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« Hors du temps » de Jean KUBLER

Hors du temps

PROLOGUE de « HORS DU TEMPS »
Mon petit RECUEIL de POÉMES
Vous saviez en choisissant cet ouvrage que vous seriez en tête à tête avec le plus profond de mon être.
Un poème n’est jamais anodin.
Il porte, à chaque mot, toute l’intensité des sentiments de son créateur.
Peu importe le nombre de ligne, de mot, de rime, riche ou pauvre ou inexistante, ce qui compte, c’est ce que vous allez ressentir à la lecture du poème, ne serait-ce qu’avec un seul d’entre tous.
On appelle ce moment « être en communion » avec un texte, avec un auteur, avec le poète, avec celui qui met dans ses mots, sa pensée, son cœur, son âme, sa vie, ce qu’il est à cet instant, ce qu’il fut, pour devenir ce qu’il sera.
Vous n’aimez pas celui-ci, peu importe, passez au suivant, jusqu’à celui qui va chambouler vos sens, vous faire perdre pied et vous envoyer dans les rêves, dans mes rêves ou dans mes tourments.
Les poèmes de 1962, quand j’avais 16 ans, et ceux de 2020, ou j’ai 74 ans, ont tous le même point commun, ils expriment mes sensations et mes sentiments les plus profonds.
Alors, pour les ranger de façon logique, même s’il n’y a pas de logique en poésie, j’ai choisi deux thèmes et classé les textes chronologiquement ce qui me parait être la meilleure solution, mais présent et passé sont si proches.
Donc adieu aux grands principes et bonjour à la fantaisie.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
Si vous ne le trouvez pas, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.
EPILOGUE :

Pour l’instant c’est fini.
Mais la vie est un éternel recommencement et quand la plume me gratouille, il m’est impossible de résister.
Ne désespérez pas, un de ces jours vous retrouverez quelques nouveaux poèmes dans un petit livre, sur votre tablette, sur les réseaux sociaux, placardés sur un panneau d’affichage, récités par un crieur de rue, déclamés par un artiste d’un jour, ou sur un papier gras, ordinaire, froissé et jeté dans une poubelle providentiellement, là, pour vous servir, peu importe, l’essentiel c’est qu’ils vous plaisent, qu’ils vous donnent de la joie au cœur, et du cœur pour aimer, vous-même et les autres, ici et ailleurs.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
N’oubliez pas, si aucun d’entre eux retient votre attention, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.

 

 

« La comtoise » de Jean KUBLER

La comtoisen 

RESUME  : Le 13 Novembre 1870, dans la région Lyonnaise, Eugène CADROUX achète La Comtoise. Depuis, elle veille sur la famille. Les générations se succèdent et passent du bon vieux temps à nos jours avec en toile de fond les traditions festives du Nord Dauphiné. Des mortes inutiles avant puis un événement dramatique déclenche les mortes de maintenant. Et la grand-mère, cette vieille sorcière, méchante et haineuse, quel rôle joue-t-elle ? Tout se passe dans la bonne humeur, sous l’œil attentif de Joce, ma petite enquêtrice préférée qui s’avère être une grande professionnelle. Mais rien n’est joué.
PROLOGUE : Quand on est vieux, soit on est bien physiquement et moralement et on reste avec les enfants pour ceux qui en ont. Autrement c’est la Maison de retraite. Idem si le corps ou l’esprit ont une tendance à battre de l’aile, là, c’est l’Établissements Spécialisé, voir Psychiatrique. Mais quand tout marche à peu près bien et que le moteur est une hargne intrinsèquement vissée à la personne ? Quelle solution ? Dans la maison de retraite « Sainte Marguerite », à Crémieu, en Nord Dauphiné, les nones, encore présentes à cette époque-là, avaient bien de la peine à garder leur calme en face de cette vieille femme. Ses petits yeux vifs et méchants, son visage basané par le soleil et tout fripé par les années, montraient un caractère bien trempé. Mais sa petite stature et son dos un peu voutée la rendait toute fragile. Tiens croyez y …A chaque instant on avait l’impression qu’elle allait se casser. Tiens donc … Ce jour-là, dans un élan de lucidité, elle demanda, que dis-je, elle ordonna à une sœur qui passait prêt d’elle, de lui apporter de quoi écrire une lettre. Ce que sœur Dominique fit dans l’instant. On était le 13 Novembre 2005. Trois jours plus tard elle passait de vie à trépas au grand soulagement de tous. Elle avait décidé que son cœur n’avait plus de raison de battre, puisqu’elle avait fait, maintenant, tout le mal qu’elle pouvait faire. Elle avait alors 87 ans révolus.

« Carole, petits polars pour les amis » de Jean KUBLER

CAROLE

Carole, bientôt 22 ans et quelques kilos en trop, a grandi dans une banlieue triste de Lyon, une enfance morose qui la conduit très vite aux petits trafics. Un soir, alors qu’elle rentre chez elle, elle remarque une voiture qui la suit de près. En fait, c’est la troisième fois cette semaine et elle commence à s’inquiéter. Serait-ce son ancien patron, Gérard, qu’elle a dénoncé au fisc après s’être fait virer pour avoir piqué dans la caisse ? Ou bien les deux loufiats que Benziane a balancés à la police lorsqu’elle dealait avec lui ? Non, c’est bien Gérard qui la suit dans la ferme intention de lui flanquer une belle trouille et d’ainsi se venger. Mais rien ne se passe comme prévu lorsqu’une grosse cylindrée percute, de plein fouet la petite Fiat de Carole. Et ce n’est pas un accident, visiblement, quelqu’un d’autre en veut méchamment
à Carole. Décidément, cette fille si jeune a l’art de s’attirer des ennuis. Ni une, ni deux, Gérard se lance dans la bagarre et parvient à terrasser son agresseur. Puis, après avoir appelé les secours, il se dépêche de débarrasser le plancher.

ARGUMENTAIRE : Avec toute la verve argotique propre aux meilleurs romans populaires ainsi qu’un humour ravageur, l’auteur nous conte l’histoire quelque peu cabossée de Carole et des sbires singuliers qui l’entourent. Avec une originalité en sus, celle de faire parler plusieurs narrateurs, apportant chacun leur point de vue différent sur cette affaire.

« Des larmes de papier » de Brigitte LAJONIE

Des larmes de papier

Après un travail d’écriture qui aura duré quatre ans et un parcours laborieux de deux ans à démarcher les maisons d’édition, Brigitte Lajonie aura finalement choisi l’autoédition pour donner vie à son premier roman Des larmes de papiers.
L’histoire se déroule entre Londres et la Bretagne, région dans laquelle l’auteure a grandi. La protagoniste Emilie a vingt ans lorsqu’elle quitte Paris pour l’Angleterre pour fuir une vie qu’elle n’a pas choisie. A Londres elle fait la connaissance d’un vieux libraire dans le quartier de Nothing Hills. Attendri par la jeune femme, il la prend sous son aile afin qu’elle puisse se reconstruire et apaiser ses souffrances passées. Les années défilent, Emilie fonde une famille, devient propriétaire de la librairie, jusqu’à ce qu’une nouvelle rencontre vienne bouleverser le quotidien de la famille et particulièrement celui d’Emilie. Le passé va ressurgir, exigeant d’Émilie de combler les pages blanches de son histoire que sa mémoire verrouillée a occultées.
Influencée par sa carrière professionnelle, Brigitte Lajonie souhaitait aborder des sujets sensibles, « c’est un livre sur la résilience et la capacité de se reconstruire après des traumatismes importants ». Ce roman est resté longtemps dans les placards avant que l’auteure décide de s’autoéditer. Au début cette issue n’était d’ailleurs pas envisageable pour l’écrivaine. Cependant, le sentiment d’inachevé a pris le dessus sur la peur de se lancer.
Le roman est en vente sur Amazon et l’auteure a déjà reçu de très bons retours. « Je suis ravie de donner du plaisir aux gens, c’est que du bonheur ». « Il y a une reconnaissance qui est là aujourd’hui et ça me donne du courage pour continuer dans le travail d’écrivain ». elle confie que l’autoédition est un investissement financier, psychologique et physique important, mais qu’elle sort de cette expérience avec plus de confiance en elle et de fierté.

« Maladie X » de Patricia VIDAL-SCHNEIDER

Maladie X

Roman « Maladie X »

En 2018, pour la première fois, l’OMS évoque avec inquiétude une maladie encore inconnue et invite les différents états à s’y préparer, en vain.
« L’Histoire, dit elle, nous dit que la prochaine grosse épidémie sera quelque chose que nous n’avons jamais vu ».
C’est faire abstraction des pandémies de 1620, 1720, 1820, 1920… Tiens c’est bizarre ! Vous avez dit bizarre ? Certains en rient, d’autres crient au complot…
Et voilà qu’à l’automne 2019, la maladie annoncée surgit comme un diable de sa boîte, une véritable pandémie venue de Chine qui détruit 90 pour cent de la planète en quelques mois à peine, ramenant à plus d’humilité.
En ce qui concerne l’origine de cette maladie, les spécialistes évoquent une erreur de manipulation génétique ou un acte terroriste. Mais elle a surtout de grandes chances de provenir de sources animales…
Qui sont les survivants ? Quelles valeurs communes les guident et les animent. Comment vont-ils se retrouver pour organiser leur survie dans un monde qui a explosé.
Astrid, Mélissa, François… Sabri, Sergio, Charlène et tant d’autres ont survécu à ce véritable cataclysme sanitaire et reconstruisent ensemble ou séparément un monde loin de la tempête des mégapoles… des mondes différents parfois…
Mais, c’est alors que les démons resurgissent des entrailles de la terre et quand le diable s’en mêle… qui sortira vainqueur.

ISBN : En cours d’édition…

OCTAVE Amélia, bio-bibliographie

OCTAVE Amélia

Riche d’un parcours dans la Presse et l’Edition en tant que journaliste – rédactrice, Amélia OCTAVE a « jeté l’encre » dans nombre de magazines. Sa plume a notamment couru pour des revues d’art et décoration.
Egalement guide de tourisme, au cours de ses pérégrinations en France et à l’étranger – de la Garonne aux fjords de Norvège, de la basilique Saint Sernin aux temples de Bangkok – chaque voyage professionnel ou personnel l’a conduite à la découverte des cultures pour des rencontres sans frontières.
Après un premier livre « La Part de l’Ange » Editions JMG 2002 sur le ciel spirituel, son l’ouvrage « LES EXTRATERRIENNES » – histoire de l’ascension des Femmes dans l’Air et l’Espace » – et plus largement sur le thème de l’Aéronautique et du Spatial – est paru en 2018.
S’émerveillant de notre Terre – joyau de notre système solaire et unique planète connue qui abrite la vie et son incroyable biodiversité – la passion d’Amélia pour le ciel et l’espace l’ont aussi amenée à faire des recherches à tire d’ailes, à l’heure où les principales agences spatiales visent de
nouveau la Lune, mais aussi Mars.
En attendant justement une rencontre du 3ème type, son dernier ouvrage «Les Extraterriennes » rend hommage aux filles de l’air et des étoiles.

 

Contact: Amélia OCTAVE – 06 42 66 56 78 –

LE PROGRAMME DES 3 DIAPORAMAS-CONFÉREN’CIELS

  • CONFÉREN’CIEL I – Première Altitude

L’ÈRE AÉROSTATIQUE : L’ASCENSION DES MONTGOLFIÈRES et « Le Plus Léger que l’Air »
A la fin du XVIIIème siècle, Maitres Papetiers, les deux Frères MONTGOLFIER découvrent tout simplement la propriété de l’air chaud en regardant le feu de la cheminée domestique gonfler une liquette, rapporte la légende. Dès lors, ils vont reproduire ce curieux phénomène en confectionnant les premiers ballons à leur nom.
En 1783, ils présentent officiellement leur formidable invention devant le Roi Louis XVI et la Reine Marie-Antoinette et la Cour de Versailles émerveillée. D’autres inventeurs fabriqueront leurs « sphères » plein gaz.
Durant toute la première partie du XIXème siècle, les ascensions en montgolfières deviennent alors de magnifiques spectacles qui attirent les foules. C’est la folie du ballon. L’Aéromanie s’empare de toutes les têtes. On dira que « Tout est Globe » à Paris.
Si la noblesse a d’abord eu le privilège des premiers baptêmes de l’air, après la Révolution, citoyens et citoyennes montent à leur tour dans la nacelle. Les aéronautes professionnels tels que GARNERIN, BLANCHARD s’illustreront. Certains perdront la vie, mais leurs épouses, qui les aidaient déjà, prendront alors avec audace la relève en devenant « plus légères que l’air ». A la Belle Epoque, un galant Comité des Dames verra même le jour. On envoie des baisers du haut de la nacelle, et même on y part en voyage de noces.
  • CONFÉREN’CIEL II – 2ème Altitude

L’ÈRE AÉRONAUTIQUE : LES AVIONS et « Le Plus lourd que l’Air »
Après les montgolfières, de curieux engins qui veulent imiter les oiseaux vont étendre leurs ailes de métal.
A la charnière du XXème siècle, Miracle ! Clément ADER, père de l’aéronautique, décolle de quelques centimètres du sol à bord de son «Eole» un engin aux ailes de chauve-souris. Ceux qu’on appellent alors « les Faucheurs de Marguerite » imaginent d’incroyables inventions aériennes pour tenter de gagner les hauteurs avec « le plus lourd que l’Air ». Coucou sans carlingue, Pou du ciel ou Demoiselle voltigent en plein ciel.
Ancêtre du Salon du Bourget, la première Grande Semaine de l’Aviation en Champagne en 1909 rassemble les pionniers de l’air. Cette même année, Louis BLÉRIOT réussit l’exploit de traverser la Manche.
Les Années Folles ouvriront la voie des grands-raids : Paris-Saigon ou Londres-Sydney. Celles qu’on appelle « les Garçonnes » veulent aussi courir l’azur. Ces Coursières du Soleil vont à leur tour survoler la Terre.
L’avion s’est fait à la fois civil et militaire et aujourd’hui se sont 100 000 vols par jour qui arrachent les passagers du sol pour les faire voler aux quatre coins du gobe.
Et si parfois on demande « S’il y a encore un pilote dans l’avion ? », dans le cockpit il n’est plus rare que Madame Le Commandant de bord vous souhaite : « Un bon Vol » … après avoir attaché votre ceinture, bien sur !

CONFÈREN’CIEL III – 3ème Altitude

L’ÈRE ASTRONAUTIQUE : LA CONQUÊTE SPATIALE « En apesanteur »
Sur la nouvelle aire de lancement, une fusée dressée comme un gros bâton de dynamite s’apprête à décoller. Désormais, l’être humain va carrément sortir de l’atmosphère pour s’aventurer dans les hautes régions hostiles et irrespirables de l’Espace encore inconnu.
En pleine guerre froide, les Etats-Unis et l’Union Soviétique se livrent alors une Course à l’Espace. Au début des années 60, le soviétique Youri GAGARINE sera le premier terrien à tourner en orbite autour de la Terre.
Finalement les Américains décrocheront la Lune. Evènement historique et sans précédent, le 21 juillet 1969, l’astronaute Neil ARMSTRONG fait « un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’Humanité ».
Dorénavant et depuis les années 2000, la Station Spatiale Internationale ne cesse de tourner à 28 000 kms à l’heure autour de notre planète. Véritable laboratoire de l’Espace où sont menées des recherches pour mieux connaître notre Terre et l’univers qui nous entoure.
Dans la prochaine décennie, La NASA – l’agence Spatiale Américaine – annonce son grand retour sur la Lune. Le programme « ARTÉMIS » – au nom de la déesse de la mythologie grecque – prévoit qu’une première femme devrait poser ses mooboots sur l’astre de nos nuits.
Aujourd’hui plus de 560 astronautes sont allés tutoyer les étoiles et admirer la belle courbe de notre Terre, joyau du système solaire.

« Akasuba » de Robert MILLET

Akasuba

Entendu par hasard, un mot, « akasuba » va bouleverser l’existence de Jean-Michel. Enfant adopté, il part à la recherche de ses origines en Afrique. Son voyage, nécessairement initiatique, le conduira très loin: sa quête fera resurgir des périodes troubles, mais aussi des moments heureux de son passé.

Prix: 15€- ISBN: 978-2-35897-327-4

Pour se le procurer auprès de l’auteur: 0603236902, frais d’envoi offerts

« A deux mots près… » de Robert MILLET

A deux mots près ….

Dans ce recueil de nouvelles, l’auteur nous fait voyager des pentes du mont Ventoux à celles de l’Everest, en passant par La Haye, Marrakech ou Millau, en compagnie de Jan, Trébor, Rajesh, Karim… qui mus par leur passion, sont entraînés, à deux mots près, à deux secondes près, à deux rencontres près, vers le meilleur… ou le pire.
Robert Millet, dans ce deuxième livre, joue avec ses personnages (et ses lecteurs), emportés par le tourbillon de leur passion. Une lecture captivante, riche en surprises!

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Prix: 12,50€ -ISBN: 978-2-35897-445-5
On peut se le procurer auprès de l’auteur: 0603236902, frais d’envoi offerts.