« Hier est en route ». Jean-François MEZIL
Je vais vous raconter demain.
Hier était trop triste.
Le roman débute avec ces deux phrases et tout le début est écrit au futur : Demain, j’irai au cinéma…
Le narrateur imagine en effet Demain. Il ira donc au cinéma. Y rencontrera une femme…
Il imagine aussi le film qui sera projeté et dans lequel une femme et un homme aussi se rencontrent.
C’est donc le jeu d’une double fiction : le couple de la salle et celui de l’écran dont les histoires se répondent, et s’entrecroisent, et s’entremêlent… au point que les personnages – ceux de la salle et ceux du film – finissent par se rencontrer dans l’imaginaire du narrateur.
Voilà, pour la première partie.
Deuxième partie : on est demain… et l’on voit comment les choses se passent réellement !
Octobre 2014
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