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La Mémoire des Chemins

La Mémoire des Chemins
La Mémoire des Chemins

Un roman du bas Quercy dans les années 1900-1935: Laurent petit paysan de Servanac vit une enfance heureuse en famille entre travaux des champs, école et fêtes. La guerre détruit ce bonheur simple. Orphelin, l’enfant se retrouve apprenti chez un charron carrossier de Molières. Deux rencontres décisives avec des Compagnons orientent sa vie : il part pour Bordeaux et rejoint le monde du Compagnonnage. On le suit dans cette nouvelle vie, travail, amitiés et amours, puis sur le Tour de France avant un retour au pays et la traversée d’épreuves qui décident de son avenir.

2008 De Borée, Roman. Prix : 20 euros, librairies ou auteur

Livre d’Or * Salon du Livre de Monclar de Quercy * 2009

Je vous remercie pour l’important travail effectué afin que vive le Salon du Livre de Monclar. J’ai eu une excellente impression. Encore félicitations.
Cordialement.
Sylvanie Simon En savoir +  sur l’auteur

« Chaque année, le dernier dimanche d’août est réservé à une manifestation où la convivialité rejoint notre amour des livres : les Editions Toute Latitude, parrain du Salon du Livre de Monclar en 2008, étaient de nouveau présentes à l’édition 2009. Cet important rendez-vous de la vie de Monclar, auquel sont couplés le vide-grenier et la bourse « toutes collections », est un grand moment d’échange et de diffusion de nos ouvrages : cette année, le public populaire et estival est venu massivement à la rencontre des auteurs venus de toute la région. Une nouvelle étape a été franchie et Monclar est désormais un Salon du livre de référence en Nord Midi-Pyrénées. A l’année prochaine ! »
Merci pour votre accueil et à très bientôt,
Amitiés,
Laurent Tranier, Editions Toute Latitude En savoir +  sur la maison d’édition

Le salon de Monclar était une première pour moi, je l’ai trouvé très bien.
Je ne m’attendais pas à autant de participants !
Véronique Piazza

J’ai voulu venir te faire un petit coucou au salon pour te montrer que je soutiens ton action. J’ai vu que le nombre d’exposants était croissant par rapport au 1er salon cela prouve que tu as fait du chemin : pas une table libre, toutes étaient occupées. Bravo c’est le seul mot qui me vient et félicitations pour ce projet mené d’une main de maître. Bisous.
Pierrette Champon Chirac En savoir +  sur l’auteur

Merci pour ce salon ! : tout était bien et pour moi c’est les meilleures ventes de tous les salons d’été, juste un petit détail pratique : les grilles contre le mur ne servent à rien car personne ne regarde ce qu’il y a dessus
Valérie Blachère AUTEUR-ILLUSTRATRICE  En savoir +  sur l’auteur

Je t’ai donné en direct mes impressions mais à la réflexion mon impression de moindre fréquentation vient probablement du fait qu’il n’y a pas eu de « pic » mais une présence continue ; pour ma part j’ai toujours du monde, je n’ai pas vu autour de moi les allées vraiment vides.
Jean-Paul Escalettes

Ce Salon a été néanmoins une réussite.Nous vous adressons toutes nos félicitations et peut-être, à l’année prochaine… si Dieu le veut
Claude Chappat En savoir +  sur l’auteur

Encore une fois un GRAND MERCI au « petit Monclarais » … et ceci pour plusieurs choses :
1 – Tout d’abord cette remarquable mise en relation avec Illo Humphrey et La BIRE
2- L’excellente tenue du Salon du Livre de Monclar, où de plus j’ai pu nouer de très intéressants contacts.
Jean de Levat, auteur des « Mirages de Lourdes » En savoir +  sur l’auteur

Bonjour cher Robert,
Merci de nous avoir réunis à Montclar de Quercy Dimanche. La promenade est toujours aussi agréable pour venir. Et le village très sympathique.
Et la rencontre du public toujours aussi passionnante.
car ils sont si charmants à venir nous regarder et nous lire.
Ils nous confient parfois leurs peines et leurs joie… Mais aussi leurs espoirs.
Bref si vous voulez bien de moi je reviendrais.
Dommage pour Léojac.Nous avions eu un bon public et les gens semblaient très contents de nous voir.
Je vous expédie les 20 € lundi car demain je travaille encore à mes articles.
Sur mon site www.amalthee-ecrivain.info vous trouverez des tas de choses.
Dites moi de quoi vous avez encore besoin.
Cordialement cher Robert qui vous décarcassez pour oeuvrer avec nous.
Amicalement
Amalthée

Merci pour votre accueil dimanche. C’est toujours aussi remarquable…
Jos Sabac En savoir + sur l’auteur

« Elodie ou la femme remarquable ». Fernand WEBER

Elodie ou la femme remarquable. Fernand WEBER
Elodie ou la femme remarquable. Fernand WEBER

La soudaine disparition de la vieille dame affublée de toilettes extravagantes, aux manières insolites et au verbe provocateur ne passait pas inaperçue en ville. N’avait-elle pas été l’excellent professeur de lettres du collège local, partie trop tôt pour prendre la direction de l’usine textile de Mirancour laissée vacante par son père tragiquement disparu ?

De cette entreprise à l’agonie, elle fit un établissement modèle. Première femme élue conseiller général et maire d’une commune, elle ébranla l’univers machiste traditionnel. Bourreau de travail, elle défendait le principe de servir et non de se servir.

Lorsque l’heure de la retraite sonna, elle savait qu’elle serait oubliée, esseulée dans le manoir familial. Affaiblie, elle ne put résister quand on l‘admit en maison de retraite médicalisée. A la mort de son ami Adalbert, elle sombra dans un mutisme profond. On la trouva morte sur un banc public du parc municipal.

Mort naturelle ou assassinat perpétré par l’un des nombreux prétendants à sa fortune ?

« Le fils ingrat – Une jeunesse rebelle en Alsace 1935-1945 ». Fernand WEBER

Le fils ingrat - Une jeunesse rebelle en Alsace 1935-1945. Fernand WEBER
Le fils ingrat - Une jeunesse rebelle en Alsace 1935-1945. Fernand WEBER

Il aurait du aller à l’usine comme son père, mais il fit des études ; sa mère le poussa à entrer au Grand Séminaire, mais il s’en échappa et rompit avec son milieu. Héros de ce passionnant récit autobiographique, le Petit Joseph, né dans une famille modeste de l’Alsace des années 1930-1940, a tôt choisi la liberté, sa propre liberté, celle que l’on entrevoit dans ses rêves et que l’on conquiert à force de travail acharné.
Dans la petite cité ouvrière au cœur de la campagne alsacienne près de Sélestat, l’argent manquait cruellement, le chômage rôdait – et la guerre fit irruption, brisant nombre de destins. Après la lourde fatalité sociale pesant sur le fils d’ouvrier pauvre, la tragique violence de l’annexion et de l’embrigadement nazi fit prendre conscience au jeune Alsacien de la nécessité d’investir toute son énergie dans les études et dans un cheminement personnel. Mais ce choix dut se faire contre ses proches, notamment sa mère, éprise de docilité sociale et de stricte morale chrétienne : « Fils ingrat, tu seras le premier clou de mon cercueil ! », lui lança-t-elle un jour, désespérée.

Sur fond de bouleversement du monde ouvrier et paysan alsacien traditionnel, Fernand Weber nous livre un récit émouvant et plein d’humour, débordant d’espoir dans les forces de la vie et de la jeunesse. Il brosse le portrait sincère et savoureux d’une famille ordinaire et retrace avec un remarquable sens du détail le parcours, les doutes et les espoirs d’un jeune Alsacien épris de liberté – qui deviendra, après la guerre, un personnage public aussi engagé qu’attachant.

Éditions de la Nuée Bleue

« En quête de vérité ». Fernand WEBER

En quête de vérité. Fernand WEBER
En quête de vérité. Fernand WEBER

Dérouler sa vie comme un tapis.

Chose pas forcément aisée pour qui la démarche consiste à meubler l’espace des réminiscences de son vécu, à identifier les indices ayant contribué aux écueils inévitables, mais aussi à l’épanouissement de ses rêves et de ses espoirs.

En voulant échapper à son destin d’enfant pauvre, le petit Joachim nous entraîne dans le sillage de son parcours du combattant, dans la solitude obligée de tout chercheur de vérité, avec pour support la détermination de fuir le milieu familial ensevelisseur de son besoin irrépressible de connaissance et d’ouverture sur le monde. La quête de liberté était à ce prix.

C’est ainsi que l’enfance a servi de tapis volant à ce réfractaire en herbe, le déposant aux portes ouvertes sur la vie. Il découvrit que bien des larmes de révolte et d’impuissance ont contribué à la poursuite de sa quête de justice et de partage.

Éditions Bénévent

« Passerelle de l’espérance. » Fernand WEBER

Passerelle de l’espérance. Fernand WEBER
Passerelle de l’espérance. Fernand WEBER

Pologne, 1921. Térésa et Tadeusz se sont connus à Cracovie lors de leurs études. Après leur diplôme, Tadeusz est engagé par le comte Mieskoska pour administrer son domaine agricole en Voïvodie. Le comte et la comtesse accueillent chaleureusement le jeune couple, presque paternellement. Ils s’installent donc dans un magnifique pavillon près du château et en tant que régisseur Tadeusz offre à sa famille une vie bourgeoise. Mais il se retrouve confronté à de nombreux obstacles qui s’opposent à la mission confiée par le comte. La Pologne rurale de cette époque est encore très marquée par les différences entre les privilèges d’une aristocratie vieillissante et les rudes conditions de vie des moujiks. Le couple se heurte à la mentalité fermée du milieu rural qui les considère comme des nantis…

Cette saga passionnante met en scène l’histoire du peuple polonais à travers une famille, les Borowski-Wdowinski. La montée du nazisme en Europe de l’Est, la menace bolchévique et la guerre vont entraîner les protagonistes dans le tourbillon de l’Histoire. Une fresque pleine d’émotion, dans une langue riche et belle.

Fernand Weber vit dans le Haut-Rhin. Il a déjà publié deux romans aux Éditions de la Nuée Bleue, Les beaux jours d’Avril (2008) et Le fils ingrat (2006), pour lequel il a obtenu le Prix de la Société des écrivains d’Alsace, de Lorraine et du Territoire de Belfort.

Éditions Thélès

« Malbrough s’en va-t-en guerre Soldats du Djébel pendant la guerre d’Algérie-Tunisie (1955-1957). » Fernand WEBER

C’est un défi que Fernand Weber lance au temps en redonnant vie à des événements qui ne sont jamais résignés à déserter sa mémoire.

Avec une précision d’orfèvre, il retrace ce que fut la vie âpre et difficile des soldats du Djébel lors des affrontements en terre d’Algérie.

Et même si les années se chargent d’insensibiliser, de façon bien hypocrite souvent, les traces du vécu, il n’en demeure pas moins ce qui constitue la réalité profonde inscrite dans la trame de l’histoire. La nôtre… La leur.

Éditions l’Harmattan (Collection Rue des Écoles)

Bérénice et Clodio

Bérénice et Clodio
Bérénice et Clodio

« Au fil de cette lecture, vous pourrez remarquer que mes personnages sont constamment en quête des valeurs qui devraient guider l’humanité : la liberté et la tolérance dans la paix.

J’ai essayé de mettre en valeur la fragilité des hommes et leurs difficultés à vivre en harmonie. En effet, soumis par la peur l’homme ne peut exprimer de bonté, il ne peut manifester aucune solidarité.

A travers mes convictions personnelles, je cherche à sensibiliser le lecteur, en montrant l’esprit de résistance qui anime des gens simples confrontés aux pouvoirs.

Pour eux, l’amour est le seul lien qui les attache à la vie. »

Yves Vernhes.

2002. Prix : 15€

« Quand fleurissent les genêts ». Yves VERNHES

Quand fleurissent les genêts
Quand fleurissent les genêts

En Aveyron, et dans la douceur de ses campagnes brillantes, sous l’or des genêts en fleurs, deux enfants construisent leur amour d’une candeur innocente et fraternelle. Sans exigences ni prétentions, préoccupés l’un par l’autre, ils ont la clef du secret. Leur amour devient l’histoire d’un long chemin rempli de fleurs pleines de miel, des arbres pleins de chants. Ils sont pénétrés par la joie discrète des champs et des landes. Le vent balance en tourbillons les nuages où les enfants se perdent en les suivant. Leurs sentiments de vérité, de simplicité et d’amour sont de vrais sentiments humains. Ils savent qu’il n’y a rien de mieux que l’amour, le vrai, celui qui donne la force et l’appétit de vivre. Parfois au détour d’un regard, prenons le temps de les écouter, mais aussi, de s’inspirer de leur franchise pour améliorer la vie de ce monde.

Je voudrais que cette galopade de mots raisonne dans les têtes comme les pas au fond de la forêt profonde des paroles.

 2005. Prix : 20€