Résumé
Dans la galaxie Mavil, Malok 13, obnubilé par la prophétie, se montre de plus en plus exigeant. Alors que les découvertes s’enchaînent, sous la pression qu’il exerce, une opposition s’organise… D’une nature soupçonneuse, l’empereur reste très vigilant… Qui en fera les frais ? Sur Terre, Khee organise sa retraite à l’insu d’Alice qui se prépare à mettre au monde son bébé. Avec Lucas, elle connaît le bonheur et se met à rêver à l’avenir… Mais le destin a ses propres voies.
Comment va grandir ce bébé alors que l’ombre de Malok 13 plane sur la Terre?
Caractéristiques
Date de parution 27/07/2018
Editeur Baudelaire
ISBN 979-10-203-1906-7 EAN 9791020319067
Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 394 pages Poids 0.47 Kg Dimensions 15,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
Laura Mouzaïa est docteur en anthropologie et vit en Midi-Pyrénées. Elle intervient dans le domaine culturel.
Formation :
– Doctorat de sociologie Université de Toulouse (31) France
– DESS Toulouse (31)
– Prix Spécial du Jury attribué par la Fondation N. Aba sous la présidence d’Alain Decaux pour le roman « La fille du berger », édi L’Harmattan
– Bourse d’écrivain attribuée par le Centre Régional des Lettres de Midi-Pyrenées
– Conférencière et intervenante auprès des travailleurs sociaux et enseignants.
« Flamette » est une association loi 1901, déclaration au Journal Officiel le 21 mars 2003. Cette association œuvre pour la promotion de la culture à travers la littérature.
Moi-même je suis auteure de romans et recueil de poèmes ainsi que de livres d’enfants dont la petite héroïne est une petite flamme qui s’appelle Flammette.
Vous pouvez visiter mon site internet : www.jedemots.fr
A ce jour nous mettons en place un salon du livre qui accueillera des auteurs locaux et nationaux,. En tout seront présents près de 50 auteurs.
Laurence LORIOT
07.52.04.62.75
Liste provisoire.
En cliquant sur un nom en rouge, vous accéderez à sa fiche bio-bibliographique sur le site 7alire
En 1938, le secrétaire de mairie de Sauvagnas, une petite commune rurale du Lot-et-Garonne de 300 habitants, note dans le registre d’état civil que le 14 mai, à 11h30, Roger Georges CAVALIÉ est venu majorer d’une unité la population française du moment estimée à environ 41 500 000 âmes.
Je faisais désormais partie de ce monde.
Dès mes 4 ans, je n’échappe pas aux contraintes de l’époque qui provoqueraient aujourd’hui une saturation de la ligne téléphonique 119 : chaque jour de classe, qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il gèle, je chausse mes galoches et me rends à pied à l’école communale distante de deux kilomètres de la ferme de mes parents.
À 12 ans, je suis admis au concours d’entrée au Cours Complémentaire de garçons du chef lieu du département, le Cours Complémentaire Jasmin à Agen. Eh oui ! L’entrée en 6ème se faisait alors sur concours !
À 17 ans, toujours sur concours, j’intègre l’École Normale d’instituteurs du Lot-et-Garonne puis, après mon mariage et le service militaire, j’occupe un poste dans une classe unique en France métropolitaine. Ensuite, j’exerce durant 8 ans en coopération en Algérie où naissent, en 1967, mes filles jumelles, puis 3 ans en détachement aux îles Loyauté (Nouvelle-Calédonie), un an à Tadjoura ( en Territoire Français des Afars et des Issas), et deux ans à Djibouti.
En 1978, encore sur concours, j’intègre le corps des inspecteurs départementaux de l’Éducation Nationale et je suis affecté pendant 3 ans en Métropole avant d’aller goûter à la douceur des alizés des Iles-Sous-Le-Vent (Polynésie française).
Enfin, « heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage… et puis est retourné, plein d’usage et raison (je n’ai personnellement pas cette prétention) Vivre entre ses parents le reste de son âge !», j’ai rejoint le Tarn-et-Garonne où j’ai terminé ma carrière et pris une retraite que j’estimais bien méritée après avoir rédigé des milliers de rapports d’inspection.
Que nenni ! C’était sans compter avec mon environnement familial et mes amis !
« Tu devrais maintenant écrire pour le plaisir ! Écris donc un livre ! » me répétaient-ils.
J’ai fini par les écouter et j’ai écrit « Le Vieux Cartable » que les Éditions De Borée m’ont fait l’honneur de publier.
À vous de me dire si j’ai bien fait de les écouter et si l’éditeur a été perspicace dans son choix.
En Septembre 1791, Olympe de Gouges écrit la Déclaration des Droits de la Femme. Elle lutte pour l’émancipation de la femme, contre l’esclavagisme… et se fait guillotiner en 1793. Femme de lettre prolixe, féministe, humaniste… Mais le rôle des femmes dans la révolution est resté sous le boisseau. Elle revit ici, avec passion, sous la belle plume d’une femme, bien sûr.
Trois histoires tellement différentes, et pourtant, à la fin… Et d’abord Hermine, 1940, 1945, Paris intact mais vide d’habitants, Courbevoie, Rennes, et le quotidien pas si banal d’un receveur des Postes, d’un vieux médecin témoin du drame de la plaine de Baud, qui porte secours aux si nombreuses victimes… il consigne quotidiennement ses impressions. Or, il arrive que deux chemins se croisent. Puis Lili, flirts, amours, et plus… Et Maria : encore une battante. Toutes traversent l’Histoire et ses remous, la Vie et ses aléas, acceptent les malheurs sans amertume, s’émerveillent des petits bonheurs du quotidien, se retrouvent dans la philosophie… du pardon.
Derrière les hauts murs de La Chartreuse, un hôpital pas comme les autres, vivent des personnages attachants: des patients, des soignants. Pierre, étiqueté pyromane matricide, est-il réellement un dangereux criminel ? Ne s’est-on pas trompé ? Françoise et Paula, déçues toutes deux des hommes et de l’amour, vont-elles retrouver la joie de vivre ? Le docteur Viaud, un psychiatre aux méthodes particulières, humaniste convaincu, nous fait découvrir l’histoire de la folie, l’évolution de notre regard sur la maladie mentale. Paul, infirmier psychiatrique, adhère totalement aux idées de son patron. Pudique, délicat, il peine à dire ses sentiments et décide d’écrire une longue lettre à son fils. Une lettre d’amour. Tout au long de sa rédaction, nous participons à ses interrogations, ses doutes, ses états d’âme.
Ce roman raconte l’histoire d’un jeune homme. Akli. Il est berbère. De ces hommes fiers, courageux, volontaires, épris de justice et de liberté. Il aurait pu être né ailleurs, au milieu d’un autre peuple, dans un autre pays. Qu’importe. Il est leur alter ego, l’histoire serait la même. Il est originaire d’un petit village pauvre, perché sur le flanc d’une montagne. Son père lui a appris qu’à l’école il faut travailler pour être premier, que l’instruction est un rempart contre la misère. Alors Akli considère cela comme un défi. Il est premier. Son père meurt. C’est à lui désormais de travailler pour nourrir sa famille. Il faut oublier l’école. Les évènements s’acharnent contre lui. Akli est pris dans un tourbillon de tracas, de catastrophes. Il n’a pas pour autant oublié le défi, ces principes que son père lui a appris. Aura-t-il la force, le courage, la chance de s’en sortir ? Quelle sera sa lutte pour surmonter toutes les difficultés ? Dans ce roman, les auteurs dépeignent avec minutie la société, les coutumes berbères, la fierté d’un peuple. Les dialogues, le quotidien, relatés avec le souci du détail offrent le plaisir de la lecture, mais aussi celui de l’image qui lui est associée. Enfin il met le lecteur face à des réalités, hélas universelles : la misère, la corruption, la puissance de l’argent, les libertés volées, confisquées, l’inégalité… et aussi les dogmatismes religieux et autres extrémismes qui conduisent à toutes les dérives. Cependant, ce roman se veut optimiste. Il rend grâce aux hommes et aux femmes honnêtes, ouverts aux autres, humains, humanistes qui tendent la main aux plus faibles, au plus démunis, à ceux qui pour survivre prennent le risque de mourir.
FormatBrochéEAN139782384060047ISBN978-2-38406-004-7 ÉditeurEditions Douro Date de publication10/2021
Nombre de page s226 Dimensions 21,5 x 13,5 cm
Je suis née dans une ferme juchée sur la crête d’un rocher,
dans le pays de serres, où l’occitan, que l’on disait patois,
était la langue quotidienne de la famille mais aussi du
milieu social.
Cette langue a forgé ma façon de penser, de voir le monde
qui m’entoure.
Au crépuscule de ma vie, de mes racines me viennent les
mots pour exprimer le sombre et la lumière, la peine et la
mélancolie, l’amour, l’amitié et aussi l’espérance de voir se
lever l’aube de quelques matins.
Des sculptures, que mon mari Maurice réalise à partir de
vieux outils, accompagnent mes poèmes.
Sèi nascuda dins una bòrda a l’acrin del rocàs dins lo païs
de sèrras, ont l’occitan, qu’apelavan patès, èra la lenga
de la vida vidanta dins ma familha e dins lo mitan social.
Aquela lenga farguèt mon biais de pensar, de veire lo
mond a l’entorn.
Al calabrun de ma vida, de mas rasigas me venon los
mòts per dire çò qu’ai de pregond rescondut al fons de
ieu l’escur e lo lum, la pena e la melanconiá e tanben
l’amor, l’amistat e enquèra l’esperança de veire picar
l’alba de quauques matins.
D’esculturas del Maurici, mon òme, faitas amb de vièlhs
utísses accompanhan mos poèmas.
Calabrun est l’aboutissement d’un engagement pour faire
vivre la langue et la culture occitane au sein du « Foguièr
occitan del Moissagues »d’abord puis en donnant des cours
d’occitan et en assurant la présidence pendant plusieurs
années dans l’association « Moissac Occitània » .
L’inspiration vient de ce pays de serres où la famille est
enracinée depuis plusieurs siècles et pour qui l’occitan était la
langue maternelle : les chemins, les mains du paysan mais
aussi les colères, l’amitié…
Plusieurs poèmes en occitan ont été primés et notamment en
2020 et 2021 au concours du Jasmin d’Argent d’Agen; le
poème « Finisterre » a obtenu le premier prix en 2021.
Jean Rigouste, président du Jury a présenté ainsi le poème :
« Finisterre ce bref poème en prose où la simplicité du style
forme un puissant contraste avec la force des images et des
évocations…..On peut élaborer plusieurs lectures de ce texte,
c’est dire sa richesse…» Calabrun :
poèmes bilingues occitan-français
Illustrations: sculptures de Maurice REY
Format 15×25 ; 60 pages
ISBN-979-10-699-7771-6
Autoedicion
Contact Rolande Rey
1881, chemin de St Nicolas de la Grave 82200 MOISSAC
mail : v-rolande@orange.fr
Malenconiá
Entre canal e camin de fèrre
Entre silenci e bruch
Buti lo portanèl rovilhós
Cèrqui los camins escalfats.
Lo casal arremasit
D’èrbas fòlas s’es vestit
La sèrra s’es cofada
De romècs espèlsadas
Dins los rècs assecats
De l’aiga lo bresilhadís
S’es escantit.
Lo Cerç far plorar los olivièrs
E dançan al solelh
las pèiras del ballast !
Dins lo borlís d’un trin que passa
S’encorran los conilhs.
Una ròsa s’es tancada
Coma la memòria d’un còp èra.
Barri lo portanèl rovilhós
Entre canal e camin de fèrre
Entre silenci e bruch
Assadolat de solelh
Breçat per las cigalas
Un casal s’es endormit.
Biographie : Âgée d’un peu plus d’une trentaine d’années, Marine réside dans la campagne du Tarn-et-Garonne. Maman comblée, elle s’épanouit complètement lorsqu’elle laisse son esprit vagabonder de contes en histoires. L’aventure de l’édition en tant qu’auteure commence en 2016, année où elle découvre les appels à textes et voit ses premières nouvelles publiées.
Tombée dedans comme Obélix dans la potion magique, elle ne cesse de renouveler sa plume au fil des défis qui se présentent. Ses premiers romans voient le jour en 2017 et ne cessent de se multiplier depuis. Si elle aime s’essayer à tous les genres, deux domaines ont sa prédilection : la romance et l’imaginaire ! Désireuse de soulever des sujets qui lui paraissent importants, elle souhaite évoquer des thématiques qui lui tiennent à cœur comme la romance LGBT, les maladies invisibles ou l’écologie.
Côté pro, elle travaille en freelance depuis plus de 4 ans désormais dans le monde de l’édition. Son atout principal se trouve dans sa fonction de relectrice qu’elle exerce dans des maisons d’éditions, mais aussi pour des auto-édités. En bref, Marine vit dans les histoires, celles des autres et celles qu’elle invente.