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«Le sublime des comètes» de Mathieu GRANEL

Le sublime des comètes

On dit notre époque individualiste. Mais rien n’est plus faux ! Dame ! Que les processions ne cessent inlassablement de battre le pavé de l’Histoire sur lequel marchent les civilisations humaines. En effet, comme chantait Brassens : « Dieu ! Que de processions, de monômes, de groupes/Que de rassemblements, de cortèges divers/Que de ligu’s, que de cliqu’s, que de meut’s, que de troupes ! /Pour un tel rassemblement il faudrait un Prévert ». La comète, conformément à sa symbolique quasi-universelle, viendra signifier la rébellion contre l’ordre du cosmos sociétal essentiellement communautaire. De tous âges, le phénomène astral erratique cométaire fut envisagé tel un présage de malheurs par les différentes civilisations. Dans l’horlogerie cosmique offrant à l’Homme la sécurité de la stagnation éternisante, l’étoile filante détone par son impétuosité, son mouvement éphémérisant. Elle représente ainsi parfaitement l’individualisme acceptant la fugacité de son existence individuelle inscrite entre deux néants, authentique existentialisme athée en regard de la religion communiste lorgnant sur l’éternité du temps de la Communauté. En quoi l’histoire des différentes cultures humaines se succédant reste la démonstration de la permanence du sentiment communiste religieux ? En somme, pourquoi les humains se conduisent comme ils se conduisent depuis la nuit des temps ? Voilà l’interrogation qui constituera le fil conducteur de cet ouvrage que je pose en authentique manifeste individualiste, et à laquelle j’essaierai d’apporter des éclaircissements en suivant les traces de sublimes comètes philosophiques qui ont proposé, et proposent encore, des alternatives existentielles individualistes face aux troupeaux des communautés grégaires aspirant, sous la férule du sentiment religieux, cet instinct de conservation et de volonté de puissance de l’espèce à échelle humaine, à se sauver de la vie, à anéantir celle-ci pour triompher de la mort. Le sublime de ces comètes, le sublime du tragique, demeure la seule consolation que peut espérer l’individualiste dans son combat pour l’honneur… Mais quelle consolation !

Disponible sur le site de l’éditeur Sydney Laurent, sur Amazon et autres points de vente en ligne et en librairie sur commande.
Prix : 10.99 € E-book et 22.90 € format papier.
ISBN-13 : 979-1032612040.

« La société a dit… » de Mathieu GRANEL

La société a dit…

Liberté, Égalité, Fraternité. Voilà donc trois valeurs fièrement revendiquées par la République française. À tel point qu’elles sont affichées sur tout ce qui relève de l’institutionnel. Mais elles ne sont que trois arbres républicains destinés à cacher la forêt du fascisme dont la recette universelle se trouve ramassée dans un autre triptyque fameux : Travail, Famille, Patrie. Exclusivement associé au fascisme à gros sabots du régime vichyste, il porte pourtant en lui les piliers fondateurs de toutes les sociétés depuis la nuit des temps. Au regard de l’Histoire, on remarque qu’il s’agit moins, dans ce mot d’ordre tristement célèbre, de la vision politique personnelle du Maréchal Pétain que d’une vérité anthropologique absolue.
De nos jours où le libéralisme fait la loi, nombreux sont les conservateurs à pousser des cris d’orfraie déplorant la décadence de ces prétendues vertus. Leurs adversaires, eux, s’en réjouissent. Or, les deux camps ont tort. Travail, famille et patrie ne meurent pas, au contraire, ils survivent à la façon de tout ce qui est : en évoluant. Car le libéralisme n’a pas libéré du fascisme nationaliste, il n’en a été qu’une métamorphose internationaliste diachronique, une version plus raffinée, plus pernicieuse : améliorée.
Ainsi, alors que tout le monde feule contre le slogan de la politique pétainiste, tout le monde y sacrifie, plus que jamais. Tout le monde loue les vertus travaillistes, la famille, qui s’agrandit en ouvrant ses portes à ceux qu’elle excluait autrefois tels les homosexuels amenuisant encore davantage les rangs des authentiques libertins, et le sacrifice patriote qui ne l’en est pas moins lors qu’il s’extirpe de sa forme nationaliste.
Ce livre devient alors l’occasion d’un pamphlet radicalement libertaire, donc individualiste, lançant ses maximes et aphorismes en boulets rouges contre ce carcan disciplinaire sociétal ravageur de la liberté individuelle. Là où la société souhaite des loups familialistes, des fourmis travaillistes et des chiens de garde patriotes, il s’agit de se placer plutôt sous le signe du tigre solitaire, de la cigale oisive et du chat aristocrate !

ISBN-13 : 978-1718002838 et son ISBN-10 : 1718002831.

Il est disponible sur Amazon en Ebook au prix de 3.00 € et en format papier au prix de 13.61 €.

« Le Palais du DIABLE », Bernard Mahoux

Le Palais du Diable

Bernard Mahoux rêve d’être l’Alexandre Dumas de l’Occitanie. Il publie chaque année, depuis vingt ans, un roman historique ancré dans l’histoire des pays d’oc, le plus souvent au temps des troubadours et des hordes de croisés francimans. Pour que nul n’ignore notre histoire au temps de sa splendeur.
Aujourd’hui il met en scène un personnage très controversé, Bernard de Castanet, à qui on doit la cathédrale d’Albi et le palais de la Berbie. Mais cet évêque à la réputation sulfureuse inaugura aussi une période de terreur, pour l’Occitanie en général et les Albigeois en particulier, car l’homme était autoritaire, orgueilleux et cruel.
Devant la résistance et le mauvais esprit des grandes familles albigeoises, toulousaines et carcassonnaises, épaulées en sous-main par l’administration royale, Castanet lance une série de procès en hérésie, les prévenus n’ayant plus dans ce cas le moindre droit à se défendre face aux inquisiteurs dominicains. Parmi eux un moine, frère Foulques de Saint-Georges, se fait remarquer par son goût prononcé pour les séances de torture, et pour les belles Albigeoises dont les maris sont en prison.
Les ouailles de l’évêque ne se laissent pas faire. Parmi les rebelles, outre les grands marchands, il y a le beau Matthieu, élevé à Cordes dans la foi cathare, frère Benoît, un jeune chanoine de Sainte-Cécile qui s’ennuie aux offices, et les enfants du banquier Fenasse. Tous n’ont qu’un but : se débarrasser du tyran, et de son âme damnée, l’odieux Foulques de Saint-Georges.

« Ils sont morts pour que nous puissions vivre libres » André LACOMBE

Ils sont morts…

Cet ouvrage est en quelque sorte le répertoire commenté de tous ces lieux de mémoire en Tarn-et-Garonne et au-delà parfois, lorsque des tarn-et-garonnais sont tombés en d’autres lieux. Le but n’était pas simplement de répertorier tous ces endroits, mais de retracer pour chacun d’entre eux l’évènement, chaque fois bien sûr que les témoignages ou les archives le permettaient, pour rappeler que toutes les victimes avaient un nom, un visage, une vie … et pour ne pas oublier qu’elles sont mortes pour notre liberté.

Plusieurs de ces lieux furent les témoins des atrocités commises par l’envahisseur nazi et sa sinistre Gestapo avec, le plus souvent, l’odieuse complicité de collaborateurs zélés ou de l’infâme Milice du gouvernement de Vichy. Certains de ces endroits ont été le théâtre d’affrontements meurtriers entre les Allemands et la Résistance, tandis que d’autres évoquent simplement « L’esprit de Résistance », la fraternité, le souvenir de ces femmes et de ces hommes, qui au péril de leur vie, bravèrent l’interdit en cachant des juifs, en hébergeant des réfractaires, en ravitaillant les maquisards…

Aujourd’hui, nous avons la chance de vivre en paix. Nous le devons au sacrifice de tous ceux qui ont payé le prix fort dans des conditions, souvent dramatiques, pour avoir voulu souligner leur attachement à la France et à ses valeurs républicaines.

Les Anciens, ceux qui ont connu cette période, disparaissent peu à peu, il est donc essentiel que les générations qui leur succèdent deviennent, à leur tour, des passeurs de mémoire pour ne pas prendre le risque de voir le souvenir s’estomper au fil du temps … peut être jusqu’à l’oubli.

Tous ces noms, gravés sur des plaques, sur des stèles ou sur des monuments, doivent rester comme un symbole pour toutes les générations.

Le devoir de mémoire est indispensable pour perpétuer le souvenir, l’Histoire.

 

André LACOMBE

ISBN:978-2-9544594-2-4

Prix de vente : 25€

Actuellement en vente à l’Espace Culturel Leclerc Sapiac à Montauban, au magasin de la presse à Nègrepelisse, au point presse Spar à Montricoux et chez l’auteur.

« Cabertat . Des hommes, un maquis, une histoire… » André LACOMBE

CABERTAT

 

 

Cabertat ce n’est pas simplement l’histoire d’un maquis, c’est surtout l’histoire de ces combattants qui ont choisi de lutter dans la clandestinité pour que la France retrouve liberté et dignité.

Cabertat, c’est un hommage à toutes celles et ceux qui ont donné leur vie dans des conditions souvent tragiques parce qu’ils avaient osé montrer leur attachement à la France et à ses valeurs républicaines.

Cela fait presque cinquante ans que je m’intéresse à cette période sombre de l’histoire de notre pays, et très précisément aux maquis des environs de Montricoux mon village natal.

Je dois cet engouement à mon instituteur, monsieur Georges Linières : chaque année, il nous parlait des martyrs de Montricoux. Il n’hésitait pas à nous faire lire des passages du superbe fascicule  Un village de Martyrs Montricoux, écrit par son prédécesseur André Bergouniou en hommage aux résistants de Cabertat.

Au fil du temps, j’ai compris que si nous avions la chance de vivre en paix, nous le devions au sacrifice de toutes ces vies. Mais j’ai aussi pensé   que lorsque les Anciens, ceux qui ont connu cette période, auraient disparu, le souvenir s’estomperait peut être jusqu’à l’oubli.

C’est ce qui m’a décidé à faire mien ce devoir de mémoire, indispensable pour perpétuer le souvenir, l’Histoire.

Cet ouvrage, que je présente aujourd’hui en toute modestie, est l’aboutissement de ce devoir de mémoire… pour les générations futures.

André Lacombe

 

ISBN:978-2-7466-0806-1

Prix de vente : 18€

En vente chez l’auteur

 

« Montricoux, mon village ! » André LACOMBE

MONTRICOUX MON VILLAGE

 

« Montricoux, mon village ! »

 

« Par ce titre évocateur, j’ai tout simplement voulu souligner mon attachement à ce village dans lequel je suis né, dans lequel j’ai grandi et dans lequel j’ai la chance de vivre. J’aurai pu, tout aussi bien, appeler ce livre : Montricoux, c’est ma vie !

Montricoux, mon village ! Où, chaque pierre, chaque ruelle, chaque recoin, me parlent, mes premières larmes, mes premiers tourments, mes premières craintes mais aussi mes plus grandes joies et hélas, mes plus grandes peines !

Dans cet ouvrage, ce n’est pas l’histoire de Montricoux que j’ai voulu relater, c’est tout simplement une somme d’informations plus ou moins récentes, parfois historiques, sur la vie de la commune de Montricoux et de ses habitants.

C’est à partir de certains de mes souvenirs, mais aussi des indications précieuses recueillies parmi quelques anciens et surtout, de mes recherches dans les archives, que j’ai pu réunir toutes ces informations.

J’ai reproduis un certain nombre d’extraits de textes puisés, directement, dans des documents anciens. J’aurai pu me contenter de m’en inspirer ou de les interpréter, mais j’ai fait le choix de les livrer tels quels, non seulement pour authentifier mon propos mais aussi pour rendre hommage à ceux qui furent les acteurs de la vie communale à un moment donné et qui ont, ainsi, contribué à écrire une partie de l’Histoire de notre commune.

Ce livre s’adresse à tous ceux qui connaissent Montricoux, ceux qui y sont nés, ceux qui y vivent, ceux qui aiment ce village mais également à tous ceux qui voudraient le découvrir.

Je n’ai pas la prétention d’être un historien et encore moins un écrivain, je suis, simplement, un passionné qui se permet de prendre la plume pour coucher sur le papier le fruit de ses différentes recherches. Avec pour seule ambition que les lecteurs prennent autant de plaisir en parcourant cet ouvrage que j’en ai eu moi-même en le réalisant ».

André LACOMBE

ISBN:978-2-9544594-0-0

Prix de vente : 20€

En vente chez l’auteur

 » HANNIBAL sous le joug des Gaulois Ibères  » Jean-Jacques SOULET

HANNIBAL sous le joug DES GAULOIS IBERES

HANNIBAL sous le joug des Gaulois Ibères ( Les Volsces nos pères )

En Gaule indépendante , il existait trois populations distinctes: les Gaulois Celtes,  et les autochtones les Gaulois Ibères (Aquitaine Languedoc) et les Gaulois Ligures ( Provence Lombardie).

Notre récit ne traite pas de la biographie d’Hannibal, mais de son séjour en Roussillon et Languedoc. Car les hisstoriens de l’antiquité, Polybe, Dion Cassius, Orose, omettent ou évincent le parcours entre le Perthus et le Rhône .  Seul le Romain Tite Live apporte quelques précisions, mais ironise car pour son passage il aurait offert des cadeaux aux roitelets avides.

En Espagne, Hannibal viola le traité de 226 av.J.C entre les Romains et Hasdrubal, il assiégea Sagonte et déclencha la deuxième guerre punique.

En 218 av.J.C , avec son armée et ses 37 éléphants, il partit de Carthagène vers Rome la cité ennemie. Par ce périple il a livré plusieurs combats, mais aucun entre le Perthus et le Rhône sur le territoire des Gaulois IBères. ? Par crainte « ! D’ailleurs il annonça :  » qu’il ne tirera pas son épée avant d’être entré en Italie… » en franchissant le Rubicon.

Certains lieux (mas) révèlent sur cet isthme l’existence du royaume d’Apamia avec son souverain. Face  à la menace du déloyal Hannibal, le « Monsire » voulait préserver la nation d’un occupation car,thaginoise, avec des garnisons dans les villes comme en Espagne . Il mobilisa alors une armée valeureuse d’Aquitains, de Volsces d’Aragonais, et de frères du nord qu’il cantonna à Cabestany , et désigna pour le camp des Carthaginois le site d’Argelès , près d’Illibéris (Elne).

Nous relatons la venue d’Hannibal par le Perthus, le Boulou, Palau del Vidre, son séjour à Illibéris (Elne, Argelès), son passage à Théza, à Saleilles, pour se rendre à Ruscino (Perpignan). Là les Volsces (Gaulois Ibères) le taxèrent et lui imposèrent des conditions par le traité de Rossello.

Les textes antiques et la toponymie s’accordant souvent, ils permirent de relater ces quelques jours fondamentaux.

Si Hannibal avait soumis les Gaulois Ibères ou si ces derniers l’avaient vaincu , quel aurait été le destin de Rome ? Jules César aurait-il conquis la Gaule?

 » Les Gaulois ont été jadis les plus forts; l’autorité la plus considérable… » Tacite . La Germanie.XXVIII.

Adpamianos

ISBN: 2-9524454-4-3

Prix : 20 Euros. Vente auprès de l’auteur (Soulet Jean-Jacques 14 rue Edith Piaf 09100 Saint-Jean-du-Falga). Librairies de l’Ariège. Librairies de Perpignan .