le comte Raymond de Rouergue et de Gothie, de « l’alleu Perpiniani » aux églises d’Elne, de Gérone et l’abbaye de Saint-Pierre de Rhodes… Mais antérieurement ?
En introduction l’auteur aborde sous un nouveau jour, le passage en 218, d’Hannibal avec ses éléphants et surtout son arrêt devant Ruscino…
Puis suivant une analyse architecturale, constructive, technique et archéologique du pont aqueduc « les Arcades » connu des Perpignanais il révèle les grandes connaissances des constructeurs…
Ce monument attribué aux bâtisseurs médiévaux selon la première version écrite au XIIIème siècle. Mais certains historiens locaux désignent une œuvre des Arabes, ou des Visigoths et quelquefois des Romains…
Heureusement la dédicace Romaine trouvée au château de Corbère mentionne l’existence d’un aqueduc et de la ville « Municipium Flavium Ebusum », aussi cette trouvaille prête a confusion…
Lors de la guerre de Sertorius en 76 av.J.C un personnage Romain, Marcus Perpenna Vento ( en s’alliant avec les Gaulois) délivra le « Roussillon », et la mystérieuse ville de « Cale » de l’ occupation Romaine … Le nom célèbre de ce banni de Rome, serait-il l’éponyme de Perpignan ?
Sans oublier la légende du Père Pigne venu plus tard de la Cerdagne et désigné comme le fondateur de la ville de Perpignan… Quel épilogue …

Livre de format 15 x 21 . de 64 pages, avec photos couleurs et dessins. Auto-édition. Parution Avril 2006. N° ISBN : 2-9524454-1-9 –  Prix 14 Euros

Vente par l’auteur ou dépôt vente dans l’Aude ou Pyrénées orientales.

« Ansignan. Le pont aqueduc et ses bâtisseurs » Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Si vous vous intéressez à l’archéologie énigmatique, ne manquez pas le pont aqueduc, avec un pont tunnel enjambant le fleuve l’Agly à Ansignan à l’ouest des Pyrénées Orientales, à quelques kilomètres au Sud de Saint-Paul de Fenouillet.

Ce monument de plus de 170 mètres de longueur, comprend 29 arches mais divisées en 3 groupes: le premier le plus ancien rive gauche compte 21 arches, dont 17 arches avec arcs de briques; le second formant les extrémités du pont tunnel, dont deux arches en brique ruinées mais conservées ; le troisième la partie médiane de ce pont tunnel, avec 4 arches avec voussoirs en pierre.

Il fut classé monument historique depuis 1974 et un panneau officiel indique « pont aqueduc romain » sans justifications, aussi beaucoup en doutent.
Qui sont ses constructeurs ? Jusqu’à ce jour aucune réponse n’a été formulée…

Ce petit livre « le pont aqueduc et ses bâtisseurs » analyse l’archéologie et l’ architecture de ces 3 ouvrages du plus ancien au plus récent, complétée par des dessins et des photos. De son architecture et de sa construction , le pont aqueduc d’origine avec sa curieuse légende évoquant l’amenée de l’eau « aux jardins de Babylone », il en résulte un épilogue surprenant et inédit.

Format 15 x21 de 32 pages avec photos couleurs et dessins. Auto-édition. Parution Mai 2005 -, ISBN 2-9524454- 0-0 – Prix: 10 Euros

Vente par l’auteur ou en dépôt vente Aude et Pyrénées orientales