Entre Ré et Oléron, l’île d’Aix est une terre méconnue. Au premier coup d’œil, sur une carte de France, on ne la voit pas. Et pourtant, cette poussière de 130 hectares est loin d’être dénuée d’intérêt et balance entre histoire et nature… Dans les photos noir et blanc, la couleur se révèle mystérieusement. Une touche de sépia ou de rouge posée sur un détail, et la voilà gui envahit tout un paysage. Une recherche esthétique et une approche artistique originales servent merveilleusement cette évocation de l’île d’Aix « l’impériale », inondée de lumière à marée basse…
Préface Jean-Claude FLAMANT Ancien maire de l’Ile d’Aix …
C’est, à ma connaissance, le plus riche et le plus abouti des albums de photos consacrés à l’Ile d’Aix qui doit trouver naturellement sa place dans la bibliothèque de tout amoureux de l’île. Laissez-vous envahir par le flot des images et soyez persuadé que vous êtes encore loin de percevoir les mille et une facettes de ce territoire d’exception. Je dis à l’auteur, revenez nous en automne et faites chanter : « les soleils mouillés de ces ciels brouillés ».
Ma passion pour les îles et forts charentais a commencé dès 2008. J’ai visité la Charente-Maritime à de nombreuses reprises et j’ai photographié ses îles et sa côte selon mon inspiration. Depuis 2010, je souhaitais réaliser un deuxième ouvrage sur cette région et étais à la recherche du fil conducteur… J’ai trouvé une partie de mon inspiration dans les trois mots qui définissent l’ensemble du globe : « la Terre, la Mer et le Ciel » et j’ai eu le déclic final le jour où j’ai visité le chantier de l’Hermione à Rochefort… Le voyage peut commencer. Je vous invite à découvrir mon ouvrage…
Préface par Martine Acerra…
Pour qui aime rêver et partir dans la beauté du monde, voici un ouvrage idéal. Dans le sillage virtuel de l’Hermione, le littoral charentais surgit, en délicates touches de couleurs, baigné de lumière, ponctué de ses forts au ras des flots. Ce n’est donc pas la moindre qualité de ces pages que d’offrir à nos yeux enchantés les superbes photos qui l’illustrent. Mais ce n’est pas tout. Certes, « beau-livre », l’ouvrage se veut aussi vecteur de connaissances. Piochant aux meilleures sources, l’auteur accompagne ses images d’un récit précis mais toujours accessible sur chaque étape visitée, chaque île, fort, édifice ou lieu de mémoire. Encore plus ? Les cartes anciennes, les dessins d’époque, les vieilles cartes postales permettent un repérage historique et expliquent l’origine de tel métier, de tel monument ou la particularité d’un paysage. Ainsi, à la richesse de l’image répond celle du texte. L’œil circule aisément entre les deux, revient, repart, s’accroche à nouveau à un détail, une phrase, une anecdote. Voyez donc ces cigognes et ces moutons, ces coquillages et ces vins, la corderie de Rochefort, la guirlande des carrelets, le miroitement des marais salants, les dunes, les plages, les petits ports et les puissants forts. Vous ne vous en lasserez pas. Ils constituent le répertoire des richesses du littoral charentais que cet ouvrage célèbre avec élégance et passion.
Carnet de voyage, itinéraire artistique d’un peintre amoureux de sa ville. Plus de cent aquarelles de Jean Coladon fidèlement reproduites accompagnées de textes rédigés par un autre amoureux de Moissac : Henri Ena
Adhérent de la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne ainsi que Guy Astoul, historien, ils décident de réaliser un livre d’Art et d’Histoire pour magnifier cette ville. Si de nombreux historiens, chercheurs ont écrit un grand nombre d’ouvrages qui font références, jamais un artiste n’avait peint Montauban.
Le projet est né en 2012 et après deux années de travail d’aquarelles, s’achève aujourd’hui avec ce livre grand format 24,5 x 29 cm, de 80 pages, quadrichromie avec une couverture cartonnée, dos carré, cousu, 130 aquarelles et des textes ciselés par Guy Astoul.
Prix : 48 euros
Ce livre est édité par la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne, Maison de la Culture, rue du collège, Montauban.
Il est en vente dans toutes les librairies et grandes surfaces de Montauban .
Il est également en vente auprès de Jean Coladon ainsi que les aquarelles originales. (4,30 euros de frais d’expédition)
Il manquait à la collection des livres sur Montauban le regard d’un peintre. Au total plus de 90 dessins et aquarelles signés du peintre Bernard Duvert, dont on est habitué, comme disciple de Lindström, à un autre style, et qui nous avait étonnés l’an passé lors de son exposition au Musée Ingres.
Ici, l’artiste a choisi des angles de vue surprenants, des lieux surgissant de la lumière et des ombres étroitement liées à l’atmosphère de la cité. Montauban apparaît sous ses fastes orangés, le lecteur se transforme en promeneur au fil des pages.
«Une ville que l’on ne finit pas de découvrir dans un livre incontournable.»
Paru le 18/01/2013 aux Editions ARTYS – ISBN 979-10-92110-01-2 – 80 pages – 21 x 21 cm – Prix : 22,00 €
En vente :
– En librairies
– Librairie Deloche – Montauban
– La Femme Renard – Montauban
– Cultura – Montauban
– Espace Culturel Leclerc Aussonne – Montauban
– Espace Culturel Leclerc Sapiac – Montauban
– La Cité du Livre – Caussade
– Par VPC à Editions Artys – 18, avenue du 8 Mai – 82300 Caussade
Maryvonne Lépinoy.Guégan, passionnée par la généalogie, est amateur d’Art dans le vrai sens du terme Amour de l’Art. Elle a découvert, dans les archives de sa Grand’mère, des petits dessins bleus signés : H.P. Dillon. Son amour pour la peinture après l’avoir entraînée à participer à de nombreuses expositions dans sa région, lui a ouvert la voie de l’Ecriture pour vous dévoiler un Secret Polichinelle, le grand peintre-lithographe de la Belle Époque, pour lequel on dit :
Polichinelle est à Dillon ce que Pierrot est à Willette et Olympia à Chéret.
Dillon est né à l’époque de la ruée vers l’or, le 23 novembre 1850 à San Francisco où son père, d’origine irlandaise, était Consul de France…Il était donc destiné à la diplomatie, profession qu’il exerça à New-York.
Après le Salon de 1882, Henri Patrice Dillon s’est amusé à reproduire sa toile sur pierre…
Tous ses amis applaudirent et dirent de lui : il a la pierre dans le sang.
Noble technique, il se lancera dans la Lithographie mais tardera à exposer par goût de perfection ou timidité. Il participera régulièrement à tous les Salons depuis 1876, ainsi qu’à ceux de Nantes, Reims, Dijon et Versailles. Ses professeurs furent Pils, Lehmann, Cabanel et Carolus-Duran.
C’était à la Belle Époque du Chat-Noir.
Lithographe de renom, ses lithographies furent très recherchées. En 1890, à l’Exposition de l’Ecole des Beaux-Arts, il réalisera des lithographies qu’il donnera aux passants.
Il fut à l’origine de la Renaissance de la Lithographe en 1895, cofondateur de l’Album des Peintres-Lithographes avec MM. Bénédite, Conservateur du Musée National du Luxembourg et Alboize, Directeur de l’Artiste. Ils y présenteront les plus grands lithographes faisant leurs premières armes qui seront initiés par Dillon et Duchâtel.
Il fit partie des Incohérents, des Humoristes, de la Société des 1 devenue Société Universelle des 1, amicale internationale.
Entre 1891 et 1895, vice-président des Peintres-Lithographes avec son ami Fantin-Latour.
Il fut médaillé d’honneur en 1890, 3ème cl. en 1892 et en 1895 à l’exposition du Centenaire classé Hors concours. Nombreuses affiches, almanachs, calendriers, cartes de visite, cartes de vœux, menus, illustrations de livres comme la Nouvelle Bibliopolis d’Octave Uzanne. Dillon Henri Patrice est un réel artiste entièrement voué à son Art. Il fut décoré de la Légion d’Honneur en 1896, grâce à Puvis de Chavannes. Professeur de dessin, il se consacre à sa passion d’enseigner dans les écoles et reçoit les Palmes Académiques en 1897. En 1900 à l’E.U., médaille d’argent.
Il participa en 1902 à l’illustration du Moniteur du Littoral à Monaco puis, à l’Exposition organisée par Rodin au Château de Rohan à Strasbourg en 1907.
Il ne comptait que des amis… ils se groupèrent autour de Lunois, président de la Lithographie pour organiser une exposition en avril 1909, mais Dillon s’éteindra le 16 mai 1909 à l’hôpital Lariboisière à Paris.
L’objet de ce livre est de rendre hommage à ce descendant d’Irlandais, mon cousin Henri Patrice Dillon pour simplement vous le faire découvrir…
N° ISBN 978-2-952 9959-0-0 – EAN 9782052995900 – Prix 58 euros
Jeff Champo est le pseudonyme collectif de l’atelier d’écriture animé par Jérôme Cabot depuis 6 ans à l’Université Champollion d’Albi.
Jeff Champo proposera début septembre 2011 un sixième ouvrage littéraire qui, comme « Capharnaüm sweet ohm » paru en 2010, est né de la rencontre entre cet atelier d’écriture, la scène slam albigeoise, et la photographe Ariane Ruebrecht.