Une vie sans idéal, sans « coup de cœur » et sans les autres est une vie triste qui ne mérite pas d’être vécue.
Dans ce roman, les mille nuances d’une existence, de rencontres imprévues, de moments de douce folie et de curieuses coïncidences se succèdent pour dérouler un long et merveilleux chemin aux teintes de « Yesterday ».
Tels les charmes des saisons, ces évocations délicates rappelleront bien des souvenirs à chaque lecteur…
Dédicaces le vendredi 18 décembre 2020, dans une boutique de prêt-à portér, « Elégance » située place nationale à Montauban entre 16 h et 19h30.,
l’amour des mots pousse vers une poésie libre riche et pourtant simple. . mais l’art de raconter et le goût des histoires se retrouve dans les nouvelles et les romans tirés de la vie moderne .
« L’écriture est un moment mystère de rencontre avec Dieu et l’Etre Aimé qui transcende une réalité invisible, et le poème, véritable force, prière et hymne à l’Univers, depuis toujours exprime le ressenti profond de l’âme, qui resterait insaisissable sans la musique et les mots. »
Le destin de Jacques est tout tracé.
Dans son Aveyron natal, il vit paisiblement au sein d’une famille
qui l’aime et qu’il aime et se destine à exercer le merveilleux métier
d’instituteur.
Hélas, nous sommes en 1956 ! et Jacques a vingt ans !
La guerre d’Algérie va le happer en pleine jeunesse, le broyer
inexorablement. Un appelé parmi tant d’autres !
À la fierté et à l’honneur de servir son pays se substituent bientôt
l’angoisse, l’horreur puis l’indicible douleur. Au milieu de toutes
les atrocités auxquelles nul ne l’avait préparé – d’ailleurs qui l’eût
pu ? – vont s’installer, et croître envers et contre tout, des amitiés.
Inattendues. Solides. Porteuses d’espoir en l’être humain.
Comment alors ne pas s’attacher à Jacques, cet involontaire héros
de l’ombre né sous la plume de Jean Dupin, qui ira jusqu’à sacrifier
le grand amour de sa vie afin de ne pas l’entraîner dans le désespoir
de sa vie tranchée !
Trublionne alzheimérienne de 95 ans, Léonie voit se lever ses mécanismes de défense. De ses éphémères états de conscience se révèlent des traumatismes psychologiques et sexuels de pans de son histoire de vie. La dégradation de ses capacités à s’exprimer verbalement confronte ce sujet âgée à une solitude subie. Le langage du corps et de l’esprit livre une combativité effrénée dans la recherche du maintien de son identité, de la reconnaissance de son humanité. Les mondes de l’imaginaire l’accompagnent dans ce labyrinthe des mots parcouru. Le regard parfois acerbe de cette vieille dame parvient encore à livrer une analyse critique d’un monde toujours un peu actuel pour sa psyché altérée.
Un jour, un enfant disparaît. Et cet enfant devra faire face au vécu de l’enfermement. Survivra-t-il à cette épreuve ? … Son psychisme en sera-t-il affecté ? …
Les Flocons Bleus.
Le roman, jalonné par la musique omniprésente, plonge le lecteur au cœur de l’holocauste, pire tragédie de tous les temps.
Joseph, le personnage principal de cette histoire, a vu le jour à Varsovie entre les deux guerres dans une période faussement calme, à la paix fragile. Il est né juif alors que le ciel se couvre déjà de mauvaises intentions, mais une grâce quasi divine l’a atteint dans son berceau.
Joseph a un don incomparable, un talent fou, la musique l’habite. Il joue inlassablement de son violon, avec brio, à s’en engourdir les mains. Ses airs réchauffent le cœur de sa famille, apportent du bonheur à tous les reclus du ghetto et l’espérance à tous les condamnés du camp d’Auschwitz.
Mais les notes de son violon sauront-elles s’élever au-dessus des murs de l’enfermement pour voler plus loin que toutes les doctrines avilissantes des Nazis et finir par atteindre les ennemis de Joseph?
Pour reprendre la conclusion d’une de mes lectrices: « L’amour, l’amitié, la capacité à s’oublier pour aller vers l’autre, la présence permanente de la musique, puis de l’art apparaissent comme des souffles d’air vivifiants tout au long du roman, offrant au lecteur des raisons de continuer à croire en l’humanité, espérer malgré l’horreur que vous décrivez de manière si réaliste.
Encore un grand merci pour cette lecture qu’on hésite à caractériser de réconfortante. Et pourtant ! »
Jean-Claude Bataille-Poulain, auteur basé à Castelnau Montratier-Sainte Alauzie, dans le sud du Lot, a choisi de totalement bifurquer pour ce roman. Adieu – pour un temps ? – les histoires de flics, de méchants et de gentils qui s’affrontent dans un monde sombre : place aux paysages plats du Nord-Pas-de-Calais là où l’horizon n’est brisé que par le relief des terrils qui pointent vers un ciel souvent gris. Le décor est planté au pays des mines à la fin du XIXe à l’âge d’or de l’exploitation du charbon en France. À la faveur du penchant certain de Jean-Claude Bataille-Poulain pour tout ce qui a trait à la généalogie, il dresse dans ce roman publié au mois de mai dernier, une saga familiale nourrie de ses propres souvenirs, de ceux qui viennent à remonter subitement à la surface, à l’âge où l’on mûrit plus que l’on grandit. Certains personnages sont clairement inspirés de sa propre histoire familiale mais il s’agit bel et bien d’un roman où le lecteur navigue au cœur du quotidien tourmenté de ces acteurs-là, entre intrigue, amours et difficultés de la vie dans cette époque compliquée pour la classe ouvrière. C’est là que s’entremêlent les destins des gueules noires et des roses blanches, ces hommes et ces femmes en terre des corons. Le livre est par ailleurs agrémenté de lettres, de photos et de textes relatant les principaux drames industriels survenus dans les mines en France au temps de Germinal.
« Gueule noire et rose blanche » de Jean-Claude Bataille-Poulain.
Ce roman n’est pas dans la lignée des autres livres de Jean-Claude BATAILLE-POULAIN. Mais reste dans l’enquête policière. Un couple Louise et Samuel sont entendus en tant que témoins d’un assassinat qui vient d’être commis à Toulouse. C’est le point de départ d’une longue série perpétrée dans l’hexagone. Et les personnages nous mènent du Quercy à des pays lointains.
« Ainsi l’Aube majeure « Martine Biard
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Editions Edilivre https://www.edilivre.com/ainsi-l-aube-majeure-martine-biard.html/>
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Prix : 15,50 euros
ISBN: 978 241 442 562 4
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A commander, svp, sur le site de l’éditeur, en librairie, ou en ligne: FNAC, AMAZON, CHAPITRE.COM
Roman
Le 23 décembre 1899, après avoir reçu les quatre ordres mineurs, Eugène Cariou termine son parcours au séminaire de Saint-Sulpice. Ordonné prêtre, il attend son affectation avec appréhension.
Issu d’une famille de notables du Trégor, il espère être nommé à Saint-Eustache auprès des familles aisées de ce quartier. Mais l’Archevêché de Paris en décide autrement, l’abbé Cariou parle breton, il ira s’occuper des âmes des habitants au-delà des fortifications, il ira évangéliser ceux qui vivent dans des baraques insalubres d’Asnières : les chiffonniers de la zone !
Même si les origines de l’ouest de la France sont communes entre le vicaire et ses fidèles, à l’aube du XXe la rencontre de deux mondes opposés, de deux classes qui habituellement ne se fréquentent pas, va provoquer des incompréhensions et l’abbé va découvrir un univers inconnu à quelques kilomètres de Paris, à la chapelle de Saint-Joseph des Quatre Routes.
Ici, les enfants se prénomment Vendémiaire, Lapineau, Souricette, ils vivent dans la promiscuité sans rien ignorer des choses de la vie.
– Pourrais-je confier la caisse de la paroisse à Lucet, il est méticuleux, soigné et il paraît honnête ? – Pour sûr qu’y est honnête c’t espiègle mon abbé ! Son daron a calanché au Mont-Saint-Mich’, l’avait estourbi un marchand de porcs. Le fils, lui l’est enveloppeur, alors ? – Bon un enveloppeur maintenant ! Pourriez-vous m’expliquer cette profession ?
Et l’abbé Eugène n’en finit pas de constater combien ce monde vit de ses propres règles, de son langage et de ses mœurs par trop dissolues. Comment va-t-il procéder pour accomplir son sacerdoce lui dont la devise est « passer en faisant le bien » ? Et comment va-t-il accompagner cette population en permettant aux enfants de grandir en sortant de la zone ?
Histoire authentique, la chapelle des Chiffonniers existait encore il y a quelques années à Asnières.
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Format 130 x 210 broché 358 pages 18 € (+ 2 € de participation aux frais de port).
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