Le siècle veut cela : tout est à portée de tous. Ainsi, l’écriture. Pas grands investissements autres que le papier, la plume et l’encre. Floraison d’ateliers d’écriture depuis quinze ans. J’ai fait partie de cette éclosion. Cela m’a appris à écrire, puisque dans un atelier se côtoient les maîtres et les élèves, les patrons et les apprentis. Ainsi est né ce livre, pour que l’aventure née de l’air du temps s’inscrive dans une histoire, dans des histoires, des petits bouts de vie arrachés au quotidien dont on a enfilé quelques perles. J’ai voulu en faire de la littérature.
Tendresse et compassion, voilà ce que les gens que je côtoie m’inspirent. Ces quelques personnages croqués dans ces nouvelles ont une consistance, ils ont presque croisé ma route. Je leur prête mes mots, je leur emprunte quelques circonstances, je leur invente une beauté intérieure et avec un brin d’humour, je leur pardonne leurs mauvais penchants. Des gens comme moi, des gens comme vous, qui sont tout sauf anonymes puisque même Dieu, personnage à part entière qui apparaît ici et là, les aime d’une manière personnelle à travers ces pages.
Mon concept de la nouvelle est plus large que le genre communément admis. Il s’agit pour moi avant tout d’une écriture concise certes mais libre dans sa forme et qui s’emploie à puiser sa source dans le quotidien. Je ne cherche pas non plus la chute sensationnelle. Je finis plutôt par un point de suspension qui invite à réfléchir, ou à sourire. Dans chaque cas, c’est un nouveau prétexte à littérature et cela reste mon dessein principal.
Six nouvelles, six femmes comme une déclinaison grammaticale ou comme une déclinaison de la vie, de la jeunesse vers la vieillesse, de la révolte vers l’acceptation, Une variation sur la remise en question et sur la féminité. Six nouvelles plus ou moins longues, six femmes avec lesquelles on sympathise parce qu’elles sont vivantes, en dehors des clichés, et pourtant si proches de nous.
Pour ce livre, Nicolas Duivon s’est livré pendant plusieurs années à un inventaire méticuleux des différentes variétés d’Orchidées sauvages présentes sur le territoire régional de Midi-Pyrénées.
Il a établi une fiche d’identité pour chacune des 87 espèces répertoriées, indiquant leur localisation départementale et précisant leur niveau de rareté et par conséquent le niveau de risque de les voir disparaître un jour.
Les amateurs d’Orchidées sont de plus en plus nombreux ; le travail de Nicolas DUIVON est considérable et très utile pour que chacun prennent conscience de l’importance qu’il y a à protéger cette flore inestimable.
Photographe de formation, il a lui même réalisé l’ensemble des clichés qui, au-delà de l’aspect purement informatif, donne a son travail sa dimension artistique.
Il a introduit son travail par une définition précise de l’Orchidée. Il a complété l’ouvrage d’informations sur la protection des différentes espèces, leur période de floraison…
L’AUTEUR
Nicolas Duivon est né dans le Gard en 1972. Diplômé de photographie en 1992, il est installé en tant qu’artiste photographe depuis 2006. Membre de la Société Française d’Orchidophilie (SFO), il se passionne pour la photographie et l’étude des orchidées et publie son premier guide en 2006, (Guide d’identification des orchidées sauvages du Tarn, éd. Grand Sud). Celui-ci rencontre un certain succès (2000 exemplaires vendus) ; Nicolas Duivon décide de poursuivre son travail et de l’étendre à l’ensemble de la Région Midi-Pyrénées, avec l’aide de spécialistes locaux pour nous livrer ce guide exhaustif qui recense toutes les variétés d’orchidées sauvages présentes sur le territoire régional. Ce travail n’avait pas encore été réalisé ; ce guide est par conséquent le tout premier à être éditer sur notre région.
Format : 16 x 22 cm – broché à rabats Nombre de pages : 192
Prix : 24 Euros
Félix CASTAN a apporté une contribution essentielle à la compréhension de l’identité occitane millénaire. Il a exploré, dans le même mouvement, à travers de multiples chantiers tous les possibles pour que l’Occitanie trouve sa juste place dans le champ des cultures du monde. C’est dire que son apport, qui est tout l’inverse d’un prêt à penser, est une inépuisable source d’enseignements et de pistes pour réfléchir et dessiner l’avenir de l’Occitanie.
Ici vous trouverez de nombreux métiers à sous, qui provoquent le rire… Vous apprendrez les « ficelles du métiers » de ces drôles de professionnels, en écoutant parler les réparateurs d’oreillers, les laboureurs de la mer, les marchands de sable… Pour certains le métier est un art, pour d’autres c’est un sport ; c’est un gagne-pain pour les boulangers, et pour les forestiers c’est souvent un boulot. Il faut surtout éviter les jobs ou l’on risque de finir « pauvre comme Job » !
À quelques exceptions près, ils est conseillé de privilégier les métiers du chiffre à ceux des lettres, si l’on veut assurer ses faims de moi… comme l’écrirait mon psy !
» C’était la fin d’ un des siècles les plus tourmentés, doublée de la fin d’ un millénaire dont l’ enjeu nous dépassait. La fin – extraordinaire aussi – d’ une certaine façon d’ être sur la Terre. Pour ne pas rater ce rendez-vous, la narratrice porte la voix de sa génération, celle des » Guetteurs d’ infini « .
Guetteurs d’ infini est un livre solaire: c’ est le livre de l’ ardeur de la jeunesse, du triomphe de la lumière sur la nuit. «