La Fenêtre, roman s’ouvre sur le chaos de l’adolescence et invite au voyage.
Fabienne Lhoumeau nous émeut en explorant le cœur de cette jeune fille tout en tendresse et poésie. Une histoire captivante !
C’est l’histoire de Léna, une adolescente. Il fait nuit, très froid. Léna est en équilibre sur le rebord de la fenêtre au troisième étage. Elle va nous faire virevolter dans le tourbillon de ses pensées. C’est ainsi que nous reviendrons sur les images de la Grande Guerre qui a sévi dans le pays de l’Artois. Puis elle nous fera arpenter les rues de Londres. Elle s’émerveillera devant la beauté des Places de la ville d’Arras pour filer ensuite dans le sud-ouest et découvrir les secrets du village de Sarrant. Léna relatera aussi le premier vol effectué par l’A380 sur le tarmac toulousain. Et bien entendu, elle nous confiera ses secrets de jeune fille, ses doutes, ses peines, ses joies, des anecdotes et son affection profonde pour ses grands-mères. Mais voilà… Pourquoi Léna reste-t-elle en équilibre sur cette fenêtre ? Voyages et émotion assurés !
Le corps d’un agriculteur retrouvé dans un champ…Suicide ? Malaise ? Pas si sûr. Au sein d’un microcosme sociétal nimbé de jalousies et de rancœur, entre une épouse infidèle, un frère mutique et un ouvrier benêt, le capitaine Escaude va tout faire pour déjouer les plans de la Grande Faucheuse et vérifier à ses dépens qu’il n’y a jamais d’affaire facile. De la région toulousaine au Pays Basque, ainsi va-t-il devoir enquêter ferme pour dénouer les fils de la plus machiavélique affaire criminelle de sa carrière.
Né en 1958, Patrick Caujolle passe une grande partie de sa carrière au sein de la Police Judiciaire avant de s’orienter définitivement vers l’écriture. Après plusieurs recueils de Poésie et de nombreux livres liés au terroir ou à la criminalité, il publie là son quatrième roman policier.
Des cadavres moyenâgeux mutilés, un crâne découvert par un sdf. Deux enquêtes distinctes, l’une menée par un jeune lieut’, l’autre par un commandant du 36, deux affaires qui vont pourtant se lier autour d’un archéologue, d’un tapis de billard et de quelques verres.
Une ancestrale société occultiste, le Milieu du grand banditisme, autant de pistes que vont explorer les deux fonctionnaires, autant d’indices qui de Paris à l’Ecosse et des bas-fonds lyonnais à la banlieue toulousaine vont les lier au passé comme à la plus dramatique actualité.
Le tout pour comprendre que si l’Aube se veut parfois dorée, la haine est toujours noire.
Après avoir publié plusieurs recueils de poésie ainsi que plusieurs livres aux éditions De Borée dans les collections Mystères ou Grandes Affaires criminelles, Patrick Caujolle signe ici son cinquième polar. Ancien fonctionnaire de Police, celui-ci nous dévoile un monde qui a été le sien. Un monde qui est aussi le nôtre.
Anne Darbousset est née à Nîmes. Elle sera professeur de lettres dans un lycée à Avignon, puis démissionnera de l’Éducation nationale pour créer une entreprise dont les clients principaux, dans la parfumerie et la cosmétologie, se situent sur Paris. Parallèlement, elle côtoie le monde artistique, puis participe à des opérations humanitaires locales et à l’insertion socio-professionnelle dans l’Est. Autant d’univers différents qui constitueront un ferment d’écriture et donneront jour à son œuvre
Editée depuis 2009, son œuvre est constituée de romans (parcours de vies dans notre société et dans notre histoire), d’un essai littéraire et de petites romans animaliers (photos et texte) pour petits et grands.
Les derniers édités :
« Adieu Louis » roman inspiré d’une histoire vraie qui s’est déroulée à Vézénobres. Celle d’un homme Louis, qui se partage entre deux univers différents : le pays gardois rural et la vie parisienne bourgeoise. Le fil d’Ariane sera l’amitié qui perdurera toute la vie d’un être, à la fois attachant et détestable.
« L’héritage italien », en arrière-fond du roman, est présent un contexte historique, l’Italie des années 1975, encore ancrée dans le passé et ses traditions, catholique sous l’emprise du Vatican et qui commence à bouger. La mafia et la politique, l’évolution du statut de la femme et de l’enfant, une classe sociale : l’aristocratie qui doit s’adapter malgré son passé et sa culture de grandeur, se mêlent dans l’émotion d’un récit rythmé.
« MAX le chat » et MIKKI le chien » deux petits romans pour petits et grands, illustrés par des photos de l’auteur, nous font voyager dans l’univers simple et subtil des nos chers animaux de compagnie. L’auteur leur donne la parole le temps d’un récit enchanteur.
Un évènement surprenant :
Notre village de Vézénobres a été sélectionné parmi cinq villages par la BBC pour figurer dans son émission thématique « la vie secrète des chats à la ville et à la campagne » en France. L’objectif de la BBC dans l’émission « la vie secrète des chats », qui a eu beaucoup de succèsen Angleterre, se veut scientifique. Elle est conduite par des vétérinaires et des éthologues qui ont pour cible le secret des chats, ces êtres mystérieux qui nous étonnent lorsqu’on les découvre.
Nous avons été sélectionnés ainsi que d’autres familles de Vézénobres et ses environs, avec nos chats Jules et Jim. Nous avons connu de nombreux tournages, chez nous, lors du premier trimestre 2018, pour aller en finale dans les studios parisiens et découvrir les résultats apportés par les GPS et les caméras qu’ont supportés nos chats pendant plusieurs jours.
Nous avons pu voir les graphiques de leurs déplacements autour et loin du mas : les kilomètres accomplis, 10 kms environ sur 24 heures, nous, qui pensions qu’ils dormaient beaucoup trop, alors que le jour ils se reposaient de leur nocturne ; les risques qu’ils prenaient sur les routes, leur prudence aussi. Nous avons été à demi surpris par l’un de nos deux chats : celui qui paraissait le plus discret et le moins aventureux, s’est révélé le plus téméraire, le plus baroudeur.
Au cours du tournage, je lis à nos deux chats l’histoire de leur frère Max, fauché par une voiture, qui est parti se reposer dans le paradis des félins.
L’émission passera, en premier temps, sur TF1, à partir de la mi-septembre 2018, le dimanche vers les 16-16h30, heure à confirmer, et en 8 épisodes.
En 1587, les membres de la Fontaine salée, de la ville de Salies-du-Béarn, rédigent un règlement dans le Livre noir pour réglementer la production du sel. Les familles d’Aymar et Dubarrat sont membres de la Fontaine salée. 50 ans plus tard, une fille Dubarrat épouse l’ébéniste Poeydavant. À la fin du XVIIIe siècle, Jacob Poeydavant quitte la France pour acheter du bois à Saint-Domingue. Il choisit de s’y installer, mais des événements comme la révolte des esclaves l’en empêchent. Il rentre en métropole au tout début du XIXe siècle et s’installe à Salies. La ville connaît de nombreuses transformations : les ateliers particuliers de sel disparaissent au profit d’une saline collective et la médecine se développe. Plusieurs médecins décident de créer un centre hydrothermal, souvent destiné à une riche clientèle. L’histoire des Poeydavant et leurs secrets se dévoilent.
Le premier roman de Sylvie Anahory Aucune terre ne sera mienne, publié aux Éditions Cairn, a été couronné du Prix spécial du Jury au Salon de Mirepoix en 2017.
Texte 4ème de couverture
Entre les XVIe et XIXe siècles, les secrets de la famille Dubarrat-Poeydavant se dévoilent progressivement. Tout commence en 1587, lorsque les membres de la Fontaine salée de Salies-du-Béarn rédigent dans le Livre noir le règlement de la production du sel.
Au fil des générations, on découvre les mystères de la Cité et de la communauté des cagots. À la fin du XVIIIe siècle, Jacob Poeydavant se rend à Saint-Domingue pour le commerce de bois précieux. La révolte des esclaves écourte son séjour. Il rentre en métropole et s’installe à Salies, dans une ville en pleine mutation avant de connaître l’apogée du thermalisme.
Le roman Terres de sel, publié aux Éditions Cairn, a reçu le Prix spécial du Jury au Salon de Mirepoix en 2018.
On peut se procurer le livre dans toutes les librairies ou bien auprès des Éditions Cairn au prix de 17 euros.
Cet ouvrage est en quelque sorte le répertoire commenté de tous ces lieux de mémoire en Tarn-et-Garonne et au-delà parfois, lorsque des tarn-et-garonnais sont tombés en d’autres lieux. Le but n’était pas simplement de répertorier tous ces endroits, mais de retracer pour chacun d’entre eux l’évènement, chaque fois bien sûr que les témoignages ou les archives le permettaient, pour rappeler que toutes les victimes avaient un nom, un visage, une vie … et pour ne pas oublier qu’elles sont mortes pour notre liberté.
Plusieurs de ces lieux furent les témoins des atrocités commises par l’envahisseur nazi et sa sinistre Gestapo avec, le plus souvent, l’odieuse complicité de collaborateurs zélés ou de l’infâme Milice du gouvernement de Vichy. Certains de ces endroits ont été le théâtre d’affrontements meurtriers entre les Allemands et la Résistance, tandis que d’autres évoquent simplement « L’esprit de Résistance », la fraternité, le souvenir de ces femmes et de ces hommes, qui au péril de leur vie, bravèrent l’interdit en cachant des juifs, en hébergeant des réfractaires, en ravitaillant les maquisards…
Aujourd’hui, nous avons la chance de vivre en paix. Nous le devons au sacrifice de tous ceux qui ont payé le prix fort dans des conditions, souvent dramatiques, pour avoir voulu souligner leur attachement à la France et à ses valeurs républicaines.
Les Anciens, ceux qui ont connu cette période, disparaissent peu à peu, il est donc essentiel que les générations qui leur succèdent deviennent, à leur tour, des passeurs de mémoire pour ne pas prendre le risque de voir le souvenir s’estomper au fil du temps … peut être jusqu’à l’oubli.
Tous ces noms, gravés sur des plaques, sur des stèles ou sur des monuments, doivent rester comme un symbole pour toutes les générations.
Le devoir de mémoire est indispensable pour perpétuer le souvenir, l’Histoire.
André LACOMBE
ISBN:978-2-9544594-2-4
Prix de vente : 25€
Actuellement en vente à l’Espace Culturel Leclerc Sapiac à Montauban, au magasin de la presse à Nègrepelisse, au point presse Spar à Montricoux et chez l’auteur.
Né à Montricoux en 1949, André Lacombe très attaché à son village natal est un passionné : Passionné dans ses sentiments envers les gens, passionné dans ses actions, dans ses activités, passionné dans la vie. Après avoir accompli toute sa carrière professionnelle dans l’aéronautique, chez Latécoère à Toulouse, aujourd’hui à la retraite, il consacre une très grosse partie de son temps à vivre les différentes passions qui l’animent depuis toujours : L’histoire de son village et l’histoire de la Résistance en Tarn-et-Garonne entre autres… C’est le devoir de mémoire qui lui tient le plus à cœur. Il se définit lui-même comme un passeur de mémoire pour ne pas oublier dit-il : « Ceux qui sont morts pour que nous puissions vivre libres ». C’est d’ailleurs cette phrase qu’il a choisi comme titre de son dernier ouvrage.
Il n’a cependant pas la prétention de se prendre pour un historien et encore moins pour un écrivain, il se définit, simplement, comme un passionné qui se permet de prendre la plume pour coucher sur le papier le fruit de ses différentes recherches.
Cabertat ce n’est pas simplement l’histoire d’un maquis, c’est surtout l’histoire de ces combattants qui ont choisi de lutter dans la clandestinité pour que la France retrouve liberté et dignité.
Cabertat, c’est un hommage à toutes celles et ceux qui ont donné leur vie dans des conditions souvent tragiques parce qu’ils avaient osé montrer leur attachement à la France et à ses valeurs républicaines.
Cela fait presque cinquante ans que je m’intéresse à cette période sombre de l’histoire de notre pays, et très précisément aux maquis des environs de Montricoux mon village natal.
Je dois cet engouement à mon instituteur, monsieur Georges Linières : chaque année, il nous parlait des martyrs de Montricoux. Il n’hésitait pas à nous faire lire des passages du superbe fascicule Un village de Martyrs Montricoux, écrit par son prédécesseur André Bergouniou en hommage aux résistants de Cabertat.
Au fil du temps, j’ai compris que si nous avions la chance de vivre en paix, nous le devions au sacrifice de toutes ces vies. Mais j’ai aussi pensé que lorsque les Anciens, ceux qui ont connu cette période, auraient disparu, le souvenir s’estomperait peut être jusqu’à l’oubli.
C’est ce qui m’a décidé à faire mien ce devoir de mémoire, indispensable pour perpétuer le souvenir, l’Histoire.
Cet ouvrage, que je présente aujourd’hui en toute modestie, est l’aboutissement de ce devoir de mémoire… pour les générations futures.