Je m’appelle Michèle SARLAT je suis née dans le Gers.
Après des postes dans les domaines de la gestion et du droit j’ai choisi de devenir professeur de Français pour les étrangers afin de pouvoir consacrer plus de temps à l’écriture que je sentais devenir nécessaire. J’écris essentiellement des nouvelles même si j’ai publié un roman. Depuis j’ai un grand bonheur à y accorder chacun jour beaucoup de temps ; Je consacre souvent deux heures à la marche pendant lesquelles mes personnages sont présents, des moments de créativité très féconds. Il y a peu de temps que je suis publiée par Azart éditions atelier.
Mon 3ème ouvrage vient de sortir. Il s’intitule « Eventail de mignardises autour d’une tasse de café ». Je parle des femmes, et de la difficulté d’être mère et femme à la fois.
Michèle SARLAT
8 rue François Verdier
32600 L’iSLE JOURDAIN
Auteurs inscrits au 10ème salon du livre et de la BD du dimanche 3 mars 2019 à Nègrepelisse (82800)
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Sylvie Anahory a suivi une formation en histoire de l’art, histoire et anthropologie. Elle a fait des études doctorales sur le thème de la gémellité en Grèce ancienne et la symbolique du double sous la direction de Pierre Vidal-Naquet.
Elle publie des articles et ouvrages en histoire de l’art et anthropologie dans des revues pédagogiques et universitaires et écrit également des manuels scolaires.
Elle donne des cours à l’Université pour tous d’Albi (Tarn) depuis 2014 sur des thématiques en lien avec l’image, le cinéma et les mythes.
Depuis quelques années, elle écrit des nouvelles dont plusieurs ont été sélectionnées La Souricière, Autres…
Avec La Jeune Fille et la mort, elle remporte le premier prix de la nouvelle de l’édition 2015 du Salon du livre de Gaillac, présidé par Gérard Mordillat.
Puis elle s’intéresse à la vie d’un ancien séminariste élevé chez les jésuites à Huesca (Aragon), devenu républicain pendant la guerre civile espagnole et résistant pendant la Seconde Guerre mondiale. Son parcours de vie incroyable et romanesque lui inspire l’écriture d’un premier roman mêlant fiction et faits réels : Aucune terre ne sera mienne, publié aux éditions Cairn.
Elle vit aujourd’hui dans le Tarn près d’Albi.
Lors du 24ième salon du livre de Mirepoix « Mirepages », le prix spécial du jury a été décerné à Sylvie ANAHORY pour le livre « Terres de sel » . Editions Cairn. A Mirepoix le 8 juillet 2018 .
L’OREILLE QUI VOITest une revue consacrée à la bande dessinée et aux autrices et auteurs de la région Midi Pyrénées, Occitanie. Des talents émergeants encadrés par d’autres plus émergés.
Un premier numéro est paru au mois d’octobre 2018, 18 artistes y ont participé,c’est un trimestriel, le prochain numéro paraît en janvier 2019.L’Oreille qui voit est aussi une association qui commencera en février 2019 la création de concerts illustrés, sa 2ème branche d’activité, une musicienne / un musicien et une dessinatrice / un dessinateur sur la même scène.
Alors comme on dit : « L’Oreille qui voit, ça vaut le coup d’œil et le bouche à oreille, »
Le Métis de Cao Bang est un roman historique qui a pour toile de fond la guerre d’Indochine. Il s’agit de l’histoire des enfants nés d’un militaire français, et d’une congaïe, c’est-à-dire d’une Vietnamienne. Une histoire douloureuse : une identité laborieuse.
Après la défaite de Dien Bien Phu, la France a procédé au rapatriement de ces enfants, orphelins ou abandonnés de leur père. Leur mère a rarement pu les suivre. Une nouvelle vie a commencé pour eux, souvent difficile : centres d’accueil, écoles militaires, orphelinats…
Ce roman retrace au travers de l’histoire émouvante de l’un de ces métis, le cheminement de leur intégration, mais aussi la recherche parfois tardive de leurs racines, de leur famille française et vietnamienne, de leurs origines.
Lorsque le grand maître ès suggestion Iradok quitte Euskala à bord d’un vaisseau piloté par Izarra, la navigatrice qu’il convoite, il est loin de deviner que rien ne se passera comme il l’avait planifié. Le navire transporte, à l’abri d’un stabilisateur du temps, un vivarium de jeunes gogorkis issus du troupeau. Les euskaliens, de grands oiseaux aux pouvoirs psy, ont en effet asservi ces primates au moyen de la religion. Ainsi tirent-ils du sol la précieuse silice fluidique, génératrice de lumière. Sans elle, la planète rongée par un crépuscule perpétuel ne pourrait survivre. Euskala pillée, la Quête de silice fluidique jette les euskaliens sur des routes intergalactiques semées de tunnels spatio-temporels. Objectif : soumettre les exo-espèces aux exigences de la Quête. Lorsque Sagar, gogorki de compagnie nanti de capacités psychiques, atterrit dans le troupeau, il prend conscience des aberrations du vivarium et cherche à déjouer les pièges de la Suggestion. De même, Izarra la Grande, confrontée à toutes les convoitises, et Agoun, le mousse rebelle, luttent pour sauver leurs plumes. À l’intérieur du cristal-témoin, euskaliens et gogorkis posent sur l’autre un regard qui fait vaciller toutes leurs certitudes. Quand le doute met son grain de sable, les rouages de la Quête se grippent. Que vaut en effet une cargaison de silice fluidique face à l’étincelle de l’Amour unique ? Servie par la plume poétique de Claudine Candat, Poussière de sable, L’épopée euskalienne est aussi un roman philosophique où les questions du libre arbitre et de la servitude s’incarnent dans des personnages qui nous touchent et nous ressemblent tout en étant autres.
Dimanche 3 mars 2019, à 16h au centre d’art et de design au château de Nègrepelisse. , conférence de Michel Arquié « Les progrès de l’aviation de 1906 à 1918, dans le cadre du 10ème salon du livre de Nègrepelisse (82)
En cette période de commémorations, comme d’ailleurs il y a cent ans déjà, les exploits sur médiatisés de Guynemer et du Baron Rouge, tendent à occulter les extraordinaires progrès qui furent ceux de l’aviation à ses débuts. C’est pourquoi nous essayerons de parcourir les chemins des pionniers, à la conquête du ciel, de 1906 à 1918. Michel Arquié
Julia est infirmière puéricultrice, son mari Paul instituteur. Tous deux sont passionnés par leur métier auprès des enfants, mais ils ne parviennent pas à devenir parents. Julia n’accepte pas cette cruauté du destin. Jusqu’où la conduira ce désir puissant, inassouvi ? Quelles folies risque-t-elle de commettre en son nom ? Paul résistera-t-il à la belle Agathe, dans la tourmente ?
C’est aussi la tempête pour Mathieu, médecin renommé, qui voit sa réputation vaciller en même temps que toutes ses certitudes.
Quant à Clémence, jeune infirmière séduisante, qui est-elle vraiment ? Le sait-elle seulement ?
Sur fond de toile hospitalier et très actuel, leurs destins vont s’entremêler, leurs vies basculer. Pour le meilleur ? Ou pour le pire ?
Présentation
« A faire voler nos âmes » conte l’histoire de personnages à l’acmé de leur vie, chacun pour des raisons différentes.
Ce roman très contemporain aborde des sujets douloureux et sensibles. L’infertilité d’un couple confronté à ses limites, la fidélité, les enfants, la carrière et ses enjeux… En somme tant d’obstacles et d’expériences que chacun peut rencontrer sur son chemin de vie !
Nous accompagnons Julia et son désir lancinant d’enfant, Paul qui tente de la suivre, Clémence en quête d’amour, le chemin compliqué de Mathieu, les espoirs d’Agathe… Nous vibrons et trébuchons avec eux, nous comprenons leurs forces et leurs faiblesses, tellement similaires aux nôtres, et nous espérons aussi, malgré tout, leur renouveau.
Après ses deux premiers livres « L’Aigle du LAGAST » dans lequel il rend hommage à son père passionné de vélo puis dans « Eh bé! la Mairie!? » où il retrace ses quatorze années de secrétaire de mairie d’une commune rurale Joël SERIN écrit son premier roman « Kémer la Poisse » dans lequel, a travers le personnage central il égratigne le football professionnel. Entre un père débauché, une mère battue, violée, une sœur brillante élève,la violence, le sexe, la maladie, la mort, la religion se confondent dans un étrange ballet. L’auteur reconnaît que certains passages sont durs, hard mais nécessaires pour faire ressortir le désespoir de l’un des personnages.
Agé de 67 ans l’auteur aujourd’hui retraité a été lui même initiateur de football. Il vit à Arvieu où il est conseiller municipal et partage son temps entre l’écriture et son sport favori le cyclisme.
Diplômée notaire, Victoire Sentenac est devenue infirmière puéricultrice aux termes d’une reconversion professionnelle passionnante, et travaille aujourd’hui au sein d’un grand CHU.
Elle est auteur de romans contemporains, dont le premier « La nuit sur les toits », une histoire d’amour forte, passionnelle, dramatique et pleine d’espoir en même temps, rencontre immédiatement un grand succès sur la toile.
Son deuxième roman, « A faire voler nos âmes », aborde des thèmes très contemporains, douloureux et sensibles à la fois, et reflète les multiples obstacles et expériences que chacun peut rencontrer sur son chemin de vie.
Enfin, pour son dernier roman « Et entendre ton rire », bientôt disponible à la vente, Victoire Sentenac s’inspire directement de son expérience professionnelle auprès des enfants et rend hommage à tous ceux, hommes et femmes, qui croient encore aux valeurs de l’amour et du partage, sans omettre toute la complexité de l’âme humaine et ses versants les plus tourmentés. Une ode à la tolérance et à l’humanité tout entière.