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« Des cartes à la guerre ». Jean-Paul ESCALETTES

"Des cartes à la guerre". Jean-Paul Escalettes
« Des cartes à la guerre ». Jean-Paul Escalettes

Un général de Napoléon.    1798-1814.

Retrouvez le héros de « L’extraordinaire destin de Ponsolle-Santat 1769-1797 » dans de nouvelles aventures ! Après plusieurs mois d’aventures en Italie, il reçoit l’ordre de se rendre à Toulon. Où , le 9 mai 1798, il quitte Toulon à bord d’un navire pour une destination inconnue. Après deux mois en mer, il foule le sable d’Egypte ! Imaginez sa surprise!!! Sous le ciel étoilé du Caire, il découvre les plaisirs orientaux avec les Egyptiennes… De retour en France, le héros enchaîne les missions. Lors de la Paix d’Amiens, il se marie mais retrouve vite les combats comme sa génération. Il parcourt l’Europe des Pays-Bas à l’Espagne. Républicain, il refuse de prêter serment à l’Empereur mais continue à se battre, enchainant missions et aventures. Dans un Empire où le fait du prince devient la règle, il résiste à la colère impériale grâce au soutien de ses amis de jeunesse et de guerre. Pourtant de combats en combats, il est un général parmi tant d’autres. Il vit la chute de l’Empire à Toulouse en 1814. L’Empire s’écroule, il rencontre le maréchal Soult, c’est un nouveau tournant dans sa vie.

« Saragosse, une épine pour Napoléon ». Jean-Paul ESCALETTES

"Saragosse, une épine pour Napoléon". Jean-Paul ESCALETTES
« Saragosse, une épine pour Napoléon ». Jean-Paul ESCALETTES

Étude sur les deux sièges de 1808 et 1809, connus en Espagne connus sous le nom de Los Sitios.
L’auteur nous plonge avec précision dans l’Aragon et sa capitale. Tout en étudiant l’aspect militaire avec sa solide compétence Jean-Paul Escalettes nous fait découvrir cette population espagnole animée par sa fierté naturelle et son refus atavique des envahisseurs étrangers. Les militaires français de tout grade doivent gérer cette nouveauté : être rejetés par une population à qui les « Fils de la Révolution » souhaitent apporter la liberté des idées nouvelles. Comme il nous y a habitués l’auteur, cartographe émérite, enrichit son ouvrage d’un cahier de plans inédits extrêmement lisibles réalisés à partir des sources originales. Avec de splendides illustrations, on ne saurait oublier de signaler les notices complémentaires, une chronologie précise de la période, une bibliographie judicieuse, les descriptions des principaux lieux, une plaisante évocation autour des sièges et les notices bibliographiques des acteurs historiques tant Français qu’Espagnols. Au cours des deux sièges les Aragonais tiennent tête aux troupes napoléoniennes, démontrant la volonté d’indépendance du peuple espagnol. C’est l’un des tout premiers exemples de guérilla urbaine. Le 20 février, Saragosse se rend, après que la ville ait perdu la moitié de ses habitants. Les armées de Napoléon ont conquis une ville d’Espagne mais l’Espagne a gagné un mythe. A son habitude Jean-Paul Escalettes nous fait découvrir un épisode de l’Histoire européenne même si nous ne sommes pas des supporters ardeurs de la gloire napoléonienne.

« Au temps des souvenirs. Tome 3 ». Jean-Paul ESCALETTES

"Le temps des souvenirs, un général de Napoléon de l’épopée aux violettes 1815-1841." Jean-Paul ESCALETTES
« Le temps des souvenirs, un général de Napoléon de l’épopée aux violettes 1815-1841. » Jean-Paul ESCALETTES

Un général de Napoléon de l’épopée aux violettes

Retrouvez le héros des précédents romans ; retiré à Sorèze, il se tient loin des intrigues. Pourtant sa vie n’a rien de monotone ! C’est alors qu’il commence à rédiger cette suite d’ouvrages : sa vie, une saga de 23 ans aux Armées !
Ancien général, républicain convaincu, il porte un regard lucide sur les mouvements de son temps. Toute sa vie il a adoré lire, il peut enfin assouvir son penchant, et porte un regard neuf sur la littérature de son temps. Malgré des drames, il a la joie de retrouver ses amis de jeunesse. Lors du Retour des Cendres de l’Empereur, malgré son rejet de l’Empire, il se rend à Paris le 15 décembre 1840. Vivez cet événement avec lui comme si vous l’accompagnez durant cette grandiose et émouvante cérémonie : le grade et les amitiés de notre héros lui permettent d’être aux meilleures places pour voir l’Empereur rejoindre, selon ses dernières volontés, Paris. Il pleure sa jeunesse et ses amis disparus.

« Des Grognards à Napoléon, Les cuisines de l’Empire. » Jean-Paul ESCALETTES

"Des Grognards à Napoléon, Les cuisines de l’Empire." Jean-Paul ESCALETTES
« Des Grognards à Napoléon, Les cuisines de l’Empire. » Jean-Paul ESCALETTESSuivi d’un recueil de recettes pour les cérémonies et le bivouac.

« Le soldat français est le seul, en Europe, qui puisse se battre à jeun » Napoléon I°
Malgré cette affirmation Napoléon I°, en 1806, attribue une somme d’argent (masse d’ordinaire) pour mieux nourrir les troupes en campagne car, explique-t-il, un soldat ne se bat bien que s’il a le ventre plein. On peut être Empereur, dire une chose et faire le contraire… De la théorie à la réalité, il y a plus d’un pas de soldat ! Se nourrir se complique quand le pays est pauvre si en plus, comme en Espagne, la population est hostile : en recherchant de la nourriture on s’expose aux embuscades. Retrouver leur quotidien, c’est célébrer le courage qui les a menés aux quatre coins de l’Europe, le plus souvent le ventre vide. De leurs périples guerriers, ils ramèneront recettes ou mets nouveaux et introduiront leurs propres habitudes. Napoléon I° institutionnalise la table. Il transforme les agapes fraternelles entre gastronomes, officiers ou soldats en instruments de gouvernement. Clin d’œil de l’histoire, c’est sous son règne que le service à la française commence à être supplanter par celui à la russe ! Grands cuisiniers ou grands gastronomes du Premier Empire marquent l’histoire culinaire pour des siècles. En cela ils rejoignent l’Empereur dans la légende ! A côté de l’usage politique de la table et de la connaissance gastronomique, l’auteur a voulu retrouver le quotidien de ceux qui ont gagné les batailles de Napoléon avec leurs pieds ! Une cuisine simplifiée par les obligations militaires va à l’essentiel, seul l’uniforme distingue entre le champ de blé et le champ de bataille. L’expérience des bivouacs s’enrichira de quelques recettes faciles à réaliser au cours des journées historiques. Rien de tel pour la paix des peuples qu’une bonne soupe partagée autour du feu…Et aujourd’hui, le Devoir de Mémoire peut passer par la Table. Les valeurs culinaires européennes doivent se défendre la fourchette à la main !!!

« Petit précis du 10 avril 1814, la bataille de Toulouse, les généraux, l’armement, la vie quotidienne, les lieux ». Jean-Paul ESCALETTES

"Petit précis du 10 avril 1814, la bataille de Toulouse, les généraux, l’armement, la vie quotidienne, les lieux." Jean-Paul ESCALETTES
« Petit précis du 10 avril 1814, la bataille de Toulouse, les généraux, l’armement, la vie quotidienne, les lieux. » Jean-Paul ESCALETTES

Le grand aigle qui dominait l’Europe vient de replier ses ailes, depuis le 6 avril 1814 mais Toulouse ne le sait pas encore. Napoléon de son côté ignore que la dernière bataille de l’Empire, qui, au regard de l’histoire, apparaît comme inutile, oppose dans la capitale du sud-ouest l’un de ses maréchaux, Soult, à celui qui deviendra son vainqueur à Waterloo (un an plus tard): Wellington. Dans les jours qui précèdent la bataille, 65 000 Toulousains craignent pour leur ville. Le 10 avril, ils tremblent, pour leur vie. La ville cernée a peur. Les hommes sont usés, épuisés par la longue Guerre d’Espagne qui dure depuis sept ans. Comment assurer la victoire qui devient vite hypothétique face à l’ennemi doté d’un armement puissant et qui campe très vite sur des positions stratégiques. 42 000 soldats français occupent la cité cernée par 50 000 soldats ennemis dont 13 000 espagnols. Les Toulousains connaissent les atrocités commises en 1808 et 1809 aux deux sièges de Saragosse. Les Toulousains redoutent que les Espagnols, nombreux à vivre parmi eux, ouvrent les portes de la ville à leurs compatriotes qui sont sous les ordres de Wellington. Les Espagnols vont-ils se venger ? Le 10 avril au matin, les fusées à la Congreve (du nom de l’Anglais qui les mit au point), arme terrifiante et dont la portée est supérieure au meilleur canon de l’époque, s’élancent dans le ciel de Toulouse. Quinze heures durant, 173 canons tonnent sur la Ville Rose. Dans les faubourgs de la ville, le long de l’ers les combats se multiplient. Héros d’un seul jour, Wellington, entre en vainqueur dans Toulouse… 975 hommes auront perdu la vie, dont un lieutenant-colonel anglais, Forbes, et un général de division français, Taupin, on dénombre des deux côtés plus de 6000 blessés. La municipalité de Toulouse donnera à quelques rues des noms rendant hommage à ces combats : rue 1814, du 10 avril, Taupin, avenue de la colonne (qui commémore la bataille, sur la butte de Jolimont). Ce petit précis est issu de l’ouvrage suivant paru en 1999 (du même auteur et chez le même éditeur) augmenté notamment de descriptions des lieux toulousains qui évoquent cette bataille. L’auteur s’est particulièrement attaché à rendre vivante cette journée historique.

« Le Prince du désert ». Béatrice ORTEGA

"Le Prince du désert." Béatrice ORTEGA
« Le Prince du désert. » Béatrice ORTEGA

Elle ouvrit un œil, complètement dans le cirage, et regarda autour d’elle. Elle était bien dans le désert tunisien. Faustine aperçut Nacim près des méharis qui avec Abdul, leur donnaient à manger. Que voulait dire ce rêve si étrange qui se passait en Égypte au Temple d’Isis, elle avait remonté le temps, mais pourquoi ? Quel mystère pesait sur elle …

ISBN 979-19-6907061-00-1 – Prix : 12 Euros – 142 pages

« Une ombre dans la nuit ». Béatrice ORTEGA

"Une ombre dans la nuit." Béatrice ORTEGA
« Une ombre dans la nuit. » Béatrice ORTEGA

Ses yeux brillent et la haine qui s’en dégage fait frémir l’avocat. Son teint est devenu livide. Christoph la regarde hébété, se demandant si elle ne va pas lui sauter à la gorge. Il tente de demeurer de glace, pourtant les battements de son cœur se sont accélérées et quelques sueurs froides viennent hérisser sa moelle épinière. Il s’aperçoit que cette bonne femme à qui, il ne peut donner d’âge, est bien capable de tuer de sang froid, et qu’elle doit être une adversaire redoutable.

ISBN 979-10-90761-15-5 – Prix : 19 €

« Le prix du silence ». Béatrice ORTEGA

"Le prix du silence." Béatrice ORTEGA
« Le prix du silence. » Béatrice ORTEGA

Alice, la mère de Rébecca est accusée d’adultère, de perversion, elle est clouée au pilori et traitée en paria par toute une communauté de Cap Town en Afrique du Sud… Durant l’Apartheid, y compris par son mari.
Rébecca leur unique enfant, est née café au lait. Une petite métisse au sein d’un couple de blancs ! Un véritable scandale ! Une ignominie !
Une chose bien curieuse en vérité. Un mystère plane sur cette famille, le silence de rigueur….!
Les années passent et la jeune femme cherche la vérité. La trouvera-t-elle.
Elle va se lancer avec l’aide d’un ami, dans une enquête bien complexe en vérité !

Éditions B.O – Grands Caractères – ISBN 979-10-90761-21-6 – Prix :  11.50 €