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Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

Prix ADER 2015 : Participez avant le 15 mars 2015 !

L’Amicale des Écrivains Régionaux (ADER) décernera en 2015 un Prix littéraire ouvert à tous les écrivains francophones.
Il sera attribué à une nouvelle éditée en 2013 ou 2014, non primée par un autre Prix.
Un exemplaire du livre original dans lequel la nouvelle est publiée ainsi que trois copies de la nouvelle seront envoyés, par courrier postal non recommandé, au siège de l’Amicale avant le 15 mars 2015, avec toutes les références de son édition.
Une lettre de candidature sera jointe à l’envoi. Elle comportera les coordonnées de l’expéditeur : nom, prénom, adresse postale, adresse courriel, n° de téléphone ainsi que 2 enveloppes timbrées pour recevoir l’accusé de réception de l’envoi et le palmarès.
Pour couvrir les frais de gestion du prix, chaque candidat devra joindre à son envoi la somme de 5 € pour les adhérents de l’Amicale des Écrivains Régionaux et de 10 € pour les non-adhérents, sous forme d’un chèque à l’ordre de l’ADER.
Le jury sera composé d’écrivains membres de l’Amicale. Ses décisions seront sans appel.
Le lauréat primé recevra un diplôme, dont il pourra faire un usage promotionnel, ainsi qu’un lot de bandes qu’il pourra ajouter à la couverture de son livre. La bande  comportera le titre et la date du Prix, ainsi que son origine, l’Amicale des Écrivains Régionaux.
L’attribution du Prix aura lieu au Salon du Livre de Figeac (Lot), dimanche 31 mai 2015.
Les livres et les copies des nouvelles non primées ne seront pas retournés à leurs auteurs.
La participation au prix littéraire ADER implique l’acceptation totale du présent règlement.

Contact : Amicale des Écrivains Régionaux  (ADER)
23 rue des Crêtes
12850 ONET LE CHATEAU
Site : www.amicaledesecrivains.fr

Rencontre avec Jean de Levat pour l’ensemble de ses œuvres

Présentez-nous vos ouvrages en quelques mots ?
Mes ouvrages sont placés sous le signe de « L’Histoire démystifiée ». Ils sont le fruit de plusieurs années de recherches et d’études et ont été reçus dans les bibliothèques des plus grandes Universités mondiales. Ils sont diffusés dans plus de 40 pays à travers le monde, et occupent plus de 300 rubriques (30 pages) sur Google.
En France, ils sont proposés dans les principales chaînes de libraires avec le soutien du CNL – Centre National du Livre (Ministère de la Culture), comme « Les libraires » (120) ou « Place des libraires »(200).

Pourquoi avoir écrit ces livres ?
Napoléon disait « L’Histoire n’est que mensonges », et les principaux magazines comme l’Express ou le Point ont consacré des numéros spéciaux sur ce sujet. Passionné par l’histoire, c’est-à-dire le passé qui a fait ce que nous sommes, les racines dont nous sommes issus, et que nous devons respecter pour vivre en harmonie avec la nature.

D’où vous est venue votre passion pour l’histoire ?
C’est un atavisme familial, avec deux grands-pères membres de l’École Française de Rome, et bien plus loin encore.
Élevé par les « bons Pères », je me suis rendu compte rapidement du double jeu de leur enseignement basé essentiellement sur la crédulité de la Foi, le dogmatisme de « la vérité révélée », et non pas sur une quelconque raison scientifique.
L’un des amis de Voltaire, Thirry d’Hobach a dit: « C’est de l’ignorance et de la peur que sont nés les religions ».

Pourquoi préférez-vous écrire des essais ?
Nombreux sont aujourd’hui les écrivains de circonstances qui n’ont qu’une seule ambition, c’est celle de se faire connaître rapidement et de se faire du « fric » sur un scandale.
Et pour un public qui vit dans l’anecdote et le scandale c’est la manne des affairistes.
Ce n’est plus de la littérature, mais du fait-divers.
La forme de l’essai me semble convenir mieux à la recherche que tout autre mode littéraire.

À quel lecteur s’adresse vos ouvrages ?
Voilà le problème; mon lectorat vise les chercheurs et les érudits, ou encore les personnes cultivées, celles qui réfléchissent et qui évitent « la pensée unique ».

Quelles sont les principales qualités de vos livres ?
Ce n’est pas à moi de le dire, mais à mes lecteurs dont les références se trouvent ci-dessus. Il est dommage qu’à ce jour, il n’y ait pas plus de traductions.
En principe mes livres ont un style clair et agréable et n’ignorent pas la boutade.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers vos ouvrages ?
Comme la plupart des chercheurs, je tente de prouver que Dieu est une invention de l’Homme qui dans son ignorance, n’a pas d’autres explications par rapport à l’Univers.
Et pourtant la sonde Rosetta et le robot Philae, ou les expériences du CERN à Genève en apportent la preuve.
Sur le site Athéisme où figurent les noms des plus importants scientifiques ou penseurs, on trouve le nom de Jean de Levat.

Quel est le livre qui vous a pris le plus de temps à rédiger ?
Pour à peu près tous mes ouvrages, cela m’a pris au moins une bonne année pour chacun.

Pensez-vous qu’il n’existe pas de vérité historique ?
L’Histoire « officielle » est un conte fée comme le disaient déjà Socrate ou (Saint) Augustin. En fait, c’est de la pure propagande.
La boutade selon laquelle quand un Français arrive à Londres, il ne voit que des noms de défaites, est toujours d’actualité.

Quel est le livre dont vous êtes le plus fier ?
À coup sûr, ce sont Les mirages de Lourdes qui ont obtenus un succès à l’échelle mondiale, puisque diffusés dans plus de trente pays, malgré le fait que le texte n’ait pas encore trouvé de traducteur, sauf au Vietnam.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Mes ouvrages ne doivent rien à l’inspiration; mais sont essentiellement le fruit de recherches au plus haut niveau

Quels sont vos auteurs préférés ?
Bien évidemment les historiens, puis Victor Hugo, Balzac, Voltaire; Ronsard, Rabelais.
Et une bibliothèque de plus de mille livres

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Puisque mon recueil Le Sale air de la Peur a obtenu un premier prix International de littérature, je compte persévérer dans cette voie. Un ouvrage est en préparation.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
« Vivez si m’en croyez,
Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie » – Pierre

Rencontre avec Jean COLADON et Guy ASTOUL, auteurs du livre d’art et d’histoire « Montauban flamboyante et rebelle »

Rencontre avec Jean COLADON et Guy ASTOUL qui donneront une conférence dimanche 1er mars 2015 à 16h au 6ème Salon du Livre et de la BD de Nègrepelisse.

Jean COLADON et Guy ASTOUL
Jean COLADON et Guy ASTOUL

Jean Coladon Guy Astoul vous avez travaillé ensemble sur l’ouvrage « Montauban flamboyante et rebelle ». Quel est le point de départ de cette aventure artistique et historique ?

Nous étions tous les deux adhérents à la Compagnie des écrivains de Tarn et Garonne, tous deux passionnés par l’histoire de la ville et depuis toujours touchés par sa beauté. Souvent nous en avions parlé sans penser à en faire un ouvrage.

Guy Astoul : C’est en parlant devant Colette la femme de Jean et néanmoins mon amie de longue date qu’elle nous a lancé cette réflexion en forme de défi « mais qu’attendez pour en faire un livre ! » L’idée était évidente. On s’est mis au travail.

Alors comment l’historien et le peintre ont-ils travaillé ensemble ?

Jean Coladon : J’ai commencé à me balader dans la ville avec carnet de croquis et appareil photos, j’en ai ramené un nombre impressionnant d’images. Ça n’a pas été si facile parce qu’il a fallu frapper aux portes, rentrer dans les maisons, les hôtels particuliers, convaincre les gens de me laisser poser sur leur habitat un regard nécessairement intrusif, mais globalement les choses se sont très bien passées. Après il ne me restait qu’à m’enfermer dans mon atelier pendant…deux bonnes années !

Guy Astoul : Au fur et à mesure Jean m’envoyait ses premières aquarelles et j’ai bâti un cheminement littéraire et historique qui suivait le regard du peintre

Jean Coladon : Tu m’as quand même imposé quelques passages obligés ! Mais ils étaient, je l’avoue, indispensables à l’histoire de la ville.

Le résultat est un très beau livre d’aquarelles sur la vraie ville rose qui sera présenté le 1ier Mars au Salon du livres de Nègrepelisse et vous serez là pour le dédicacer. Dédicaces à la salle des fêtes, 14 Place Nationale toute la journée. Conférence à 16h à la cuisine, centre d’art et de design, esplanade du château à Nègrepelisse. Voir le programme

Contact : Salon de Nègrepelisse
Courriel : journalrobert@wanadoo.fr
Tél. : 06 71 00 29 25

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Rencontre avec Claude Rannou, un romancier passionné.

Rencontre avec Claude Rannou  le Dimanche 1er mars 2015 au Salon de Nègrepelisse (82).

Claude Rannou
Claude Rannou

– Claude Rannou, quels genres de livres écrivez-vous?J’ai une prédilection pour les livres qui s’inscrivent dans une période historique précise. Cela me permet d’immerger le lecteur dans une histoire qui n’est pas seulement de la fiction.

– C’est là que vous trouvez l’inspiration?

Le mot inspiration est trop galvaudé. On pense qu’il suffit d’avoir de l’inspiration pour faire de grandes choses. En fait, il faudrait plutôt parler de recherche et d’imagination.

– Alors comment travaillez-vous?

Je choisis une époque et un lieu. J’essaie de trouver dans les archives des personnes ayant existé à cette époque. Ce ne sont que des noms mais je remplis ces enveloppes vides de mes personnages et je les laisse ensuite vivre leurs propres expériences. Je ne sais jamais à l’avance ce qu’ils vont faire, même si je tente de les influencer.

– Vous allez présenter votre dernier ouvrage au salon de Négrepelisse ce 1 mars?

Oui, c’est le dernier volet d’une saga qui se déroule au 13ième siècle. Il fait près de 500 pages mais il se lit facilement, d’après mes premiers lecteurs. Il s’appelle « La fontaine des Aubets » et beaucoup de faits réels y ont été repris. C’est mon 6ième roman.

– Merci Claude Rannou et nous vous souhaitons un bon salon de Négrepelisse.

Contact : Salon de Nègrepelisse
Courriel : journalrobert@wanadoo.fr
Tél. : 06 71 00 29 25

« On les appelait les Hirondelles ». Marie BAULNY CADILHAC

"On les appelait les Hirondelles". Marie BAULNY CADILHAC
"On les appelait les Hirondelles". Marie BAULNY CADILHAC

On les appelait les Hirondelles….
Victoriana, Maria Antonia, Emilia, Felicia… étaient des jeunes Navarraises et Aragonaises qui, entre 1880 et 1930, ont quitté leur village pour venir travailler, en Pays basque, dans les fabriques de sandales. On les appelait les « Hirondelles », car comme ces oiseaux, elles revenaient en bande pour la saison.

La migration des Hirondelles
…Aux premiers jours de l’automne, après la récolte de pommes de terre, chaussées d’espadrilles, leurs affaires rangées dans de grands foulards, les jeunes Aragonaises et Navarraises, souvent mineures, abandonnent leur village … Elles se réunissent par bande à Isaba, village frontière de la vallée de Roncal (Espagne) De bon matin, … elles gravissent la montagne. Il y a des jours pleins de lumière où le chemin se dessine franchement et les jours brumeux où le sifflet de Juan, le berger secourable, les guide dans le brouillard. Bientôt, elles arrivent au col d’Ourdayté, aux portes de la France. Moments d’angoisse que la descente du col vers les gorges de Kakoueta. Malgré un pied sûr et une bonne connaissance de la montagne, une chute fatale est toujours possible. La saison augmente les risques du voyage… Au bout d’un chemin caillouteux et pentu, elles arrivent à Sainte Engrâce (Pyrénées-Atlantiques) où les attend, avec une charrette tirée par des chevaux, un parent ou un contremaître de l’usine, chargé de les conduire à Mauléon (Pyrénées-Atlantiques)

Mauléon, capitale de l’espadrille
…Au terme du voyage, les Hirondelles sont accueillies par les émigrés déjà bien installés dans les quartiers de la Haute Ville de Mauléon. Elles occupent réduits, soupentes, combles et mansardes, partagent la même soupe, le même matelas. Des sentiments de solidarité se manifestent dans cette communauté espagnole nombreuse, logeant dans des appartements insalubres. L’arrivée massive des Hirondelles provoque un entassement général à Mauléon.
Chaque immeuble dispose d’un cabinet « à la turque » pour 18 à 19 personnes. La toilette se fait à l’eau claire de la fontaine…
La sobriété, la frugalité sont les règles de l’alimentation. Les repas sont composés de migas, quelque chose de solide qui cale l’estomac (oignon, piment rouge, ail et pain coupé en tranches, revenus dans le suif de mouton fondu dans une poêle)…
Cette population, dure à la peine, n’a pas recours au médecin Ce n’est qu’en cas de grave maladie, qu’on fait appel à lui. Le plus souvent, il ne se fait pas payer…

Conditions de travail

Les conditions de travail n’ont rien à envier à celles du logement et de l’hygiène. C’est un travail pénible au milieu de la poussière épaisse et du bruit des machines de l’usine. Les femmes sont affectées à des travaux les moins qualifiés, les moins rétribués…
Dans son témoignage, Victoriana évoque ses journées commencées à la filature, poursuivies au tressage dans une autre usine, complétées encore par quelques heures supplémentaires. Un court instant lui est accordé pour le casse-croûte de midi. Victoriana court, court…
La longueur des journées, la dureté du travail n’arrêtent pas les rires et les chansons. Les Hirondelles sont des êtres jeunes, au caractère gai. Le soir après l’usine, pour améliorer l’ordinaire, elles se réunissent à l’extérieur, chacune à son banc, pour faire ensemble « le bout et talon ».
L’étude de leurs conditions de vie, les rencontres, la découverte de leurs villages pittoresques et sauvages, m’ont engagée à leur suite dans la traversée de la montagne par les gorges de Kakoueta, cavités mystérieuses et féeriques, en attendant l’arrivée à Mauléon, ville en plein essor, véritable ruche où le travail dans les usines d’espadrilles assurait le pain quotidien.
Le chemin retrouvé, jalonné de stèles, parcouru, aimé, a été source d’inspiration et de réflexion.

Que ces lignes rendent hommage à ces femmes de courage !

Publication en 2013 – Prix : 10 €

Disponible chez l’auteur Marie BAULNY-CADILHAC

« Frédéric, Ludwig et le Troubadour ». Françoise BACHMANN

“Frédéric, Ludwig et le Troubadour”. Françoise BACHMANN
“Frédéric, Ludwig et le Troubadour”. Françoise BACHMANN

Extrait :
« Les paupières de Clara s’entrouvrirent peu à peu, guidées par les chants des oiseaux.
Clara ramena le drap vers elle et couvrit ses épaules ; son regard se dirigea vers la fenêtre dont elle n’avait pas fermé les volets hier au soir. Après quelques instants, elle se leva. Elle ouvrit la fenêtre avec grâce et précaution, pour mieux écouter les dialogues des bavards ailés.
Une odeur marine arriva jusqu’à elle.
Au même moment, en pleine mer, quelque part où l’homme n’a jamais été, au milieu des cultures aquatiques, un dauphin s’amusait, comme tous les jours, à améliorer ses impulsions acoustiques et son audition.
Il perçut des sons d’un autre monde qu’il ne connaissait pas bien et pour s’en approcher davantage, il orienta son corps dans son vaste espace à trois dimensions. Son univers mental empli d’une liberté abondante organisa les informations et les images.
Il dirigea magistralement le faisceau de son écoute et de sa vision, à tel point qu’il réussit à atteindre intégralement puis à toucher les ondes de l’âme de Clara.
Parce que le dauphin aime les alliances, la communication et la découverte de nouvelles consciences, il partagea son expérience avec son peuple. Dans les eaux bleutées et chaudes, émerveillé par ce qu’il venait de découvrir, il suivit Clara, sans se soucier du temps qu’il passerait en sa compagnie. »

 

« Grandir à Strasbourg dans les années 1960 et 1970 ». Françoise BACHMANN

"Grandir à Strasbourg dans les années 1960 et 1970". Françoise BACHMANN
« Grandir à Strasbourg dans les années 1960 et 1970 ». Françoise BACHMANN

Dans les années 1960 et 1970, blotti dans les bras de l’Ill, le cœur de Strasbourg bat au rythme de son folklore, de ses Winstubs et de ses vies spirituelle et artistique. On écoute la radio régionale, on va à la messe le dimanche, on aime les distractions théâtrales et musicales comme les fêtes populaires. Les enfants, portés par un noyau familial protecteur, évoluent dans les sonorités du dialecte alsacien et de la langue de Molière. Sortie de la tourmente, la ville suit son destin. Messagère de la réconciliation franco-allemande, elle porte le drapeau de l’unité européenne engagée dès 1949. Les maisons à colombages, les empreintes médiévales, les grandeurs gothiques et les façades néo-alsaciennes se côtoient. L’industrie tisse sa toile. L’urbanisme fonctionnel et la politique d’habitat social font se dresser au sud de la ville les tours de la Meinau et du Neuhof. À l’ouest, les mailles hexagonales de Hautepierre se tissent. L’extension universitaire fait émerger les immeubles gigantesques de l’Esplanade à l’est, loin des maisons coquettes du quartier de la Robertsau, au nord. Les enfants ont grandi, témoins de la modernité et de l’importance de leur ville au sein de l’Europe. Non loin de l’immuable cathédrale Notre-Dame, le complexe du Centre-Halles et son centre commercial font surface. Face au parc de l’Orangerie, le Palais de l’Europe est construit. Au Rhénus, une foule bouillonnante de jeunes acclame ses idoles du rock.

En vente sur Amazon, Fnac, Chapitre, Decitre, Cultura, Payot, PriceMinister et dans les librairies sur commande.

« Le grand ange rose de Strasbourg – Funestes dédales ». Françoise BACHMANN

"Le grand ange rose de Strasbourg - Funestes dédales". Françoise BACHMANN
« Le grand ange rose de Strasbourg – Funestes dédales ». Françoise BACHMANN

LE GRAND ANGE ROSE

Roman policier

Le libraire Simon Braun a été retrouvé mort dans la crypte de la cathédrale de Strasbourg. Sous l’œil effaré du grand ange rose, le lieutenant Antoine Meyer et la jeune historienne Emma Parys sont chargés de résoudre l’affaire qui s’avère complexe. Alors que des faits insolites et effrayants se produisent dans la capitale européenne, la piste se tourne vers l’histoire de la cathédrale et de la fameuse horloge astronomique, source de légendes et de mystères.
Emma, belle et captivante et Antoine, surnommé Chechmann découvrent l’existence de la confrérie
Hora est dont le libraire était un membre. Ses amis pourront-ils supporter le poids du silence ? Quel lien y a-t-il entre la société secrète et l’assassin ? Meyer et Parys vont allier leurs forces et leurs compétences pour bloquer les rouages de l’engrenage mis en place par le tueur. Suspects, interrogatoires, peurs, menaces, mensonges… Et si la vérité était ailleurs ?

https://francoisebachmannlevy.fr/le-grand-ange-rose/

Les Éditions du Bord du Lot

Broché 220 pages

Pascale GUEILLET. Biographie

Pascale GUEILLET
Pascale GUEILLET

Auteur-compositeur-interprète pour l’enfance, je vis, crée et conçois mes albums en Ariège. Indépendante, j’ai créé mon groupe Chapeaubleu en 2003 et vais à la rencontre de mon public dans les salons du livre jeunesse. Je tourne en concert en France et en Belgique.
Chaque projet musical fait appel à des peintres et graphistes qui illustrent mes chansons avec talent. Leurs univers tous différents, est un vrai coup de cœur à chaque fois.

La vie de chapeau, chansons à swinguer, à rire, à rock’n’roller que les parents écoutent en cachette, illustré par Benjamin Garreau.
Sur les chapeaux de roues, carnet de voyage musical en quintet, illustré par André Pons / épuisé /
Chapotiron, voyage musical et nomade pour l’enfance, élu coup de coeur des bibliothèques de la ville de Paris en 2011, illustré par Anneliese Guttenberger
Envole-toi, chansons à partager avec les bébés, coup de coeur du magazine Montessori « L’enfant et la vie », illustré par Isabelle Gueillet
A paraitre en Mai 2015 :
Chanteline, l’une chante, l’autre dessine, chansons à vivre par la toute petite enfance, illustré par Pascale Breysse.

Contact :
Tél. : 05 34 01 55 85 / 06 27 27 57 40
Courriel : chapeau.bleu@yahoo.fr
Site : www.info-groupe.com/chapeaubleu/

Où rencontrer l’auteur de livres personnalisés, Maud Letellier ?

Maud Letellier, auteur de livres personnalisés en français, anglais, espagnol sera Dimanche 1er mars 2015 au 6ième salon du livre et de la BD de Nègrepelisse. En savoir +

Une jeune entreprise columérine (31) crée des livres personnalisés pour enfants.

Livres personnalisés pour enfants
Livres personnalisés pour enfants

Depuis quelques mois, une jeune entreprise columérine propose un concept innovant pour donner goût à la lecture aux enfants, en personnalisant les histoires avec des éléments personnels de l’enfant.

Les livres s’adressent principalement aux enfants de 2 à 8 ans mais rien n’empêche les parents de personnaliser une histoire pour profiter avec leur tout-petit d’un moment d’échange.

Ancienne institutrice, la gérante du site monlivrepersonnalisé.com propose également ces mêmes histoires en anglais et en espagnol, pour permettre l’apprentissage des langues étrangères.

Quels sont les thèmes abordés dans vos livres personnalisés ?
« Les thèmes proposés sont très variés de manière à répondre à toutes les attentes des enfants. Nous proposons quelques grands classiques tels que « Les 3 petits cochons » ou « La petite sirène », des histoires de princesses, de dinosaures ou de super-héros comme « Batman ». Les autres livres sont plutôt tourné les aventures de la vie quotidienne et aborde les thèmes, du cirque, du sport ou encore des animaux de la ferme. »

Quels sont vos premiers clients ?
« Nous avons régulièrement des demandes à l’occasion des naissances ou des anniversaires car les parents recherchent une idée originale de cadeau unique. La période de Noël est aussi très importante ! »

Comment vous est venue cette idée ?
« Je connaissais ce concept qui vient des États-Unis, mais les livres s’adressaient aux adultes. J’ai moi-même testé un roman dans lequel on pouvait personnaliser des éléments : les personnages principalement, mais aussi des objets personnels par exemple. Quand j’ai découvert que le concept existait également pour les albums de jeunesse, j’ai sauté sur l’occasion !  »

Si on veut commander un livre ?
« Tout se passe en ligne sur le site http://www.monlivrepersonnalisé.com, il suffit de remplir un petit formulaire (prénom, âge, ville, amis…) et le livre personnalisé est préparé puis expédié à domicile en quelques jours. »

Informations et commandes sur http://www.monlivrepersonnalisé.com

Contact : Maud LETELLIER