Chargée de cours en communication à l’université, Christiane Katia exerce également sa formation en milieu carcéral. Elle anime également pendant 15 ans le « Printemps des poètes » à l’hôtel de ville de Pau. Elle se passionne pour les vieux manuscrits découverts lors de ses nombreux voyages (bibliothèque de Tombouctou), les archives, les histoires oubliées. Elle découvre, près de chez elle, l’histoire de Marie BARTETE, cette moneinchonne qui ne parlait que l’occitan et sera condamnée par la redoutable loi du 27 mai 1885 sur la « récidive ». Katia ouvre l’enquête.