Née en France à Neuilly sur Seine le 24 septembre 1965, Emmanuelle Ménard s’est très tôt intéressée à l’art sous toutes ses formes. Ainsi, titulaire d’un D.E.A de Lettres Modernes et s’étant spécialisée sur les moralistes du XVII siècle lors de ses études universitaires à la Sorbonne, c’est à Paris qu’elle enseigne la littérature dans des écoles supérieures mais qu’elle trouve aussi l’occasion d’écrire des chansons pour des chanteurs de variété indépendants.
En 1992, dans le cadre d’un travail en freelance pour TF1 Publicité, elle publie deux livres consacrés respectivement à Venise et à Vienne et édités par TF1 Publicité.
Petite fille d’un Carolo, Georges Désenfant, médecin-chef honoraire du centre de traumatologie de la clinique reine Fabiola, elle revient au pays en 2005 où elle s’installe à Bruxelles. Là, tout en poursuivant sa carrière de professeur de français, elle participe à différentes expositions de peintures dont deux expositions collectives organisées par les communes d’Ixelles et d’Etterbeek, une exposition privée à « L’art café » place Fernand Cocq et plus récemment, le parcours d’artistes de Jette.
Parallèlement, elle continue à se consacrer à l’écriture sous ses différents aspects (théâtre, récits, nouvelles, poésie) et publie en 2010/2011 des poèmes et des Nouvelles dans la revue belge « Traversées » dirigée par Patrice Breno.
Emmanuelle Ménard a de qui tenir puisqu’elle est aussi la petite fille de Marie-Jeanne Flamand, critique littéraire dans la revue des « Cahiers du sud » et de René Ménard, poète lauréat du prix « Louise Labé », ami proche de René Char, d’Albert Camus, ou encore d’Andrée Chedid, et auquel, Pierre de Boisdeffre a consacré quelques pages dans son « Anthologie de la poésie Française ».
Enfin, soucieuse de participer activement à la vie culturelle de Bruxelles, elle devient membre du réseau ART ET LETTRES, présidé par Robert Paul, et s’inscrit au comité des spectateurs du théâtre des Tanneurs. De même qu’elle adhère au cercle de poésie organisé par la revue du Grenier Jane Tony à La fleur en papier doré ; là, aux côtés des auteurs de la revue « Les Elytres du hanneton », elle y fait régulièrement des lectures de ses textes inédits.
Depuis un an, elle voue aussi une grande partie de son temps à l’animation des personnes âgées en home où, selon ses termes, elle a trouvé ici « une nouvelle source d’inspiration » pour réfléchir sur la condition humaine ainsi que sur notre société actuelle et notamment découvrir et exprimer « toute la richesse cachée de la misère humaine ! ».
– Février 2012 : Publication d’un premier roman chez l’Harmattan « DEUX JOURS COMME L’HIVER ». Roman demandé par Erik Orsenna pour être présenté au prix Orange.
– Mars 2012 : Publication d’un recueil de poésie « IMPRESSIONS NEW-YORKAISES » aux éditions du Coudrier avec illustrations de l’auteure.
– Mars 2012 : Publication d’un recueil collectif de pièces de théâtre, « A VOS MASQUES » aux éditions Novelas.
– 2012 : Publication de Nouvelles sur le site littéraire www.Refletsdutemps
– 2011 2012 : Publication de poèmes et de Nouvelles dans la revue belge de Patrice Breno « TRAVERSÉES ».
– 2011 2012 : Publication de poèmes dans la revue belge « LES ÉLYTRES DU HANNETON ».(Grenier Jane Tony)
Je suis allée chercher votre livre « deux jours comme l’hiver » à la FNAC, je ne l’ai pas trouvé, c’est dommage, mais j’ai pu avoir le plaisir de lire les premières pages sur internet. Beaucoup de belles images, et une belle écriture. C’est marrant cette réalité de l’écriture : » un futur qui ressemblerait à un présent faux-jumeau », jumeau étant le symbole du double, de Janus, face à la stagnation psychique de votre François, c’était être bien inspirée que de donner un futur sans évolution de conscience, le double représentant la spiritualité en générale.J’ai beaucoup aimé également, l’espéranto mathématique, (de l’unité des langues au nombre d’or), et plusieurs expressions pleines d’esprit, « un art occulte et divin capable d’évoquer les fantôme du passé ». Merci c’était un agréable moment de poésie. Etes vous fausse-jumelle et médium ?