7 à lire !

Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

« La Terre d’Oc du IVième au XIIième siècle » Essai historique de Gérard Veyriès

Gérard Veyriès
Gérard Veyriès

Gérard Veyriès présente son quatrième ouvrage à ses lecteurs.

Qu’est-ce qui stimule la curiosité historique de l’auteur ? Après ses deux ouvrages dédiés à la bastide de Lisle-sur-Tarn qui lui est chère, son regard s’est élargi sur les guerres de religion en Albigeois. Présentement notre historien lislois évolue dans un temps qui va du ive au XIIe siècle. Ce passage de l’Empire romain au royaume des Francs figurerait aux yeux de l’auteur  La Terre d’oc du ive au XIIe siècle – Essai historique. Ce titre, adressé à une période mal connue de notre histoire, ne manque pas de surprendre. Quel enseignement allons-nous en tirer ?

En écrivant ce nouvel ouvrage, ne risque-t-on pas d’inutiles répétitions par un retour sur les histoires des Gaules, d’Aquitaine, et de la Narbonnaise ?

C’est ce que nous avons d’abord pensé, mais à la réflexion il nous a semblé utile d’apporter en pareille matière, quelques aperçus originaux, et même des faits nouveaux, empruntés à des documents, à des ouvrages, dormant jusqu’à ce jour sous la poussière de diverses archives et bibliothèques.

Ce travail a pour objet de révéler « les prémices des destinées humaines » de la Terre d’oc. Dans cette nouvelle entreprise nous n’avons que le souci de l’histoire objective et pour cela nous nous servons des événements historiques. On ne saurait bien comprendre ces derniers que si, par un effort de sincérité, nous les replaçons dans le milieu où ils ont pris naissance au sein des diverses sociétés, afin de pénétrer les idées qui les ont inspiré et la mentalité des individus en ces temps là.

Avec cette nouvelle épreuve nous avons relevé le défi de faire revivre également quelques sites historiques de l’Albigeois. Aussi, dans l’intérêt de l’histoire locale et régionale, nous développons notamment celui de Monteacuto, Montagu ou encore Montaigut, (Montégut en Albigeois). Ici, l’origine de ce site nous reste méconnue par manque de documentation. Son horizon s’est cependant éclairci grâce à un travail de prospections. Et les documents acquis nous permettent de comprendre certains événements liés à la vicomté de Carcassonne, à la commanderie des Templiers de Vaour ainsi qu’à l’histoire du comté de Toulouse. (suite…)

« Le Chemin de Compostelle, sac à dos et droit devant » Maïté Lauzély Darbon

Maïté Lauzély Darbon
Maïté Lauzély Darbon

Après une belle carrière passée chez AZF, à présent, en parallèle avec ses nombreuses randonnées et ses thés dansants, Maïté Lauzely-Darbon concrétise son désir d’écrire : « Le Chemin de Compostelle, sac à dos et droit devant » est son troisième ouvrage.

Pourquoi aller à Saint-Jacques-de-Compostelle ? Cette route légendaire, empruntée depuis le Moyen-Âge, intriguera toujours.

Cache-t-elle des secrets mystérieux ? Procure-t-elle des forces ? Des émotions extraordinaires ?

Les humains sont-ils des êtres jamais tout à fait satisfaits de leur sort ? S’imaginent-ils obtenir sur le chemin l’hypothétique réalisation de tous leurs vœux ?

Quoiqu’il en soit, personne ne va à Compostelle tout à fait par hasard…

« Humour en séries TV » Auteur : Adélaïde, illustrateur : Frédéric Médrano, éditions « Mille-Plumes »

Adélaïde & Frédéric Médrano
Adélaïde & Frédéric Médrano

Avec « Humour en séries TV », retrouvez tous vos acteurs de séries télévisées préférés dans des situations cocasses, des rencontres improbables mais loufoques.
Des histoires pour rire, des histoires pour passer du bon temps, juste pour se faire plaisir.

Auteur : Adélaïde , illustrateur : Frédéric Médrano, format : 13.5 x 19cm , prix : 8.50 €, 82 pages.

Éditions Mille-Plumes :  http://www.milleplumes.com

Bernard Vavassori

Bernard Vavassori
Bernard Vavassori

Né en 1947 dans le Gers de parents émigrés italiens, Bernard Vavassori a enseigné l’espagnol pendant près de quarante ans dans plusieurs collèges et lycées de Midi-Pyrénées.

Amoureux des langues en général et latines en particulier, collectionneur de vocabulaire comme d’autres collectionnent les papillons, il a cherché à montrer la capacité du français méridional à exprimer de façon chaleureuse et colorée, les faits, les paroles et les sentiments du quotidien.

En 1999 il publie Avé Plaisir, recueil de mots et expressions issus de l’occitan et qui ont enrichi le français parlé dans le Sud-ouest. En s’agrandissant ce recueil s’est converti en dictionnaire sous le titre A bisto de Nas, publié en 2002 (267 p.).

En 2005 il publie La Bise et l’Autan, dictionnaire de dictons et proverbes occitans commentés et traduits en français (330 p.). Les trois ouvrages mentionnés ci-dessus sont illustrés par le gascon Pertuzé et édités aux éditions Loubatières : http://www.loubatieres.fr

On peut trouver un addenda au dictionnaire A bisto de Nas sur le site internet suivant : http://www.abistodenas.sitew.com.

Contact :

Courriel : bvavas@club-internet.fr

« La Bise et l’Autan » Bernard Vavassori

Bernard Vavassori
Bernard Vavassori

Après Avé plaisir puis A Bisto de nas, dictionnaires des mots et expressions du français parlé dans le Sud-Ouest, Bernard Vavassori a voulu compléter sa moisson de phrases sonores et expressives qui agrémentent le parler méridional par ce dictionnaire où, locutions, proverbes et dictons occitans sont traduits en français afin que quiconque ne connaissant pas la langue du Sud de la France puisse tout de même en apprécier la saveur, et que ceux nombreux qui savent la lire puissent y retrouver la phrase originale.

Parmi les centaines de proverbes, dictons et autres locutions occitanes que nous avons rencontrés pour réaliser cet ouvrage, nous en avons conservé quelque trois-mille. Les plus pittoresques, les plus poétiques, les plus vrais.

La plupart émanent du milieu rural, fleuris des images des êtres, des choses et des phénomènes mystérieux qui étaient son quotidien. Toujours pleins de bons sens, quelquefois pessimistes, très souvent misogynes, parfois naïfs. Chaque fois émouvants car étant le legs degens humbles et travailleurs, tels que l’étaient nos parents et nos grands-parents pour qui le monde était rude, parfois impitoyable, souvent arbitraire.

Notre parti pris a été de classer ces expressions par mots-repères et non par thèmes. Ils ne sont pas non plus séparés par dialecte (gascon, languedocien ou provençal). Ainsi pourra-t-on trouver une phrase gasconne suivie d’une locution languedocienne, elle-même suivie d’un proverbe provençal. Ce qui pourra surprendre d’ailleurs, d’autant que le choix de la graphie diffèrera suivant la région. L’effet immédiat d’un tel classement est de faire apparaître malgré la diversité des écritures, l’unité de sens et l’homogénéité de la langue du Midi. D’Ouest en Est.

Le lecteur pourra également être surpris que la priorité soit donnée ici à la phrase française plutôt qu’à la phrase occitane, puisque c’est celle-là qui apparaît en premier dans les pages de ce dictionnaire. Le but ici est en réalité de célébrer, non pas la beauté de la phrase française, mais bel et bien celle de la phrase occitane. En effet, comment apprécier celle-ci, si le lecteur ne la comprend pas parfaitement ou même pas du tout ? Comment un lecteur de la France d’Oïl pourra-t-il percevoir la saveur de notre langue méridionale si au lieu de la lui traduire exactement nous lui donnons les équivalents extraits de sa propre langue ?

Notre objectif a donc été de donner à tout prix le sens littéral de la phrase.

Prenons quelques exemples :

Crompar a fuoc d’argent qui a pour équivalent français Acheter à prix d’or n’a pas été rendu comme tel mais justement par la traduction littérale, à savoir : Acheter à feu d’argent.

Voler èsser a l’autar e a las campanas qui sera rendu en français par Courir deux lièvres à la fois sera traduit par Vouloir être à l’autel et aux cloches, comme le dit mot pour mot le proverbe occitan.

Ainsi le lecteur pourra-t-il apprécier à sa juste valeur les métaphores dans chacune des deux langues.

Par ailleurs certaines appellations ou formulations populaires sont très peu connues aujourd’hui, même dans le Midi, car seule une minorité de gens comprennent ou parlent couramment l’occitan. N’est-il pas savoureux d’apprendre, grâce à la traduction, que dormir à la belle étoile se dit en occitan : dormir à la rosée du soir ou bien dormir au vent léger (dormir a la serena) ? Que la citronnelle devient l’herbe aux abeilles (l’èrba d’abelha) ? Que l’horizon se dit pied de ciel (pe de cèu) ? Que faire la tête devient faire une tête de sabot (far un morre d’esclòp) ? Qu’attraper un coup de soleil se dit attraper un coup de lune (agafar un cop de luna). Qu’un déjeuner de soleil ce sont des plantes qui fleurissent peu de temps (un dejunar de solelh), Qu’être vieux comme Mathusalem se dit avoir cent ans de dimanches. etc. ?

Imaginons modestement que ces images ignorées de tous les amoureux de beaux textes français se mettent bientôt à en orner et en agrémenter les discours, et que les dictionnaires signalent telle ou telle expression française, dorénavant couramment usitée, comme originaire de l’occitan – et pas seulement du « provençal » comme certains ouvrages avaient la fâcheuse habitude de mentionner à tort – on pourrait alors trouver par exemple dans le Petit Larousse 2029 :

Puce. n.f. (lat. pulex,-icis). Insecte pouvant atteindre 4mm (…) Fam. Il est l’heure d’aller faire téter les puces : il est l’heure d’aller se coucher (Origine occ. : Es ora d’anar far tetar las piuses). Avoir de l’argent comme un chien des puces : être très riche, être plein aux as (Origine occ. : Aver d’argent coma un can de piuses).

On peut bien rêver…

« A Bisto de Nas » Bernard Vavassori

Bernard Vavassori
Bernard Vavassori

A Bisto de Nas est un recueil de mots, expressions et tournures du français populaire parlé dans le Midi toulousain, et d’une manière plus large, dans le Sud-ouest. Les mots ou expressions sont des francisations de l’occitan (languedocien, rouergat ou gascon), les tournures sont souvent de simples calques de la syntaxe occitane.

D’aucuns diront qu’il s’agit d’un relevé d’incorrections françaises ; on peut les nommer aussi différences par rapport au français officiel, de la même manière que l’on reconnaît que le français parlé en Belgique, en Suisse, dans les DOM TOM, au Québec ou en Afrique est différent de celui parlé dans l’Hexagone. Parler d’incorrections laisserait supposer que l’auteur cherche à montrer comment il faut bien parler. Ce n’est pas le cas.

Parler de différences, c’est affirmer le caractère de la langue que l’on parle chez nous et revendiquer sa légitimité, même si celle-ci peut difficilement s’exporter en dehors des limites de la région. La langue maternelle c’est le cocon où l’on a vécu enfant. La retrouver, la parler, la défendre, l’empêcher de disparaître, c’est de l’amour filial. Vouloir la retrouver et l’écouter, c’est retrouver son quartier ou son village natal et les repères de son enfance. Amour ? nostalgie ? Prévert disait « Je ne suis pas un nostalgique du passé, mais c’était quand même mieux » Sous-entendu ‘avant’. Avant, c’était avant que tout le monde ne parle de la même manière, de Dunkerque à Melles (1).

Les expressions recensées dans cet ouvrage sont celles entendues par l’auteur, dans son village, dans son département et sa région. Celui-ci n’a pas fait d’enquête qui lui eût permis de les recenser toutes. D’autres s’en sont chargés (2). Il y manque donc toutes celles qui se disent dans tous les quartiers ou villages qu’il n’a pas fréquentés de près.

Les personnes les mieux représentées (et les plus citées) sont celles qui sont les plus proches de la terre et des milieux populaires. (La culture rapprocherait-elle de Paris et de la standardisation ?)

La démarche de l’auteur a été celle du photographe qui, craignant de voir disparaître les images de son enfance, multiplie les clichés, afin que l’on se souvienne dans 50 ans d’ici de la saveur de cette langue, lorsque les médias auront gommé toutes les particularités linguistiques de nos coins de France.

(NB : L’auteur a l’accent du Midi-toulousain et il entend le conserver, admettant que d’autres, nés ici, se mettent à prendre l’accent « pointu ». Tolérance.)

Dessins : Les dessins sont de Pertuzé, autre gascon à l’accent d’ici.

(1) Melles : dernier village de Haute-Garonne, avant l’entrée en Espagne.

(2) Voir Bernard Moreux, Robert Razou « les Mots de Toulouse, lexique du français toulousain » (Presses Universitaires du Mirail. Toulouse 2000).

André-Gérôme GALLEGO

André Gérôme Gallego
André Gérôme Gallego

L’auteur André Gérôme Gallego : Homme de communication reconnu, il a toujours eu la passion de l’écriture, comme une thérapie à accomplir chaque jour avec plus ou moins de bonheur, de force et d’ambition. Un besoin qu’il explique pour sortir du quotidien, se rapprocher de la vérité. Les premières lignes du «Fennec» ont été écrites, dans la ville qui l’a vu naître : Casablanca. Loin des siens, peu enclin à vivre le quotidien comme un touriste, il s’est enfermé dans sa demeure, enfin libre de profiter de cette quiétude apparente pour revisiter son passé. Faire le point, comprendre où tout avait craqué, quasi cédé à la pression des autres, de l’autre…

André-Gérôme Gallego, dirige, en France, un groupe de presse régional. Militant depuis toujours pour le rapprochement des peuples, il est Président d’associations caritatives comme «France Génération Plurielle» ou «Une Semence pour l’Afrique».

Contact : non disponible

« Le Fennec » Roman d’André-Gérôme Gallego.

André-Gérôme Gallego
André-Gérôme Gallego

L’Homme où qu’il soit et en quelque situation qu’il vive, ne prend jamais le temps de se poser, de faire un point fixe pour savoir où en est la machine. Simplement apprécier si elle est capable d’aller un peu plus loin.

Comme un train qui passe, il pense être programmé, inscrit sur les rails de la vie et quoiqu’il fasse, il avancera toujours.

Sauf qu’un certain jour, son passé, son destin le rattrapent, ressurgissent pour le surprendre et tenter de l’anéantir, lui faire payer sa négligence, son lourd secret jamais réglé. Acculé de toute part, pour la première fois sans soutien à portée de main, pour s’expliquer, se défendre… Alors au plus profond d’une cellule d’Ankara, dans la plus grande adversité il trouvera l’énergie, la force de remonter le temps, son temps. Analyser le mal qui se pose sur son chemin, s’affronter aussi, car il aura compris que la solution est en lui.

Il est croyant et Franc-Maçon, ce qui pourrait paraître incompatible pour certains, mais pour lui une force… Il puisera dans toute cette richesse, ce lègue humaniste hérité d’un grand-père juif et d’un père Grand Maître au Grand Orient, d’Afrique du Nord, l’espoir, la foi en demain. Un nouveau sens à donner à sa vie qui comme toujours, et surtout quand on s’y attend le moins, s’éclaircira par un présent inespéré…

«Le FENNEC», c’est l’histoire de celui qui a tout gagné, tout réussi, qui a connu les plus belles louanges, les meilleures relations et pourtant un jour tout s’effondre…

Éditions Ixcéa

« Défense d’oublier » Autobiographie de Catherine Polvé

Catherine Polvé
Catherine Polvé

Elles sont encore 156 à en mourir chaque année.
Ce livre retrace le parcours vécu d’une femme trahie, humiliée, battue par l’homme qu’elle aimait. Il lui faudra se défendre contre cette brute qui voit sa victime lui échapper. Elle ne pardonnera jamais et passera les étapes difficiles mais nécessaires, à la reconstruction d’une vie digne de ce nom. C’est avant tout une mise en garde pour les femmes qui vivent l’enfer des coups au quotidien. Elles sont encore 156 à en mourir chaque année. Le bonheur se mérite et pour le reconstruire, il faudra qu’elle affronte pendant des années, son bourreau machiavélique et procédurier. Elle retrouvera ainsi sa personnalité, sa dignité et le respect qu’elle revendiquait, s’étonnant d’être encore entière, autant physiquement que psychologiquement.

Éditions »Le Fil Des Mots » Moissac. Prix: 12,50€

« Histoire d’une bastide : Lisle sur Tarn » Gérard Veyriès

Gérard Veyriès
Gérard Veyriès

Voici le premier livre de l’histoire de la bastide de Lisle-sur-Tarn ; cet ouvrage nous permet de découvrir une partie des événements vécus dans cette commune.

L’auteur débute par la période Préhistorique entre le Tarn et le Tescou ; il poursuit, avec les tous premiers peuplements du pays Albigeois ; ce qui nous fait connaître un début de l’histoire de Montaigut en Albigeois. Ancien castrum, Montaigut devient par la suite un habitat de hauteur, sous la protection de son château fortifié et de ses vaillants chevaliers.

L’époque du Moyen Âge est relatée ; ainsi qu’une partie de la croisade menée contre les Albigeois qui, par le traité de Paris en 1229, mettra fin à ce conflit, et entrainera le démantèlement du château de Montaigut, comme bien tant d’autres en Terre méridionale.

Dans la période de 1230 à 1248, il est vraisemblable qu’une bastide « raimondine » a vu le jour, puisque c’est le comte de Toulouse Raimond VII, qui en est son fondateur. Ainsi, les habitants de Montaigut quittèrent leur site primitif et allèrent s’installer dans la plaine pour peupler « La Yla », cette nouvelle bastide / ville nouvelle portuaire. Cette voie fluviale ainsi que les nouvelles routes praticables, assurèrent un développement économique de son commerce et de son artisanat. À ce développement, s’ajoutèrent les crises politiques, sociales et ecclésiastiques.

Du nom primitif donné à une langue de terre « La Yla », cette appellation change de nom vers le XIVe siècle et devient Isla, Illa, puis plus tard l’Isle d’Albi. Et à la Révolution de 1789, lors de la création des départements, le nom retenu est Lisle du Tarn. Puis à la fin du XIXe siècle par un arrêté préfectoral, Lisle-sur-Tarn.

Dans cette monographie, l’auteur développe l’ensemble des forts moments historiques que connait chaque localité.

Ouvrage de 325 pages (format 16,5 x 24 cm), au prix public de 15 €, année de sortie 1998. Imprimé par la mairie de Lisle-sur-Tarn (Maire Jean Béteille). Rajouter les frais de port éventuels.

Distribution unique :

Musée Raymond Lafage
Rue Victor Maziès
81310 Lisle-sur-Tarn.

Tél. : 05-63-40-45-45

Courriel : musee.lislesurtarn@wanadoo.fr