L’auteur André Gérôme Gallego : Homme de communication reconnu, il a toujours eu la passion de l’écriture, comme une thérapie à accomplir chaque jour avec plus ou moins de bonheur, de force et d’ambition. Un besoin qu’il explique pour sortir du quotidien, se rapprocher de la vérité. Les premières lignes du «Fennec» ont été écrites, dans la ville qui l’a vu naître : Casablanca. Loin des siens, peu enclin à vivre le quotidien comme un touriste, il s’est enfermé dans sa demeure, enfin libre de profiter de cette quiétude apparente pour revisiter son passé. Faire le point, comprendre où tout avait craqué, quasi cédé à la pression des autres, de l’autre…
André-Gérôme Gallego, dirige, en France, un groupe de presse régional. Militant depuis toujours pour le rapprochement des peuples, il est Président d’associations caritatives comme «France Génération Plurielle» ou «Une Semence pour l’Afrique».
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Le devoir de reconnaissance
Lorsque André-Gérôme GALLEGO m’a proposé il y a quelques temps de collaborer au « Journal Toulousain », cela m’a rendu assez perplexe quant au contenu de mon propos.
J’ai commencé la lecture de son ouvrage « Le Fennec », ce qui me permet de le comprendre un peu mieux, si tenté que l’on peut comprendre un être humain à travers ses arcanes et au prisme de son propre cadre de référence.
Que d’incompréhensions, de jugements inconsidérés, d’erreurs, de torts, de fautes irrémédiables, de crimes parfois ont pu être commis en toutes bonne fois par ceux qui ne pensent pas comme nous, et qui prétendent détenir la seule vérité.
Cette constatation sert de postulat à mes recherches historiques qu’André (c’est plus court) a bien voulu accueillir aux éditions de l’ Ixcéa.
On en reparlera plus tard, et en attendant je me dois de poursuivre la lecture passionnante du « Fennec » dont je voudrais rendre compte à la fin.
Ce que je sais déjà, c’est qu’André est un homme BIEN, au sens noble du terme, et qui pense et agit par lui-même, loin de tous pouvoirs et de toutes pressions.
Il n’a qu’un objectif, c’est celui de voir le FRERE à travers l’ « Homme », puissant ou misérable, quelque soit son origine, sa couleur de peau, et bien sûr sa religion.
Au jour d’aujourd’hui cela devient rare.
Ainsi à-priori rien ne devait nous réunir, et pourtant nous fréquentons les mêmes personnes qui ont la même générosité, ne serait-ce qu’au sein des associations littéraires dont nous faisons partis.
Je pense plus particulièrement à Robert LINAS, l’animateur infatigable du site « http://www.o-p-i.fr/7alire » à Monclar de Quercy, où il organise de remarquables Salons du Livre et accueille tout au long de l’année plus de 60 auteurs, souvent de grand talent et qui n’ont pas l’honneur d’avoir les faveurs d’une certaine gentry toulousaine ou fortiori parisienne. Qu’ils soient rassurés, malgré cet ostracisme, le succès populaire est au rendez-vous, même si certains médias sont parfois absents.
Tant pis pour eux, ils perdent cette force vive qui enrichit le patrimoine d’autres amateurs éclairés.
Il ne faut pas oublier non plus Emilie Viader qui anime avec beaucoup de goût et d’éclectisme le site de cette merveilleuse région du Tescou, qui est aux portes de Toulouse … et qui est bien connue des Hollandais, des Allemands et autres Britanniques.
Enfin l’adorable romancière et poétesse Hélen March qui apporte son concours fleuri à diverses manifestations littéraires de renom, et récemment au « Journal Toulousain ».
Mais il nous faut choisir, soit suivre le courant descendant vers le « people », ou les publications à scandales ( et il y a matière aujourd’hui à tous les niveaux de la société ), soit tout simplement savoir dire à quelques uns tout le bien que l’on puisse penser d’eux, sans que cela puisse paraître suspect ou incongru.
« Panes et circences » pour les uns, « Fraternité » pour les autres.
Jean de Levat
A L’ATTENTION DE M. André Gerôme GALLEGO
Bonjour M. GALLEGO,
Un ami m’envoie votre article concernant le drame d’Itamar. Je partage et souscris à ce que vous écrivez car tout est strictement vrai.
Que deviendrez les marchands d’armes sans cette culture intense de la haine ? (bâtie sur des mensonges).
Je vous remercie de dire haut et fort et d’écrire ce que la presse et ses journalistes occultent.
Je suis de tout coeur avec vous et vous rermercie très vivement. Avec mes meilleures salutations.
Renée KOHN
bonjour M. Jean de Levat,
juste des remarques sur les fautes de français que je viens de voir dans votre texte intitulé « le devoir de reconnaissance » :
vous écrivez « si tenté que » au lieu de « si tant est que ». vous devriez la corriger car cela rend incompréhensible cette phrase.
par ailleurs la locution adverbiale « a priori » ne comporte ni trait d’union ni accent.
vous écrivez également « dont nous faisons partis » au lieu de « dont nous faisons partie »
enfin : « quelques-uns » s’écrit avec un tiret.
votre culture étant immense par ailleurs, permettez-moi d’apporter cette petite pierre à l’édifice de votre immense savoir.
avec toutes mes amitiés,