On se promène avec ce petit roman, dans la campagne dans le centre de la France, mais l’on ne peut se situer.
Le lecteur va se plonger, au cours de ces pages, au quotidien de la vie du narrateur, une belle et émouvante histoire .
Autour de lui, des personnages aimants, sympathiques parfois surprenants de lucidité, nous donnent très envie de les connaître et aussi de les aimer un peu plus au fil des pages. De découvrir cette famille, l’émotion va vous transporter dans un sentiment de paix et d’amour.
Si l’on s’écrivait…est une correspondance avec des personnes qui sont ou étaient proches de l’auteur à un certain moment de sa vie : proches ou éloignées (par le cœur ou par la distance).
L’auteur a été marqué parfois favorablement d’autres fois bien moins….Certaines lettres ont été écrites avec amour et amitié, d’autres avec amertume et douleur.
Après toutes ces missives vous comprendrez qu’il fallait que ce soit écrit….
L’auteur a écrit ce superbe livre avec en toile de fond ses émotions enfantines.
On s’attache à ces pages qui lient ses proches, c’est avec lucidité que l’auteur leur rend hommage. Certains s’attachent à la vie et ne s’en plaignent pas. Ce sont des rencontres écrites avec force, courage et dignité…
Cette histoire vraie et personnelle est une suite de jours ordinaires décrits avec la tendresse et la passion des mots. Cela cache parfois quelques souffrances et en fait ressortir aussi des joies. Il nous tarde de voir vite ce qui se passe à la page suivante
Un jour se débarrasser du poids du passé, parfois lourd, mais que l’amour de ses parents a pu rendre plus léger.
Claudine THIBOUT-PIVERT a passé son enfance et son adolescence en Anjou, au cœur de la vallée de l’Authion, où coule aussi la majestueuse Loire. Imprégnée de ces beaux paysages, en autodidacte, elle découvre tout d’abord la peinture aquarelle, réalisant ainsi de nombreux tableaux dont certains ont été primés.
Aimant et pratiquant également la danse et la musique, elle s’est tournée depuis quelques années vers l’écriture poétique, trouvant là beaucoup de joie dans l’évocation de l’enfance, la région natale, la contemplation de la nature, la vie quotidienne ou l’amour des êtres chers.
Tout au long de ce nouveau recueil, l’auteur s’attache encore à montrer que ce sont les petits bonheurs parsemant notre existence, au fil des jours, des mois et des saisons, qui lui donnent toute sa saveur, sa beauté et son éclat. Alors, à travers une poésie simple, accessible et limpide, parfois teintée d’humour, la poétesse n’aura de cesse qu’exprimer, comme le dit si bien Marguerite Yourcenar, que « Tout bonheur est un chef-d’œuvre… », et que tout bonheur, aussi anodin soit-il, peut mener au « Pays des merveilles ».
« Il est tout près, le pays des merveilles
Je me rafraîchis à l’ombre de sa treille
Dans mes rêves, il est bien réel
Je le rejoins en un seul coup d’ailes. »
La couverture est une aquarelle de l’auteur intitulée « Tasse de thé » primée en 2004.
La Poste, personnifiée comme notre Marianne nationale, est aussi attachante que le serait le sourire d’ une cousine de province dans le décor de « Bienvenue chez les Ch’tis », imparfaite et familière … et qui nous réjouit autant qu’elle nous fait râler. Personne ne veut que ce sourire s’efface. On l’ aime.
Pourquoi tant d’ engouement ? C’ est une très vieille institution: projet de Louis XI, concrétisation d’ Henri IV, administration par la volonté de Louis XIV. Or, en voulant la faire changer de vie, la Poste, on risque bien de la faire revenir dans les limbes. Et, pour tout dire, ses projets consistent, pour nous Français, à remettre » le vin nouveau dans les vieilles outres » depuis longtemps oubliées mais tout autant sujettes à tracasseries.
Couverture d’ illustration aux couleurs de la Poste d’ Ancien Régime : bleu roy, rouge écarlate et or
Editions APARIS/ EDILIVRE.COM – ISBN : 978-2-8121-3641-2 – Prix : 17€
Troisième titre de Véronica LIARI , sorti en Juin 2011.
Sorel De Teynac était un homme très riche autant que puissant. C’est pourquoi Richard de Saint Maixent convoitait tant son domaine seigneurial. […]
Ce soir-là, la brume sur le fleuve, la nuit sans lune et la faiblesse des défenses, tout concourait à servir son projet de conquête, le moment était merveilleusement propice et ne se présenterait probablement plus.
En effet, l’alleu de De Teynac était l’un des points forts de la riche et puissante Aquitaine, duché que le fils de Louis VI avait acquis, entre autres, en épousant Aliénor. Les noces avaient eu lieu le 25 juillet précédent, quelques jours seulement avant le décès du père du dauphin, ce qui faisait de lui le roi Louis VII. […]
Or, si le roi n’avait que peu de pouvoir et d’autorité sur ses vassaux, hormis sur son propre territoire jusqu’alors plutôt restreint, cette union avec la belle héritière avait totalement changé la donne et les choses risquaient d’évoluer fortement dans les mois et années à venir et dans un sens qui n’était pas pour plaire à De Saint Maixent…
Si Richard réussissait dans son entreprise, les fiefs alentours seraient faciles à prendre. Il conquerrait alors un immense territoire; son ambition était grande et représentait son seul intérêt dans la vie… mais c’était maintenant ou jamais !
Editions VERONESE (auto-édition) ISBN : 978-2-9539534-0-4 – Prix : 12 €
Olivia s’installe à Lunéville dans une maison peu ordinaire par sa taille et son histoire, le Château Saint-Léopold, dans lequel elle découvre très vite une présence. Aidée par Anita, une médium, elle entre en contact avec l’âme en peine d’une jeune femme, Jeanne, prisonnière des murs de Saint-Léopold depuis sa mort en 1916.
Afin qu’Olivia et Anita apportent à toutes ses questions les réponses qui lui permettraient de se libérer, Jeanne leur raconte, par le biais de l’écriture automatique, sa vie et sa mort, décrivant ainsi le Lunéville du début du XXème siècle et durant la Guerre de 14-18.
Au-delà du suspens de l’intrigue, c’est le récit romantique d’une histoire d’amour(s), occasion d’une réflexion sur la Vie avec la réalité de ses joies et ses pleurs.
« Mémoire Absente » est l’histoire d’une jeune femme qui souffre des zones d’ombre portées sur sa vie par son amnésie. Le hasard va brutalement lui apporter les réponses aux questions qu’elle se pose sur cette période oubliée, brève mais primordiale pour elle. Toutefois, le voile en se levant, va plonger l’héroïne dans un tourbillon d’incertitudes, de révélations et de peurs…
Sonia Wagner et Pierre Polé sont lieutenants de police.
Entre autres enquêtes à mener, il sont sur la piste d’un sérial killer qui sévit dans leur district. Surnommé « l’obstétricien » car ses victimes sont toutes des futures mères enceintes de jumeaux, ce tueur les oblige à entrer dans une course contre la montre car seule son arrestation mettra fin à la terreur qui s’empare des jeunes femmes gravides de la région.
Dans ce contexte, Laura et Thomas ont tout pour être heureux mais voient leur bonheur compromis quand ils apprennent que Laura, enceinte, attend des jumeaux…
Editions VERONESE (auto-édition) – ISBN : 978-2-9539534-1-1 – Prix : NC
