Bouleversée par la révélation qu’elle vient d’apprendre, Claire franchit les fuseaux horaires et part en quête de sa véritable identité.
A l’autre bout du monde, se dévoile le mystère de sa vie.
Poste Restante est un roman rempli d’exotisme, d’aventures et d’émotions.
Lucian, jeune garçon et fils d’une riche famille originaire des Carpates, vit son enfance tranquille entre école, domicile et devoirs. Mais une petite maison sur une colline, qu’il aperçoit tous les jours en allant à l’école, l’intrigue. Qui peut habiter là-bas ?
Si vous n’avez pas la main verte, vous pouvez toujours essayer de cultiver un jardin de mots drôles…
Pour redonner au langage son côté ludique, on trouvera dans ce livre des mots et expressions chargés de sens superposés, à conserver vivants comme une réserve d’espèces à protéger. Après avoir parcouru quelques feuilles vous ne verrez plus vivre comme avant les mots du quotidien…
Ici les bons mots ont poussé loin des pesticides ou engrais chimiques, seulement sur des champs d’honneur où la culture des mots se fait sous le souffle de l’air bleu de l’esprit et hors motoculture. Même l’herbe mauvaise ondule et plie, euphorisante comme de l’herbe a chats.
Certains mots font peur comme « fleur carnivore » mais, si trouille il doit y avoir, remplacez citrouille par potiron… Ici que ce soit pour cultiver les mots drôles, ou tuer les taupes, nul besoin de prendre une bêche, puisqu’il y a davantage de calembours que de topinambours ! Au cours de cette promenade livresque, si l’envie vous prend de jeter le manche après la cognée, n’oubliez pas… même les jardins abandonnés ont une âme !
Guy MOTHE auteur de livres à l’esprit fin, éveille les plus jeunes à l’humour… anime des ateliers d’écriture humoristique pour ados/adultes et des conférences sur l’humour.
ISBN : 978-29537069-63 – Prix : 12.90 € Commander sur www.jaidesmots.com ; Photo Alain Largier
Quoi de commun entre Bruxelles, Strasbourg, Trieste, Istanbul, Tanger et Montréal ?
Voilà six villes traversées par de grandes civilisations qui y ont laissé des traces architecturales et linguistiques importantes. Les Romains y ont côtoyé les Germains ou les Byzantins ou les Slaves. Géographiquement, elles se situent à la croisée des chemins entre l’Occident et l’Orient ou encore un pied en Afrique et le bras tendu vers l’Europe. Mais si l’auteur les a plus particulièrement choisies, c’est parce qu’un jour, il a tissé une histoire personnelle avec elles.
Ces villes, Jacques Goyens nous les situe avec précision ; il nous explique leur histoire tourmentée ; il nous décrit leur patrimoine architectural, riche des hautes civilisations qui s’y sont succédé ; il évoque avec justesse les écrivains et artistes qui en ont fait la réputation. Le discours, clairement informatif, nous offre cependant, au détour d’une mosquée ou face à la mer, quelques échappées plus lyriques. N’oublions pas que l’essayiste est aussi romancier et poète même et qu’il aime tout particulièrement exprimer ses émotions et les prêter généreusement à ses personnages.
Quant à la dernière partie de chaque chapitre intitulée « Enjeux et perspectives », elle nous laisse entendre qu’un autre objectif est poursuivi. Ce livre, qualifié d’ « essai » nous propose en effet une réflexion personnelle sur l’avenir de ces villes multiculturelles et multilingues. S’appuyant sur des constats établis par des spécialistes (Enjeux), l’auteur prend position (Perspectives) de manière nuancée et avec humanisme. Son vœu commun pour ces cités est qu’elles puissent sauvegarder leurs identités multiples dans une cohabitation harmonieuse.
Martine Melebeck
– Prix 15 €
ISBN: 9782930756929
A commander – soit chez l’éditeur www.librairiedutienne.com
– soit chez l’auteur jacques.goyens@infoline.be
Tout dernièrement ils étaient présents au salon de Monclar et participeront également à celui de Toulouse le 29 Octobre prochain. Si pour Gérard cela fait quelques années qu’il écrit et en est à son 4éme ouvrage et 1er roman « La clef de contact de la discorde (éditions Edilivre) « , ce dernier a l’habitude de se produire dans différents salons et lieux de dédicace. En revanche Florentina son épouse s’est prise au jeu de l’écriture un peu plus tardivement, mais il n’en demeure pas moins que , elle aussi, a publié un premier roman ‘La fille orthodoxe et le prêtre catholique ‘Editions Edilivre » sans oublier 3 nouvelles « L’enfant communiste, l’officier qui venait d’ailleurs,la maison sur la colline: » ; »Je suis entrain de concevoir un nouveau roman, nous a-t-elle dit: »Décidément ce couple n’est pas prêt de jeter l’encre, pour le plaisir des lecteurs de plus en plus nombreux.
Cette écrivaine quercynoise aime faire découvrir des personnages, des lieux, des époques variées à ses lecteurs et lectrices . Et changer de style, de genre, de sujet à chacun de ses ouvrages. Essais, romans, contes, récits, chacun y trouve au moins un ouvrage à son goût. La Mémoire des Chemins raconte les petites gens du Quercy au début du XX° siècle et le monde des Compagnons, le Guide Secret de Toulouse fait voir cette belle capitale occitane autrement ; la saga familiale Les Amants de Borde Rouge entraine le lecteur dans le Lot et loin ailleurs. Et L’exil et les Barbelés raconte la dure histoire des Républicains espagnols exilés. Avec la Petite fille aux Ballons c’est la Palestine actuelle qui se dévoile et la Machine à Tuer se situe au Texas. Quant au Rossignol chante la nuit, c’est un conte oriental destiné à tous ceux qui aiment les contes, qu’ils aient 7 ou 77 ans..ou plus!
Pour voir la biographie de Colette BERTHES, cliquez ici
Après avoir publié deux livres de jeux de mots, calembours et aphorisme aux éditions mille plumes ainsi qu’un livre de deux cents poésies chez Edilivre, Gérard Sènes nous livre son premier roman qui se situe à Montauban, pour l’instant vous pouvez vous le procurer directement chez Edilivre.
Pour voir la biographie de Gérard SENES, cliquez ici
« Mon premier roman est un cri d’amour ! Cette histoire me tient à cœur, ou touche de près des personnes que je connais et que j’aime. Elle veut vous faire découvrir que l’on peut espérer pendant vingt cinq ans être aimé de quelqu’un sans jamais y parvenir. Que l’on peut mettre trente ans pour rencontrer le véritable amour pour, finalement, par amour, y renoncer…
Ce roman est entièrement à la deuxième personne du pluriel et d’un point de vue exclusivement féminin. Ce procédé de narration vous donnera à la fois le recul pour bien observer et la proximité pour connaître et aimer ces femmes. Ces personnages centraux garderont pour vous une part de mystère, ainsi vous ne saurez pas leur nom. Ils créeront pourtant avec vous une intimité de relation, en se donnant à observer très crûment. Vous pourrez aussi vous projeter en eux, car les situations de vie qui sont décrites vous toucheront parfois intimement. »
ISBN : 978-2-9559152-9-5
Prix : 15,00 Euros
Pour se procurer le livre :
Sur le site de l’éditeur (Les Editions Spinelle)
Sur le site de tous les grands distributeurs et libraires (Amazon, FNAC, La Procure, Flammarion, Gibert Joseph,etc.) à compter de la mi-septembre 2017
En le commandant chez son libraire habituel
En contactant l’auteur par mail
Le silence, plus éloquent parfois que les mots où l’on se réfugie, vibre d’une émotion en partage qui nous dévoile aux yeux de l’Autre. Elle et Lui, Lui et Elle. Dans la dissemblance et l’incertitude, s’abandonnent, consentent, s’égarent, se reconnaissent… Les Frontières de silence, un chant d’amour qui déroule les lignes enchevêtrées de deux solitudes, deux voix qui s’épousent sans jamais se confondre. Un chant d’amour où l’auteur, Valérie Rinaldo, avec une infinie pudeur, nous dévoile ses poèmes les plus intimes.
L’artiste peintre Alain Alquier esquisse cette frontière si fragile qui nous éloigne l’un de l’autre au cœur de l’émoi, au cœur du silence. Entre ombre et lumière, les gris illuminent l’antre d’un bonheur éphémère, un trait fugace surgi d’un au-delà innommable, rive infranchissable du dernier silence, déchirure des corps qui s’étreignent, se débattent entre la vie et la mort.
Dialoguant avec les poèmes de Valérie, Alain ouvre les sillons d’un mystère où les mots se diluent jusqu’à l’Indicible, effaçant le geste de l’artiste pour n’être plus que l’écho de deux cœurs qui résonnent.
« dans la secret de nos nuits
l’air bruisse parfois d’une musique si lente si lourde
qu’il nous semble feulements de roselière »
Les Frontières de silence