Hélène Marche est une auteur toulousaine qui ravit les jeunes lecteurs autant que les adultes. Depuis la parution de son premier livre en 2008, personne reste insensible à la lecture de ses romans ou de ses contes animaliers bilingues parus aux Éditions Hors Limite. Dans son dernier conte publié en espagnol-français « Je m’appelle Oseille, l’âne savant des Pyrénées – Me llamo Oseille, el burro sabio de los Pirineos« , Hélène raconte avec humour l’origine du bonnet d’âne mais aussi, elle réhabilite l’intelligence, la sensibilité de ces animaux, trop injustement affublés d’une réputation erronée…
Pour connaître l’ensemble de ses ouvrages et toutes ses actualités, connectez-vous sur son blog : helenemarche31.over-blog.com ou sur le site 7/Alire (onglet auteurs : Marche Hélène).
« Jeudi 17, c’est jour de grève à l’école des Gais Pinsons. Trois enfants, chacun pour leur propre raison, s’associent pour une mission capitale : ramener leur maîtresse en classe. De son côté, loin des préoccupations des trois héros mais quand même pas si loin que ça, Dodo le pigeon entame une quête qui le mènera peut-être au trésor de l’Assiette Dorée. »
Collection en trois volumes
Editeur : Un café, l’édition ! – N° ISBN : 978-2-9543561-0-5 – 112 pages
Où se procurer l’ouvrage :
– Sur le site internet d’Un café, l’édition ! : http://www.uncafeledition.com/
– Chez n’importe quel libraire de France (à la commande)
– Sur Amazon, la Fnac et e-leclerc…
Au cours d’un week-end chez sa grand-mère, Louise découvre une malle dans le grenier de la maison. Elle l’ouvre et tombe sur un vieux livre. Dès qu’elle en commence la lecture, elle se retrouve transportée au XVIIe siècle sur un navire espagnol qui vogue vers les Antilles.
À bord, elle fait la connaissance de Bouba, un jeune garçon de son âge. Bien rapidement, les deux enfants sont embarqués dans une aventure extraordinaire au milieu des flibustiers, des planteurs et des esclaves. Ils devront affronter mille dangers, au péril de leur vie.
Mais ne dit-on pas que l’union fait la force ?
Editions de La Bourdonnaye – N°ISBN : 978 – 2 – 824 – 21120 – 6 – Prix : 9,50 €
Le partage des eaux … ou la croisée des chemins, ce lieu de toute vie où le destin bascule.
Ainsi en est-il des héros de cette histoire : Danielle, Marcel, Sophie, Julien…Au début, tout est possible. Mais qu’adviendra-t-il des liens tissés au cours de rencontres tantôt concertées, tantôt fruits du hasard ? Les relations se resserrent ou se distendent jusqu’au dénouement final, inattendu, imprévisible.
Ce roman, Jacques Goyens l’a construit selon un schéma de tragédie antique : une succession d’amours à sens unique qui ne peut trouver de solution que dans un événement tragique.
L’écriture au présent permet de suivre, comme sous l’œil d’une caméra, chacun des personnages dans ses avancées et retranchements, ruses et abandons.
Editions Comedia, Nîmes, 2005 – Format 20×14 – 220 pages – Prix : 16€
En 1956, lorsque les Russes envahirent la Hongrie, des dizaines de cars quittèrent Budapest à destination des pays d’Europe occidentale. En montant dans l’un ou l’autre de ces cars, bien peu de réfugiés savaient où ils allaient.
Ainsi va la vie. On ne peut jamais savoir en naissant dans quelle direction elle va nous mener. Le destin nous détermine ; mais a priori, une infinité de possibles se présentent.
Les neuf récits qui composent ce roman, entre unité et multiplicité, ne constituent pas une suite chronologique. Ils peuvent être lus dans le désordre. Il incombe à chaque lecteur de reconstituer la trame cachée de la destinée qui gouverne les personnages.
A la fin du roman, le narrateur, devenu écrivain, entre dans l’histoire.
Edilivre Editions APARIS – Format 20,5×14 – 214 pages – Prix : 18€
« Je me suis maintes fois demandé ce qui faisait l’unité de la France hexagonale, car je ne puis considérer que la Guadeloupe, la Réunion ou quelque autre Dom-Tom partagent au même titre que l’Île-de-France, la Bretagne ou le Languedoc la quintessence de l’esprit français. »
L’ouvrage répond à un double objectif :
1 – Fournir une information bien documentée sur les spécificités françaises.
2 – Apporter à ce tableau une touche personnelle : la vision d’un témoin extérieur quifréquente et observe la France et les Français depuis une trentaine d’années.
Munich, 30 septembre 1938 : Hitler, Chamberlain, Daladier et Mussolini se sont mis d’accord, la guerre n’aura pas lieu.
Jacques Goyens a écrit ce roman en hommage à tous les enfants conçus dans l’euphorie des jours qui suivirent la signature de ces fameux accords. Ainsi en est-il de Frédéric et de Barbara, les deux héros de cette histoire, projetés dès leur naissance dans une Europe où l’utopie de la paix avait fait place au chaos. Plongés dès leur plus jeune âge dans la haine et le mensonge, ils n’en ont pas moins gardé foi en l’avenir, volonté de tolérance et de compréhension entre les peuples.
Ce roman est aussi une belle histoire d’amour de deux jeunes gens qui, en dépit de la réalité, ont gardé la tête dans les étoiles. Au fil des pages, ils grandissent, découvrent le monde selon un schéma de roman picaresque.
Editions Lux, Avin, 1999 – Format : 22,5 x 14 – 278 pages – Prix : 18€
Il s’en souviendrait toujours. C’était un de ces trop nombreux jours de tempête qui peuplaient désormais sa vie. Le fameux réchauffement de la planète n’avait jamais autant congelé son âme. Figé ses énergies. Le froid s’immisçait partout. De ses rêves tristement monochromes à la recherche d’une ébauche d’arc-en-ciel jusqu’à ses douloureuses respirations qui rougissaient ses poumons bouillants. Son coeur s’obstinait encore sans plus de conviction à le mettre en garde. Mais à quoi bon, l’homme n’en ferait qu’à sa tête. Comme toujours.
On passe ici brutalement du sourire à la mélancolie, de la tendresse à la cruauté, du soleil à l’ombre…Trente nouvelles pétillantes qui s’enchaînent comme autant de bulles dans une coupe de fête. Pas un moment de répit pour souffler. ça fait sourire, ça interpelle, ça émeut, ça pique, ça démange, ça dérange, ça caresse…
Voilà un titre bien intriguant pour un album de dessins humoristiques.
Souvenez-vous ; il y a eu l’homme du Néant détale, puis le célèbre Trop Mignon, l’avènement d’Homo sapiens pour arriver aujourd’hui à l’homme content pour rien (Contemporain).
On a toujours passé sous silence l’étape la plus importante de notre évolution… Le Vino Sapiens.
Du fond des âges, un de nos ancêtres a eu la folie de ramasser un fruit en grappe, de l’écraser entre ses mains, pour enfin mettre le jus obtenu dans un récipient en bois et le laisser fermenter.
Il obtient ainsi un étrange breuvage, qu’il bu dans un élan de témérité. Le premier vigneron venait de naître, on l’appellera « Vino Sapiens ! »
D’autres l’ont suivi, améliorant le breuvage, jusqu’à en faire une boisson « culturelle » et « cultuelle ». Plutôt que de boire le sang du Christ, on boit du vin. Tout un symbole !
Le vin amena la bonne humeur, puis le rire et finalement le génie humoristique.
L’auteur a vendangé pour vous les meilleurs moments du « Vino Sapiens », les a pressés, puis a laissé fermenter pour vous, et finalement, il a rempli chaque album, tel une bouteille, d’un nectar d’humour avant d’y apposer son étiquette. La cuvée « Vino Sapiens » est prête, tel un vin nouveau apportant des arômes enivrants générateurs de rires. Si vous avez un ami nommé « Modération », surtout invitez-le à déguster cet humour sans limite.